Le site complet compte à ce jour 143 articles : il est à votre disposition. Toutes les pages sont issues de mes recherches personnelles et universitaires. Les emprunts à des auteurs sont signalées et il n'y a aucun élément qui tombe sous le coup de la protection des données des lois européennes sans compter que je respecte avant tout la tradition de libertés et de démocratie de la république française. En tant que citoyen français je me conforme à la législation française. Toutes les photos publiées l'ont été avec l'accord des personnes à la date de leurs publications. Ces pages ainsi que tous les documents produits sont assujettis à Copyright et droits d'auteur. Il n'y a aucune raison commerciale, ni déclarée ni cachée, pour la construction de ce blog. Vous pouvez aussi aller sur le moteur de recherche à droite de votre écran sur cette page. Vous pouvez rechercher tout ce qui vous intéresse, du dessin à la peinture, à l'archéologie, à l'architecture, à la poésie, à la sculpture, aux pages magazines, pour votre stricte curiosité ou culture personnelle, et pour toute autre action ne débordant pas le cadre strict de la consultation. Pour les universitaires qui voudraient produire certains de ces travaux, me contacter sur la partie "blogger" en bas de page, en me laissant votre adresse courriel de messagerie. Pour clarifier mes compétences professionnelles, voici le panorama de mes formations. Lycée technique, mécanique, où j'ai appris le dessin industriel que j'ai par la suite appliqué au dessin d'architecture de relevés archéologiques appris à l'université de Poitiers. Formation militaire BMP1 (engagé trois ans dans les Commandos Troupes de Marine - 22° RIMA puis 1° BPCS - Importante formation à la topographie si utile pour mes recherches archéologiques) - Formation d'Infirmier du Secteur Psychiatrique en 28 mois, IDE par Réforme Hospitalière - Nombreux travaux et nombreuses formations avec des maîtres de la peinture (lithographie, gravure, peinture,...) et de la littérature contemporaine. Doctorat Lettres et Arts (mention Très Honorable avec Félicitations), Histoire de l'Art et Archéologie, Université de Provence Centre d'Aix à partir d'autres formations de ce cycle à l'Université de Tours (2 ans - Centre d'Etudes Supérieures de la Renaissance), de l'Université de Poitiers (2 ans - Centre d'Etudes Supérieures de Civilisation Médiévale), et deux ans de formation en lettres à l'université de Nice, et stages divers - Diplôme Inter-Universitaire de la Faculté de Médecine de Lille, "La Santé Mentale dans la Communauté" en lien avec l'OMS/CCOMS. Sur Google "Les budgets aidants..".http://www.ccomssantementalelillefrance.org/sites/ccoms.org/files/Memoire-Peynaud.pdf. J'exerce au C.H.Cannes en tant que coordinateur/responsable des Ateliers Thérapeutiques-Psychothérapie Institutionnelle du Pôle Santé Mentale en Intra Hospitalier)
Pour voir des liens avec de nombreux articles sur les 143 que compte ce blog, veuillez vous reporter en bas de page. Merci.
LA MOURRACHONNE A PEGOMAS
(Alpes-Maritimes - Arrière pays Cannois - Côte d'Azur)
Nouvelles recherches techniques : du dessin pris sur le site à la conception du tableau peint à l'huile sur toile en atelier.
Le travail que j'ai effectué sur ce tableau, depuis le dessin, est complexe. J'ai bien sût recherché la "splendeur" que je recherche toujours pour terminer tous mes tableaux mais je n'ai pas recherché cette "splendeur" en fonction d'une idée du "beau". Cette idée du "beau" j'ai même cherché à la combattre pour une expression rustique finale que j'ai toujours négociée au fur et à mesure de la "montée" du tableau. Mais le rustique atteignant au silence peut être un vouveau concept du beau sans pour autant pêcher de comparaison avec certaines toiles de Poussin auquel je pense en écrivant ces lignes mais qui n'a jamais guidé ma recherche. Nous allons effectivement retrouver Lorrain, Poussin et Vernet pour des référnces de questionnement sur la composition paysagiste.
J'avais commencé par ouvrir une page sur ce tableau en essayant de présenter pas à pas ma démarche de peintre chercheur. Je me suis aperçu que c'était un leurre qui me leurrait moi-même car un tableau ne peut pas être strictement une recherche. Au moins l'ais-je (re) découvert à travers cette aventure que j'ai supprimée de ce blog mais que certains ont peut être lue. Quoique cette page fut, fort heureusement pour moi, très très peu consultée et j'espère jamais lue dans son intégralité.
Si maintenant mes objectifs sont atteints de façon incertaine, et ils le sont toujours en recherche artistique et heureusement, mes divagations techniques sont riches et je vais vous les exposer. Ais-je découvert quelque chose ? A mons sens non. On ne peut découvrir que quelque chose qui existe déjà. Que ce "quelque chose" soit porté à la conscience de soi ou de l'autre est un autre problème, que ce "quelque chose " soit porté au niveau des inventaires des connaissances en est un autre. Toujours ce questionnement sur l'idée, sur le conceptuel (dans sa noble expression) qui ne peut être dépassé que si l'idée ne préfigure pas l'acte de peindre mais si l'acte de peindre est motivé par la recherche d'un inconnu jusqu'à l'aventure et la mise en danger.
Je vous propose d'observer le dessin et je vais jouer de répétition en vous repoduisant plusieurs fois les mêmes images. Serais je "redondant" ? Si je le suis ce sera alors seulement en fonction de cet article sur l'aspect artistique de la redondance que je vais rédige sur ce blog au sein de la page de présentation de l'oeuvre de Pierre Courtaud (page de mars 2012 sur ce blog)
et de la critique qu'il émettait sur l'oeuvre de Jacques Gasc. Lorsque j'ai eu rédigé cet article sur cet aspect de l'oeuvre de Jacques Gasc, que je mets en parallèle avec les accumulations contemporaines, j'ai fait lire ce texte à Jacques Gas et non seulement il l'a approuvé mais il m'a dit que bien peu de gens étaient capables d'une telle analyse et que pour sa part il était très content qu'on présente ainsi son travail.
Je n'irais pas jusqu'à dire que mon approche est "gasquienne" car elle va se nuancer de mes reflexions sur le Blow Up de Michelangelo Antonioni que je mets mettre en parallèle avec la double recherche de Pierre Courtaud sur la disparition et l'expansion de l'écriture à travers deux oeuvres successives de Pierre Courtaud "L'amante Noire" et "Le tombeau de Raymond Roussel" par lesquelles il découvrait que le travail d'écriture en diminution n'était pas l'inverse de celui en extension. Je fais le même constat avec le travail de peinture sur ce tableau mais ce constat n'est pas suffisant pour une "conclusion" du tableau, il va falloir y ajouter les théories magbériennes pour une conclusion picturale.
