samedi 25 août 2012

Berlin, le mur comme modèle d'investigation psychologique Các bức tường như là một mô hình điều tra tâm lý - Berlin, the wall as a model of psychological investigation - Стены в качестве модели психологического исследования -De muur als een model van psychologisch onderzoek墙作为一种模式的心理调查 - جدار برلين كنموذج للتحقيق نفسية - Muro de Berlín como un modelo de investigación psicológica - Muro di Berlino come un modello di indagine psicologica -กำแพงเบอร์ลินเป็นรูปแบบของการตรวจสอบทางจิตวิทยา

Le site complet compte à ce jour 143 articles : il est à votre disposition. Toutes les pages sont issues de mes recherches personnelles et universitaires. Les emprunts à des auteurs sont signalées et il n'y a aucun élément qui tombe sous le coup de la protection des données des lois européennes sans compter que je respecte avant tout la tradition de libertés et de démocratie de la république française. En tant que citoyen français je me conforme à la législation française. Toutes les photos publiées l'ont été avec l'accord des personnes à la date de leurs publications. Ces pages ainsi que tous les documents produits sont assujettis à Copyright et droits d'auteur. Il n'y a aucune raison commerciale, ni déclarée ni cachée, pour la construction de ce blog.  Vous pouvez aussi aller sur le moteur de recherche à droite de votre écran sur cette page. Vous pouvez rechercher tout ce qui vous intéresse, du dessin à la peinture, à l'archéologie, à l'architecture, à la poésie, à la sculpture, aux pages magazines, pour votre stricte curiosité ou culture personnelle, et pour toute autre action ne débordant pas le cadre strict de la consultation. Pour les universitaires qui voudraient produire certains de ces travaux, me contacter sur la partie "blogger" en bas de page, en me laissant votre adresse courriel de messagerie. Pour clarifier mes compétences professionnelles, voici le panorama de mes formations. Lycée technique, mécanique, où j'ai appris le dessin industriel que j'ai par la suite appliqué au dessin d'architecture de relevés archéologiques appris à l'université de Poitiers. Formation militaire BMP1 (engagé trois ans dans les Commandos Troupes de Marine - 22° RIMA puis 1° BPCS - Importante formation à la topographie si utile pour mes recherches archéologiques) - Formation d'Infirmier du Secteur Psychiatrique en 28 mois, IDE par Réforme Hospitalière -  Nombreux travaux et nombreuses formations avec des maîtres de la peinture (lithographie, gravure, peinture,...) et de la littérature contemporaine. Doctorat Lettres et Arts  (mention Très Honorable avec Félicitations), Histoire de l'Art et Archéologie, Université de Provence Centre d'Aix à partir d'autres formations de ce cycle à l'Université de Tours (2 ans - Centre d'Etudes Supérieures de la Renaissance), de l'Université de Poitiers (2 ans - Centre d'Etudes Supérieures de Civilisation Médiévale), et deux ans de formation en lettres à l'université de Nice, et stages divers - Diplôme Inter-Universitaire de la Faculté de Médecine de Lille, "La Santé Mentale dans la Communauté" en lien avec l'OMS/CCOMS. Sur Google "Les budgets aidants..".http://www.ccomssantementalelillefrance.org/sites/ccoms.org/files/Memoire-Peynaud.pdf. J'exerce au C.H.Cannes en tant que coordinateur/responsable des Ateliers Thérapeutiques-Psychothérapie Institutionnelle du Pôle Santé Mentale en Intra Hospitalier)


 Pour voir des liens avec de nombreux articles sur les 143 que compte ce blog, veuillez vous reporter en bas de page. Merci.


J'articule la rédaction de cette page avec la page précédante, comme annoncée en préambule du paragraphe 18 de mon chapitre sur les Techniques et vocabulaires de l'art de la façade peinte (1° article du mois d'août 2012 sur ce blog).

Vous pouvez également faire un lien avec les articles
 "Mon regard sur l'art contemporain" au mois de juillet 2011, sur ce blog.
"Wall painting - Wall Fast Track Collection" au mois de novembre 2012 sur ce blog.
"La Véronique, image ou non de la représentation" au mois décembre 2012 sur ce blog


                 Depuis que je projette sur ce blog certains articles de ma thèse je suis amené à expurger et à enrichir. J'essaie de le faire le moins possible pour garder l'esprit de mon travail. Cet esprit de mon travail doctoral c'est aussi beaucoup de satisfactions narcissiques et scientifiques quand je peux amener les preuves matérielles de ce que je pensais au moment de sa rédaction  mais que je pouvais difficilement insérer dans mon exposé sans ces éléments découverts après soutenance. Des voyages m'ont permis de vérifier beaucoup d'hypothèses, notamment au sujet de mon étude sur les chapelles peintes des Alpes-Maritimes à partir des Primitifs Niçois (mois de mars 2012 sur ce blog). Ces documents sont maintenant insérés dans mes articles sur ce blog.
                Je suis aussi amené à expurger. Dans la page consacrée aux techniques et vocabulaires, des techniques contemporaines, j'ai été amené à supprimer toute la présentation sur le travail de Max Charvolen car avec le recul du temps - cette thèse sur la polychromie architecturale en Principauté de Monaco et dans les Alpes-Maritimes a été soutenue en janvier 2001 - je me suis rendu compte que cette voie que j'avais crue ouverte n'avait en réalité eue aucune incidence sur l'art de la façade peinte. J'avoue que je ne fais pas ce genre de chose facilement, c'est même pour moi assez cruel.
               En cherchant à enrichir ma réflexion, puisque je l'élaguais de ce qui n'était plus pertinent, j'arrivais sur internet au colloque d'études psychologiques de Poitiers ayant pour thème "le mur". Je n'ai jamais cherché sur internet en recherche de thèse. Mais le net est désormais un outil culturel à part entière et c'est une très bonne chose. Cela permet de libérer la publication papier des études scientifiques du carcan des politiques et protectionnismes de tous poils, de l'appauvrissement des capacités de communication par manque de moyens et d'ouvertures de ceux qui maîtrisent ces outils de la communication . La politique des publications papiers par des cénacles, devenant par ailleurs totalement idéologique, au moins en France, ne garantit pas plus de valeur scientifique aux articles publiés qu'à ceux inscrits sur le net. Phénomène d'autant plus intéressant à suivre et à observer puisque de plus en plus des valeurs universitaires