En voyant le tableau, ou ce dessin, vous allez peut-être penser pourquoi se torturer les méninges à ce point pour faire tout compte fait un paysage qui n'a rien de commun avec l'idée admise et véhiculée d'un art dit "contemporain" qui a vrai-dire, en ce qui me concerne, n'est pas d'une fabuleuse richesse si on fait le tour de quelques principes de bases comme la synesthésie, l'expressionnisme, la fiction, la friction, l'abstraction, l'anecdote...
C'est que je ne fais pas un paysage, je fais une étude du tableau de paysage
dans l'aspect qui m'intéresse en ce moment, mais bien sûr ce n'est le seul, et je vous en ai présenté d'autres. Disons que nous somme ici dans une étape nouvelle et différente. Si ça vous intéresse suivez moi et si vous avez des observations à faire, bonnes ou mauvaises, je suis preneur si elles sont rédigées en messages 'Blogger" en bas de cette page
et de la critique qu'il émettait sur l'oeuvre de Jacques Gasc. Lorsque j'ai eu rédigé cet article sur cet aspect de l'oeuvre de Jacques Gasc, que je mets en parallèle avec les accumulations contemporaines, j'ai fait lire ce texte à Jacques Gas et non seulement il l'a approuvé mais il m'a dit que bien peu de gens étaient capables d'une telle analyse et que pour sa part il était très content qu'on présente ainsi son travail.
Je n'irais pas jusqu'à dire que mon approche est "gasquienne" car elle va se nuancer de mes reflexions sur le Blow Up de Michelangelo Antonioni que je mets mettre en parallèle avec la double recherche de Pierre Courtaud sur la disparition et l'expansion de l'écriture à travers deux oeuvres successives de Pierre Courtaud "L'amante Noire" et "Le tombeau de Raymond Roussel" par lesquelles il découvrait que le travail d'écriture en diminution n'était pas l'inverse de celui en extension. Je fais le même constat avec le travail de peinture sur ce tableau mais ce constat n'est pas suffisant pour une "conclusion" du tableau, il va falloir y ajouter les théories magbériennes pour une conclusion picturale.
En voyant le tableau, ou ce dessin, vous allez peut-être penser pourquoi se torturer les méninges à ce point pour faire tout compte fait un paysage qui n'a rien de commun avec l'idée admise et véhiculée d'un art dit "contemporain" qui a vrai-dire, en ce qui me concerne, n'est pas d'une fabuleuse richesse si on fait le tour de quelques principes de bases comme la synesthésie, l'expressionnisme, la fiction, la friction, l'abstraction, l'anecdote...
C'est que je ne fais pas un paysage, je fais une étude du tableau de paysage
dans l'aspect qui m'intéresse en ce moment, mais bien sûr ce n'est le seul, et je vous en ai présenté d'autres. Disons que nous somme ici dans une étape nouvelle et différente. Si ça vous intéresse suivez moi et si vous avez des observations à faire, bonnes ou mauvaises, je suis preneur si elles sont rédigées en messages 'Blogger" en bas de cette page
J'ai pris ce dessin sous un pont, en face de l'actuel Marché Paysan à Pégomas. Ce paysage tel que vous le voyez ici n'existe plus car les bâtiments anciens du bâti provençal ont été détruits. Le lit de La Mourrachonne était lui-même en cours de transformation et du premier au second jour - car j'ai pris ce dessin en deux fois - une petite digue en bois avait été posée en amont et réduisait le courant à des ruisseaux qui serpentaient entre les pierres de cette digue plus ancienne qui figure sur ce dessin. En contrebas un sorte de bassin s'était constitué, bien endigué entre deux terrassements en ciment qui commençaient à supprimer tout le pittoresque du site. Un mur cyclopéen ( ces murs ne sont jamais très anciens, 40 à 50 ans au plus) achevait de former une barrière à tout le charme rustique du lieu. Derrière un rideau de bâtiments provençaux très anciens et très pittoresques, une construction moderne prenait le relai en pignon. Le tout était cerné dans un écran végétal assez beau. En arrière de la composition le Tanneron déployait ses bois de mimosa et ses prairies de broussailles.
Ce site m'intéressa à cause de toutes ces transformations, ces mutations, ces artifices que je pouvais moi aussi, à mon tour, travailler en outils plastiques pour une recherche sur le tableau.
En posant mon chevalet sous le pont en ciment et en m'installant sur la première escarpe également en ciment, j'avais en face de moi quelque chose d'assez beau car la force de ces bâtiments provençaux cernés entre un figuier et un maronnier, puis un bouquet de canis en revenant vers moi, offrait tout un champ poétique que je réussis à saisir au crayon dans un perspective fuyante entrainée par le courant rebondisant en cascade en contre sens. A ce stade je n'avais plus besoin de recherches pour (me) montrer comment on peut articuler graphiquement des éléments très étrangers les aux autres pour en faire une composition unifiée et plastiquement poétique. Je crois ce dessin très beau et j'aurais pu m'en satisfaire. Mais ce "beau" sans "splendeur" me questionnait et cette facilité de la perspective fuyante entrainant tous ces éléments étrangers les uns aux autres dans une même synthèse plastique me dérangeait : cela me semblait manquer d'invention.
La question pour le chercheur est : comment inventer à partir de ce qui est déjà une réussite, comment mettre sa recherche en danger pour aller au-delà chercher les enseignements utiles à l'exploration de nouvelles voies pour de nouvelles recherches ? Beaucoup de chercheurs ont comme moi constatés que les projets de tableaux - surtout au XIX° siècle - étaient souvent plus beaux que les tableaux, comme si à la réalisation du tableau le souffle créateur s'était épuisé sur le sujet peint.
Comment alors renouveler ce souffle créateur pour en faire autre chose ?
Je décidais donc que la perspective fuyante ne devait plus entrainer à elle seule le tableau dans une version peinte. La peinture devait pouvoir offrir d'autres possibilités. Mais ces possibiliés allaient se heurter à un autre "quelque chose" d'assez insurmontable en peinture : cette règle des 1/3 pour 2/3 fixée au XIX° siècle (1/3 pour le sol et 2/3 pour le ciel) et dont, pourtant, avant ces cristralisations techniques académiques au XIX° siècle, tant Poussin au XVII° siècle que Vernet au XVIII° siècle s'étaient joués avec un extraordinaire brio. Allais-je être capable moi aussi de faire le grand saut par-dessus le XIX° siècle et retrouver des règles de compositions que j'ignore. Qui sont ignorées - ça je n'en sais rien - mais qui le sont aussi très certainement de tous ceux que j'ai lu qui approchent les études techniques sur les tableaux. L'incapacité à traiter scientifiquement ces sujets est peut-être la raison pour laquelle ces peintres désintéressent momentanément les auteurs.
Je décidais donc que le tableau serait frontalement divisé en trois bandeaux pleins d'égales importances : celui au centre, bien que le plus pittoresque des trois, bloquant l'expression des deux autres. La réponse était alors déjà dans le problème posé : comment traiter plastiquement les deux bandes frontales encadrant la bande centrale contenant l'élément pittoresque par excellence, et comment les unir par cette bande centrale tout en lui gardant ses valeurs pittoresques. C'est là que je me souvins de Poussin et de ses paysages d'orages. Pourquoi un peintre utilisait-il les capactiés orageuse offertes par cet élément si redoutable à faire figurer sur un tableau ? (voir la Tempesta de Giorgione en tableau inaugural). Je ne croyais pas un seul instant que c'était par goût de la difficulté mais plus exactement par ce que le peintre pouvait trouver là un ensemble de solutions techniques propres à s'intégrer dans la "splendeur" de son oeuvre, "lumen" et "augue" en arrière plan.
Sur cette étape intermédiaire du tableau, ci dessous, vous voyez comment j'avais bruni la lumière du tableau pour lui donner une sorte d'unité athmosphérique. Je n'irais pas jusqu'à dire un "sfumato" mais c'était un peu dans cet ordre d'idée. A ce stade je regagnais le XIX° siècle sans aller jusqu'à Léonard au début du XVI° siècle ; je ne faisais pas le saut "par dessus le XIX° siècle" pour aller vers les ressources de la composition que je croyais découvrir en me rapprochant des siècles antérieurs. En plus avec cette volonté que j'avais de garder un aspect rustique à ce tableau la peinture n'était pas bonne, elle était trop "jolie". Mais, il est vrai, que ce "pas bon" m'intéressait aussi. J'étais piégé.
Cependant un élement important était mis en valeur, c'était cette cabane entre le mur droit du départ des vieilles bâtisses et l'arbre à la verticale, le lit de la rivière et la verdure du tanneron, sur un point qui ressemblait fort à une position en point d'or ou nombre d'or dans le tableau. Cette cabane, en plus, avait la forme d'un virgule inversée, une des expressions simples de l'élément forclos en art thérapie. Je décidais donc d'exploiter cette forclusion. Ma valeur quasi 1/3 pour 2/3 se retrouvait là, symboliquement, par le nombre.Qu'est-ce que ce nombre là pouvait bien signifier ?
Je me lançais alors dans des montages
et j'évaluais les capacités expansionnistes du tableau à partir de cette cabane, à partir de ce forclos. Je ne cherchais rien, je voulais faire un constat purement formel sans passer par des recherches optiques ou d'ordre psychologique. Ce que je pressentais comme étant la clé de l'évolution de ma recherche survint. C'est-à-dire qu'en fixant cet élément de forclusion au cente d'une feuille blanche, et qui était désaxé grosso modo d'1/3 pour 2/3, j'obtenais une réduction géométrique de cet écart en prolongeant les diagonales. L'écart entre les distances A et A' se réduisait en A" au fur et à mesure que j'agrandissais le format tout en laissant l'image au centre du tableau, à la même place d'un montage à l'autre. Mais sur mon tableau cet image n'était pas au centre elle était au 1/3 pour 2/3. Voilà trouvé le problème à traiter pour échapper dans mon tableau aux liaisons plastiques de tous ces éléments par une seule perspective fuyante, avec les difficultés de la division frontale en trois bandes parallèles d'égales grandeurs. Il me fallait un artifice de construction de substitution pour retrouver ces valeurs expansives de l'images tout en ressituant ma cabane de départ dans sa place exacte dans le tableau.
J'en revins à des recherches de ressources à partir de l'enseignement magbérien et me voilà de spéculer sur le losange perspectif. Je réarticule l'eau et plus je travaille sur la surface apparente du tableau plus je me rends compte qu'il se passe autre chose en arrière du tableau dans un espace que je ne perçois plus, fonctionnant comme le schéma ci dessous
Je ne pouvais plus intervenir sur l'espace hachuré. C'est assez extraordinaire de faire ce constat pour un peintre qui croit avoir toute la liberté de pouvoir intervenir sur la création de son oeuvre. Et bien c'est faux, un artiste qui commence une oeuvre n'est déjà plus libre, il est déjà prisonnier de quelque chose qu'il ignore. La tentation est grande de dire que c'est l'idée qui préfigure la forme : on en revient au conceptuel et au néoplatonisme, dans le pire des cas au "psy". Donc on n'avance pas. Pierre Marchetti répond à cette question en revenant aux bases de préparation de la toile. C'est-à-dire, selon lui, que ce sont les premières interventions sur la toile vierge qui vont engendrer les questions que va par la suite poser la réalisation du tableau. Je le crois mais uniquement dans les dimensions techniques artisanales du métier de peintre, ce qui n'est déjà pas rien et c'est d'ailleurs pourquoi je mantiens que la production d'une oeuvre d'art et une production de métier. Mais ce n'est pas suffisant. La qualité d'artiste est celle qui transcende ces questions, sous les oublier toutefois mais en les faisant oublier à celui qui regarde, d'où mon intéret pour la splendeur du champ spéculaire.
Comment vais-je traiter ça pour un résultat que je veux en plus "rustique", "pas vraiment beau" ou d'une beauté qui n'est pas du tout dans les goûts, ou j'n'sais pas ?
Je reviens sur cette idée du Blow Up et de l'expérience d'écriture de Pierre Courtaud.
Lorsque je "monte" mon tableau j'interviens à partir d'un point "0" vers un champ spéculaire Alpha et Omega que la subjectivité de celui qui regarde transforme en d'autres plans hors oeuvre.
Le peintre qui regarde son tableau évoluer est dans ce même fonctionnement spéculaire.
Insatisfait, le peintre rentre dans le champ spéculatif de son travail, il veut intervenir mais il ne peut pas reprendre les zones hachurées qui se sont constituées au fur et à mesure que le premier champ spéculaire s'est élaboré. On peut revenir alors sur les valeurs de l'acte rapide de peindre qui ne considère que très peu ces phénomènes.
Donc, effectivement, le travail en expansion n'est pas l'inverse du travail en réduction.
Pour re-intervenir sur le champ profond de mon tableau il faut que j'ai conscience de ce phénomène et que j'oriente ma recherche en fonction des nouvelles possibilités offertes par mon tableau, et même si j'arrive à créer un nouveau champ spéculaire, l'ancien champ spéculaire jouera pleinement son rôle, selon l'observation de Pierre Marchetti.
C'est que mes recherches sur la position du sujet forclos en valeurs diagonales expansionnistes me servent. C'est sur ces diagonales qui composent en fait le champ spéculaire du tableau que je peux intervenir en sachant que je ne pourrais rien changer au forclos préétabli dès les premières compositions peintes du tableau. Le peintre créé son propre forclos et c'est ainsi qu'un travail peut s'élaborer, que ce "forclos" ait un lien avec la théorie du psychanaliste ou n'en n'ait pas, que ce "forclos" ait un lien avec le travail raisonné du peintre ou avec celui empirique, voire pulsionnel de l'artiste.
Les couleurs du tableau sont moins "crues", je suis toujours intéressé par les traductions photographiques des tableaux. Ici je me rends compte que la photographie a tout à fait traduit "l'aspect rustique" que j'ai recherché mais ni sa couleur réelle, ni sa dilution dans la gamme chromatique générale, propre à donner une certaine "splendeur" à la peinture.
Je commence à travailler sur cette sorte d'entonnoir du schéma
J'interviens au point "C", à peu près,
ce qui me donne à peu près le chiffre "4" de l'étude sur les valeurs en diagonales
et cet évènement, qui est une simple nuée de restant d'orange, je l'étire en profondeur de façon à ce qu'elle fasse le lien entre tous les plans du tableau, entre les trois zones parallèles qui s'étagent dans la composition du tableau. Bien sûr j'en répercute des couleurs dans l'eau de la rivière.
Je suis donc à la fois sur le point d'expansion "4" et sur tous les autres plans d'expansion de la diagonale mais sur une diagonale déplacée comme j'en ai fait l'étude dans "Les naufragés du Cyber Espace" que je vous montre ici pour vous éviter de retourner dans les pages, sauf si vous souhaitez vous reporter au texte de présentation (juillet 2011)
A ce stade de réalisation le tableau est encore en chantier. J'ai encore beaucoup de "contrastes" à introduire.
Ce qui est toutefois mis en place c'est la superposition des "losanges perspectifs". Comment fonctionnent ces losanges que Mag Bert utilisait avec autant de brio et de maîtrise dans ses peintures de gestualité figurative ?
Il faut partir d'un point "A" tout en bas de la bordure inférieure du tableau, ou un peu plus haut si on maîtrise bien la chose, et monter dans le tableau suivant deux axes divergents qui, arrivés à une certaine hauteur dans le tableau, se réorientent en deux axes convergents qui peuvent à leur tour, si le peintre le souhaite, se démultiplier en deux autres axes divergents, puis convergents, et ainsi à l'infini. Grosso-modo c'est le schéma de la colonne sans fin de Constantin Brancusi mais utilisé dans le champ profond du tableau, ce qui est, à mon sens, beaucoup plus intéressant et infiniment plus complexe et plus riche qu'une simple superposition de losanges. Mais l'idée de base est la même.
Le travail de véritable mise en profondeur par pivotement des lignes de pénétration dans l'image a commencé
La petite cabane, en virgule inversée, repend sa véritable place optique dans le tableau. Les effets de lumière sur la surface agitée de l'eau sont rétablis dans un ordre perspectif. L'intérêt du tableau se déplace maintenant sur la grande maison à façade aux volets fermés, qui devient le centre du tableau. J'ai donc fait passer l'objet du tableau sur un plan 'bloquant" que je vais maintenant réinscrire dans un pittoresque où la division en trois bandes latérales de l'images va devenir un écrin de deux pans encadrant un sujet central : l'objet même survivant du paysage pittoresque devient le véritable sujet/objet du tableau dans un écrin, ou mis en scène. J'arrive à une notion de scénographie du tableau de paysage : j'approche, même très modestement, et de façon essentiellement abstraite,
Poussin.
Les rouges prennent maintenant plus d'importance et s'opposent plus radicalement aux verts comme si j'étais revenu à une synthèse d' image composée par les principaux schémas du cercle chromatique. La nuée dans le ciel, par dessus les nuages, ou en dessous de la couverture nuageuse, prend sa place dans la nouvelle construction perspective.
J'ai toutefois tendance à revenir à un traitement de l'image proche de celle déjà élaborée en pseudo sfumato.
Comme quoi les premiers schémas du tableau sont bien là omniprésents et accompagnent toute l'évolution de ma recherche, à mon insu. Ce n'est pas de l'inconscient, ni des survivances d'un traumatisme cicatriciel primordial infantile générateur de la pulsion artistique et j'en passe et des meilleures, ni de l'idée "extra terrestre", c'est une loi du tableau suivant le schéma du cône constructiviste plus haut exposé.
Je vous fais un schéma de la reconstruction du tableau en losanges perspectifs.
Le principe du losange perspectif est le suivant :
C'est un ou deux, et trois si possible, figures en losange qui construisent le tableau mais pas nécessairement de façon verticale et régulière comme avec la vis sans fin de Branccusi, mais plutôt dans la perspective profonde du tableau ce qui nécessite des aménagements de la construction de l'image, jusqu'à ce que cette image n'ait plus de sens en tant que qu'image de reproduction ou de représentation d'un site.
J'applique ce principe à mon tableau que j'ai travaillé jusqu'ici en soustractives et bien sûr si j'ai éclairci le tableau, je n'ai pas changé l'orientation de lecture qui suit le mouvement du courant de la rivière.
J'en reviens à l'image du tableau que je traite avec les losanges perspectifs à partir de la zone de sol, soit j'inscrit les mouvements de l'image dans une succession de losanges dont le second s'articule an arrière des bâtiments au niveau de la cabane
A ce niveau là je ne traite que les deux tiers de l'image par la succession des losanges mais je réoriente déjà le mouvement de l'image : je commence à faire échapper ce mouvement au fil de l'eau.
Je vais donc introduire un élément dans le ciel qui va me permettre de donner une continuité à la construction perspective en losanges
Je prends globalement l'image dans la construction en losanges perspectifs et mon image continue à s'émanciper du fonctionnement perspectif suivant le courant de l'eau pour gagner le plan profond perpendiculaire à la surface du tableau. Je remarque également que la cabane recommence à se situer au "centre" de l'image malgré sa position en 1/3, 2/3 grosso modo. Ici le phénomène n'est pas uniquement le phénomène de l'expansion de l'image plus haut observée suivant les diagonales du tableau, car une autre dimension est apparue qui projette l'image en profondeur à partir du groupe de canisses à droite. Soit une dimension qui projetée dans la profondeur du tableau s'équilibre avec la dimension ou la proportion de mur en appareil cyclopéen qui a tendance à devenir une autre diagonale presque parallèle à la surface du tableau - les traits en rouge dans le schéma ci dessous.
Voici le schéma qui fait clairement apparaître ce qui se passe avec les constructions, en rapport, toujours, avec les diagonales du format de l'image
La division en étoile favorise la construction ou le fonctionnement de l'image reconstruite en losanges perspectifs.
Restant dans un applat d'image je vais multiplier les sources des losanges perspectifs et en faire monter chaque source dans l'image comme ci dessous
Ainsi je crée plusieurs foyers de départ qui inscrivent une phrase dans la partie frontale du tableau, dans son champ spéculaire et je peux alors repartir dans le champ spéculatif tout en sachant qu'il y a une partie qui restera immuable. Cette phrase du champ spéculaire c'est A, B, C, D. et les lignes convergentes, plus divergentes peuvent à nouveau devenir convergentes par l'insertion de nouvelles lignes dans le ciel.
A ce stade j'ai terminé mon travail sur les possibilités de modulation des constructions par les couleurs soustractives et les compositions formelles ou constatées ou analysées.
Je vais donc maintenant commencer le travail pour achever le tableau en valeurs addictives comme je l'avais fait pour le tableau "ruines d'une pont sur un gué sur la Siagne" (mois de juillet 2011 sur ce blog).
Pendant ce temps je vais retravailler toutes les composantes purement techniques de l'élaboration du tableau (matériaux et pigments et adjuvants) mais ça je ne l'expose pas car cela ne fait pas partie de mes recherches élaborées à partir de l'observation des oeuvres "pulsionnelles" dont le tableau du paysage du Village de Voyoux de Mag-Bert en bas de la page "Mon regard sur l'art contemporain" au mois de juillet 2011 sur ce blog. En fait j'utilise les observations faites sur ces oeuvres "pulsionnelles" d'acte rapide de peindre pour des observations analytiques et méthodiques en construisant mes propres tableaux sur des durées illimitées et pouvant, si besoin atteindre plusieurs années de réflexion et d'élaboration. Je ne vise pas "le chef d'oeuvre" je vise la recherche et l'analyse du tableau (voir aussi sur ce blog au mois de septembre 2012 que l'acte rapide de peindre n'est pas nécessairement lié à la pulsion avec l'article consacré à La Pochade). Si à partir de là je créé une oeuvre d'art cela doit faire partie d'une observation et d'une analyse complémentaire me permettant d'inscrire ma propre production dans sa propre trajectoire de recherches.
Je vous donne une petite orientation sur l'équilibre que je recherche à partir de ces éléments d'avancée du tableau ci-dessous, qui doivent être redistribués dans l'ensemble du tableau pour une juste cohérence.
J'ai donc continué le tableau en y ajoutant les addictives
Alors évidemment ce tableau rend compte de toutes ces étapes et une unité finale ne produit pas l'absolue synthèse qui ferait que ce tableau serait admissible dans le champ actuel de réceptions des oeuvres en "oeuvres d"art".
Alors bien sûr cet aspect m'intéresse car il concerne tous ces champs abandonnés dans le tableau dans ce schémas du cône en plans spéculaires et spéculatifs au fur et à mesure de sa lente élaboration raisonnée comme un artéfact de l'industrie, comme une formule qu'on cherche, et non pas comme une oeuvre à part entière globale avec un projet soit exogène soit endogène.
Est-ce à dire que ceci n'est pas une oeuvre d'art ?
Je serais tenté de dire
"ceci n'est pas un tableau "
Et si je me lance dans mes paradoxes, regardez ce que j'ai fait en comparant le dessin initial au tableau final
Le mouvement de l'eau a été à-peine changé, c'est le plan intermédiaire qui a surtout été touché par mes expériences : les arbres se sont trouvés ramassés, et les bâtiments sont devenus des masses plastiques qui se sont intégrées différemment à l'image. Et, ciel ou pas ciel, ça ne change pas grand chose en évaluation comparée au dessin initial alors que mon axiome de base avait été de comprendre une unité plastique à partir de ce que j'avais observé des orages de Poussin.
Donc, dans mon histoire de cône qui conserve les traces initiales et initiatrices de l'image, ainsi que de proportions qui se déplacent sur les diagonales et qui recherchent un équilibre propre au fonctionnement interne de l'image, je vérifie bien que l'intervention de toutes les techniques du peintre est finalement de peu de conséquences ou de conséquences qui ne dépendent pas du peintre mais d'un apprentissage qui fera que "l'objet initial ", le "ça", en langage freudien, sera prépondérant une fois que l'axiome plastique sera posé (j'ai prévenu de paradoxes).
Ce qui fait que je trouve navrant des écoles d'art qui n'apprennent rien.
Le "rien" renvoyant à une intervention dans le passage dans le réel du "ça".
Un "rien" qui reste un "rien" n'a à mon sens aucun intérêt pour une civilisation évolutive.
Je vais donc encadrer cette image pour voir si cela change quelque chose de fondamental à mon résultat analytique interventionniste sur l'image.
A bientôt.
Pour un retour en lien
avec quelques articles sur les 143 de ce blog, qui présentent des œuvres, des approches d’œuvres et des artistes
For a return to links
with some 143 articles on this blog, which exhibit works of art and the artists approaches
Pour aller directement sur les articles ou pages, vous pouvez utiliser deux chemins, le clic direct ne fonctionnant pas :
1: Surlignez la ligne http ou le titre de l'article qui vous intéresse, puis faites un copier/coller sur la barre d'adresses en haut de page;
2 : surlignez la ligne http, puis clique droit, et sur la boite de dialogue qui s'ouvre allez à la ligne " accédez à la http..."
c'est simple et vous pouvez le faire avec autant d'articles que vous le souhaitez.
Pour les autres articles encore non inscrits sur la liste ci-dessous vous pouvez allez à droite de la page sur "moteur de recherches" ou "archives du blog" en cliquant sur l'année et le mois qui vous intéressent.
Bonnes lectures et bon voyage dans les merveilles de l'art, le plus souvent totalement inédites et toujours parfaitement originales à l'auteur de ce blog.
C'est aussi un blog d'informations, de culture et de voyages
Sommaire/Editorial
(le blog est sous copyright)
Les Mots d'Azur au château de Mouans-Sartoux - Saison 2017-2018
https://coureur2.blogspot.fr/2017/10/les-mots-dazur-au-chateau-de-mouans.html
Les mots d'azur au printemps des muses - suite 2016/2017 des soirées au Château de Mouans-Sartoux
http://coureur2.blogspot.fr/2017/05/les-mots-dazur-au-printemps-des-muses.html
Des poèmes sur la Riviera aux couleurs des Mots d'Azur : suite des rencontres maralpines de poésie
saison 2016-2017
http://coureur2.blogspot.fr/2016/09/des-poemes-sur-la-riviera-aux-couleurs.html
Festival du Livre à Mouans-Sartoux avec les Mots d'Azur
- 6-7-8 octobre 2017
https://coureur2.blogspot.fr/2017/10/festival-du-livre-de-mouans-sartoux.htmlFestival du Livre à Mouans-Sartoux - 7-8-9 octobre 2016 - avec Les Mots d'Azur
http://coureur2.blogspot.fr/2016/10/festival-du-livre-de-mouans-sartoux-7-8.html
Rencontres maralpines de Poésie - Mots d'Azur 2015-2016
http://coureur2.blogspot.fr/2015/09/rencontres-maralpines-de-poesie-et.html
Marie Gay - Pierre-Jean Blazy - Auteurs et Editions - Fondateurs des Mots d'Azur - Marie Gay -
http://coureur2.blogspot.fr/2016/03/marie-gay-pierre-jean-blazy-auteurs-et.html
Psychiatrie - Une histoire et des concepts - l'humain et l'art en enjeux
http://coureur2.blogspot.fr/2016/11/psychiatrie-une-histoire-et-des.html
Des poèmes sur la Riviera aux couleurs des Mots d'Azur : suite des rencontres maralpines de poésie
saison 2016-2017
http://coureur2.blogspot.fr/2016/09/des-poemes-sur-la-riviera-aux-couleurs.html
Jean-Marie Bouet - Fresselines/Larzac - de la poésie aux planches au festival de Fresselines, au Larzac
https://coureur2.blogspot.fr/2012/06/jean-marie-bouet-des-chansonniers-aux.html
Renata- Sculpture contemporaine
http://coureur2.blogspot.fr/2014/06/sculpture-contemporaine-renata-et-le.html
Renata - Pierre Cardin - Lacoste - Moulin de Sade - Lubéron 2015
http://coureur2.blogspot.fr/2015/07/renata-pierre-cardin-lacoste-moulin-de.html
Renata - Akira Murata - Espace Auguste Renoir à Essoyes
http://coureur2.blogspot.fr/2015/08/renata-akira-murata-essoyes-ville.html
Renata chez Pierre Cardin - Le regard de Lydia Harambourg Historienne et critiques d'art, correspndans de 'Institut des Beaux Arts de l'Académie de France
http://coureur2.blogspot.fr/2016/07/renata-chez-pierre-cardin-le-regard-de.html
Mag-Bert ou la peinture mnémonique de gestualité figurative
http://coureur2.blogspot.fr/2014/10/mag-bert-ou-la-peinture-mnemonique-de.html
Claude Peynaud - Clichés et antithèses...
http://coureur2.blogspot.fr/2015/05/cliches-et-antitheses.html
Claude Peynaud - Jogging - Méthode d'élaboration d'un Jogging
http://coureur2.blogspot.fr/2014/05/methode-delaboration-dun-jogging-method.html
Claude Peynaud - Le cercle des oiseaux
http://coureur2.blogspot.fr/2011/09/le-cercle-des-oiseaux-allegorie-de-la.html
Claude Peynaud - Le don de l'aïeule
http://coureur2.blogspot.fr/2011/07/une-theorie-de-construction.html
Claude Peynaud - Une théorie de Construction
http://coureur2.blogspot.fr/2011/07/une-theorie-de-construction.html
Danielle Benitsa Chaminant - Artiste et mémoire de...
http://coureur2.blogspot.fr/2013/01/danielle-benitsa-chaminant-artiste-et.html
Alliot - Vincent Alliot - Visite d'atelier
http://coureur2.blogspot.fr/2014/02/alio-visite-datelier-une-gestualite.html
Rémy Pénard - Art et souvenirs autour de Pierre Courtaud
http://coureur2.blogspot.fr/2013/12/remy-penard-art-et-souvenirs-autour-de.html
Henry Chopin et la bibliothèque de Valérie Peynaud
http://coureur2.blogspot.fr/2013/12/henri-chopin-et-la-bibliotheque-de.html
Sally Ducrow - Land Art et sculpteur ...
http://coureur2.blogspot.fr/2013/01/sally-ducrow-land-art-et-sculpteur.html
Sally Ducrow l'année 2017 - Nationale et internationale - Sculptures - Land-Art - Installatons - Performances...
https://coureur2.blogspot.fr/2017/08/sally-ducrow-lannee-2017-nationale-et.htmlSally Ducrow l'année 2018 - en suivant le chemin de l'aventure internationale de Sally Ducrow
https://coureur2.blogspot.com/2018/07/sally-ducrow-lannee-2018-de-1017-2018.html
CREPS - Boulouris-Saint-Raphaël - Land Art - Sally Ducrow invitée d'honneur
https://coureur2.blogspot.fr/2017/10/creps-paca-boulouris-saint-raphael-land.html
Sally Ducrow : poésie plastique contemporaine
https://coureur2.blogspot.com/2019/06/sally-ducrow-poesie-plastique.html
Valbonne - Echiquier et Mots d'Azur - Fest'in Val - Festival international de Valbonne
http://coureur2.blogspot.fr/2015/08/renata-akira-murata-essoyes-ville.html
Pierre Marchetti magazine...
http://coureur2.blogspot.fr/2011/12/magazine-pierre-marchetti-un-peintre-un.html
La pochade - Pierre Marchetti et l'art de la pochade.
http://coureur2.blogspot.fr/2012/09/la-pochade-lart-de-la-pochade-et-pierre.html
L'impressionnisme tardif par les souvenirs de Pierre Teillet - Du plainarisme romantique au
https://coureur2.blogspot.fr/2012/11/limpressionnisme-inedit-par-les.html
L'impressionnisme tardif par les souvenirs de Pierre Teillet - Du plainarisme romantique au
https://coureur2.blogspot.fr/2012/11/limpressionnisme-inedit-par-les.html
Alliance Française - Tiffani Taylor - Savannah Art Walk - ...
http://coureur2.blogspot.fr/2016/01/tiffani-taylor-gallery-une-artiste.html
H.Wood - un peintre Anglais à Paris au milieu du XIX° siècle
http://coureur2.blogspot.fr/2016/05/hwood-un-artiste-peintre-de-lecole.html
Sophie Marty Huguenin, sculpteur et le marché de Noël à Biot - Les crèches de Cannes - Le partage du pain du père Guy Gilbert
http://coureur2.blogspot.fr/2016/12/sophie-marty-huguenin-sculpteur-et-le.html
Evolution de la gravure à Venise et en Europe du XV° au XVI° siècles - Histoire et techniques
http://coureur2.blogspot.fr/2017/02/la-gravure-venise-et-en-europe-du-xv-au.html
Aux aurores de la peinture moderne et contemporaine occidentale - Giorgione - Les Trois Philisophes
http://coureur2.blogspot.fr/2017/03/aux-aurores-de-la-peinture-moderne-et.html
La décoration intérieure ou la démocratie de l'art
https://coureur2.blogspot.fr/2012/11/wall-painting-fast-track-collection-une.html
Magda Igyarto - Vibrations et expériences de la matière : du visible à l'indicible et de l'indécible au dicible - Peintre, poète et sculpteur
https://coureur2.blogspot.fr/2018/01/magda-igyarto-vibrations-et-experiences.html
Pour ceux qui aiment jouer aux experts
Vrai ou faux - Houdon ou Houdon
https://coureur2.blogspot.fr/2014/01/houdon-ou-pas-houdon-jouez-lexpert-en.html
Vrai ou faux - Un tableau inconnu de la Renaissance
https://coureur2.blogspot.fr/2013/01/un-tableau-inconnu-de-la-renaissance.html
Vrai ou faux - Traduction originale du manuscrit de Qumram sur la mer morte ( en cours)
https://coureur2.blogspot.fr/2015/01/vrai-ou-faux-traduction-originale-du.html
Vrai ou faux - Un tableau inconnu de la Renaissance
https://coureur2.blogspot.fr/2013/01/un-tableau-inconnu-de-la-renaissance.html
Vrai ou faux - Traduction originale du manuscrit de Qumram sur la mer morte ( en cours)
https://coureur2.blogspot.fr/2015/01/vrai-ou-faux-traduction-originale-du.html
Pour ceux qui aiment la recherche en académies de nus - modèles vivants
Nus 2015
https://coureur2.blogspot.fr/2015/03/nus-2015-nackt-2015-nude-2015-2015-2015.htmlNus 2014-2015
https://coureur2.blogspot.fr/2014/09/nus-2014-2015-abac-modeles-vivants-nus.html
Nus 2013-2014
https://coureur2.blogspot.fr/2013/09/nus-2012-2013-abac-nus-2012-2013-2012.html
Nus 2012-2013
https://coureur2.blogspot.fr/2012/10/nus-abac-20122013-associations-des.htmlEt pour ceux et celles qui aiment l'archéologie et l'architecture
voici encore un échantillon de mes recherches sur ce blog
And for those who love archeology and architecture
Here again a sample of my research on this blog
L'ancienne église Saint-Nicolas de Monaco
http://coureur2.blogspot.fr/2012/01/monaco-ancienne-eglise-saint-Nicolas-le.html
Techniques et vocabulaires de l'art de la façade peinte
http://coureur2.blogspot.fr/2012/08/un-tour-dans-le-massif-central.html
Les Vecteurs Impériaux de la polychromie occidentale
http://coureur2.blogspot.fr/2012/06/philippines-les-Vecteurs-imperiaux-de.html
Le clocher des Frères Perret à Saint-Vaury
http://coureur2.blogspot.fr/2012/01/perret-freres-le-clocher-des-freres_10.html
Histoire de la Principauté de Monaco
http://coureur2.blogspot.fr/2012/07/histoire-de-la-principaute-de-monaco.html
Le Palais Princier de Monaco
http://coureur2.blogspot.fr/2012/09/palais-princier-de-Monaco-palais-of.html
Versailles - Monaco - Carnolès - Menton: présence de l'art français en Principauté de Monaco
http://coureur2.blogspot.fr/2012/09/versaillesmonaco-larchitecture.html
Primitifs Niçois - Les chapelles peintes des Alpes Maritimes
http://coureur2.blogspot.fr/2012/03/primitis-nicois-les-Chapelles-facades.html
Eglises du sud-ouest de la France A travers l'art de la polychromie architecturale
http://coureur2.blogspot.fr/2013/02/eglises-du-Sud-Ouest-des-alpes-alpes.html
Des cérémonies et des fêtes Autour de Saint-Nicolas de Monaco
http://coureur2.blogspot.fr/2013/09/des-cérémonies-et-des-fêtes-Autour-de.html
Langages de l'art contemporain - répétition, bifurcation, ...
http://coureur2.blogspot.fr/2013/09/repetition-ordinaire-bifurcation-art-du.html
La polychromie architecturale et l'art de la façade peinte (1° partie) - des édifices civils dans les Alpes-Maritimes
http://coureur2.blogspot.fr/2014/07/la-polychromie-architecturale-et-lart.html
Façades peintes - édifices civils du sud-ouest des Alpes - 2° partie - XX° siècle
http://coureur2.blogspot.fr/2015/01/facades-peintes-edifices-civils-du-sud.html
Aspects de l'évolution des seigneuries historiques de la Principauté de Monaco à travers quelques
exemples d'architectures polychromes ponctuelles.
http://coureur2.blogspot.fr/2016/01/aspects-de-levolution-des-seigneuries.html
Châteaux de la Creuse - de la fin du moyen âge - XV et XVI° siècle
http://coureur2.blogspot.fr/2011/09/une-histoire-de-lescalier-en-vis.html
1° partie - Archéologie Médiévale - Aspects et singularités du château en France à la fin du Moyen Âge (XV° et XVI° siècles)
http://coureur2.blogspot.fr/2013/10/archeologie-medievale-aspects-et.html
2° partie - Archéologie Médiévale - Aspects et singularités du château en France à la fin du Moyen Âge (XV° et XVI° siècles)
http://coureur2.blogspot.fr/2014/11/2-partie-archeologie-medievale-aspects.html
3° partie - suite des parties 2 et 3 d'Archéologie Médiévale consacrées aux aspects et singularités du château en France autour des XV° au XVI° siècles
http://coureur2.blogspot.fr/2016/04/3-partie-suite-des-parties-parties-1-et.html
https://coureur2.blogspot.fr/2018/04/yvierscharente-archeologie-medievale.html
Allemans en Périgord - Manoir du lau - Archéologie Médiévale
https://coureur2.blogspot.com/2018/09/allemans-en-perigord-manoir-du-lau.html
Fonctions religieuses apotropaïques et traditions funéraires en France -
http://coureur2.blogspot.fr/2015/08/fonctions-religieuses-apotropaiques-et.html
Maisons alpines d'économie rurale (Alpes-Maritimes)
https://coureur2.blogspot.com/2011/11/maisons-alpines-deconomie-rurale.htmlPour ceux qui aiment l'iconologie, et l'iconographie
For those who like iconology, and inconography
Autour du rocaille. Dessin préparatoire d'étude - Le jugement de Pâris
https://coureur2.blogspot.com/2011/07/dessin-preparatoire-pour-une.html
La Véronique - Image ou non de la représentation
http://coureur2.blogspot.fr/2012/12/la-veronique-de-la-legende-lart.html
Langages de l'art contemporain - Répétition ordinaire - Bifurcations - Translation...
https://coureur2.blogspot.fr/2013/09/repetition-ordinaire-bifurcation-art-du.html
Fête de la musique à Nice - Place Garibaldi à Nice - Exposition d'artistes Polonais
https://coureur2.blogspot.fr/2013/07/la-fete-de-la-musique-expositions.html
La Mourachonne à Pégomas (exercice de recherche iconographique)
https://coureur2.blogspot.fr/2012/05/la-mourachone-pegomas-nouvelles.html
Cannes en 4 perspectives albertiennes recomposées - dessin panoramique à la mine de plomb
https://coureur2.blogspot.fr/2018/02/cannes-en-4-perspectives-albertiennes.html
Pour ceux qui aiment la poésie et qui en plus, comme moi, la reconnaisse comme la mère de tous les arts y compris de l'art contemporain
For those who love poetry and more, as I recognize it as the mother of all arts including contemporary art
Rencontres maralpines de Poésie - Mots d'Azur 2015-2016
http://coureur2.blogspot.fr/2015/09/rencontres-maralpines-de-poesie-et.html
Des poèmes sur la Riviera aux couleurs des Mots d'Azur : suite des rencontres maralpines de poésie 2016-2017
http://coureur2.blogspot.fr/2016/09/des-poemes-sur-la-riviera-aux-couleurs.html
Pierre Courtaud - Magazine - Un écrivain, un éditeur un poète, un chercheur en écritures - Un spécialiste de nombreux auteurs.
http://coureur2.blogspot.fr/2012/03/pierre-courtaud-magazine-un-ecrivain-un.html
Henry Chopin et la bibliothèque de Valérie Peynaud
http://coureur2.blogspot.fr/2013/12/henri-chopin-et-la-bibliotheque-de.html
Cannes -1° nuit de la poésie et de la musique au Suquet - 21 juin 2014
http://coureur2.blogspot.fr/2014/06/cannes-1-nuit-de-la-poesiefete-de-la.html
2° nuit de la musique et de la poésie - Cannes 21 juin 2015
http://coureur2.blogspot.fr/2015/05/2-nuit-de-la-poesie-et-de-la-musique-au.html
3° nuit de la poésie et de la musique au Suquet- Cannes Moulin Forville le 21 juin 2016
http://coureur2.blogspot.fr/2016/06/3-nuit-de-la-poesie-et-de-la-musique-du.html
Golf-Juan - Performance poétique - Brigitte Broc - Cyril Cianciolo
http://coureur2.blogspot.fr/2015/03/golf-juan-performance-poetique-brigitte.html
Marie Gay - Pierre-Jean Blazy - Auteurs et Edition(s) - Fondateurs des Mots d'Azur
http://coureur2.blogspot.fr/2016/03/marie-gay-pierre-jean-blazy-auteurs-et.html
De Vallauris à Cannes - Le Printemps des Poètes sur la Côte d'Azur avec Les Mots d'Azur
http://coureur2.blogspot.fr/2016/03/de-vallauris-cannes-la-cote-dazur-en.html
Christophe Forgeot : Poète - Poésie - Poème
http://coureur2.blogspot.fr/2014/09/christophe-forgeot-un-poete.html
Zorica Sentic - Poète-romancière Franco-Serbe
https://coureur2.blogspot.fr/2012/09/zorica-sentic-poete-romancier.html
La Corse des poètes
https://coureur2.blogspot.fr/2015/08/la-corse-des-poetes-porticcio-village.html
Magda Igyarto - Vibrations et expériences de la matière : du visible à l'indicible et de l'indécible au dicible - Peintre, poète et sculpteur
https://coureur2.blogspot.fr/2018/01/magda-igyarto-vibrations-et-experiences.html
Pour ceux qui aiment les légendes
For those who love legends
The Woodcutter and the Revenant - Sedimentary Memory - Essay - Creuse
Http://coureur2.blogspot.fr/2013/07/la-creuse-memoire-sedimentaire.html
La Creuse - Le Bûcheron et le Revenant - Mémoire sédimentaire - Essai - Creuse
http://coureur2.blogspot.fr/2013/07/la-creuse-memoire-sedimentaire.html
Les routards de la baie d'Halong dans la tourmente https://coureur2.blogspot.fr/2013/10/les-routards-de-la-baie-dhalong-dans-la.html
Vietnam - La légende du Dieu des montagnes et du Dieu de la mer
https://coureur2.blogspot.fr/2014/05/vietnam-la-legende-du-dieu-des.html
Pour ceux qui aiment les voitures de collection
Vis-à-vis de Dion-Bouton type E 452 - La voiture emmurée aux enchères à Lyon
https://coureur2.blogspot.fr/2015/09/1900-vis-vis-de-dion-bouton-type-e-452.html
Pour ceux qui aiment les voitures de collection
Vis-à-vis de Dion-Bouton type E 452 - La voiture emmurée aux enchères à Lyon
https://coureur2.blogspot.fr/2015/09/1900-vis-vis-de-dion-bouton-type-e-452.html
Pour ceux qui aiment l'art lyrique et la musique
Johanna Coutaud (prochainement)
Chanteuse lyrique - Soprano
Elzbieta Dedek - Pianiste virtuose internationale
http://coureur2.blogspot.fr/2016/09/pianiste-virtuose-internationale.html
Pour ceux qui aiment le cinéma
68° festival du cinéma - Alexandra Robin - Léopold Bellanger - Cédric Bouet
http://coureur2.blogspot.fr/2015/05/68-festival-cinema-cannes-2015.html
Pour ceux qui aiment la danse
48° Congrès Mondial de la Recherche en Danse - Avignon du 9 au 13 novembre 2016 - Fabienne Courmont présidente - UNESCO-CID partenaires
http://coureur2.blogspot.fr/2016/11/48-congres-mondial-de-recherche-en.html
Festival d'Avignon à Mouans-Sartoux - Danser Baudelaire - Bruno Niver - Marina Sosnina - Répétition générale
https://coureur2.blogspot.fr/2015/02/du-festival-davignon-mouans-sartoux.html
Pour ceux qui aiment s'habiller et sortir
Eliane Horville - soirées - ville - élégance - conseils - coach
https://coureur2.blogspot.fr/2016/01/soirees-ville-elegance-every-wear.html
Sortir - Manifestations -Performances - Expositions...2012/2017
https://coureur2.blogspot.fr/2013/02/evenements-expositions-manifestations.html
Pour des participations citoyennes
Ordre national infirmier - Recommandations sanitaires
http://coureur2.blogspot.fr/2017/06/ordre-national-infirmier-recommandations.html
Pour ceux qui aiment les multiples beautés de la France
Les oliviers fantastiques de Lucette
https://coureur2.blogspot.fr/2012/10/les-oliviers-fantastiques-de-lucette.html
Carnet de voyage - Ombres et Lumières - L'eau et les Sables, architectures de villégiatures
https://coureur2.blogspot.fr/2014/01/ombres-et-lumieres-leau-et-les-sables.html
2 - La France en vrac
https://coureur2.blogspot.fr/2014/10/visiteurs-des-pages-pour-voir-le-site.html
1 - CP La France en vrac 1
https://coureur2.blogspot.fr/2014/01/la-france-en-vrac-france-in-bulk-franca.html
http://coureur2.blogspot.fr/2017/06/ordre-national-infirmier-recommandations.html
Pour ceux qui aiment les multiples beautés de la France
Les oliviers fantastiques de Lucette
https://coureur2.blogspot.fr/2012/10/les-oliviers-fantastiques-de-lucette.html
Carnet de voyage - Ombres et Lumières - L'eau et les Sables, architectures de villégiatures
https://coureur2.blogspot.fr/2014/01/ombres-et-lumieres-leau-et-les-sables.html
2 - La France en vrac
https://coureur2.blogspot.fr/2014/10/visiteurs-des-pages-pour-voir-le-site.html
1 - CP La France en vrac 1
https://coureur2.blogspot.fr/2014/01/la-france-en-vrac-france-in-bulk-franca.html
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire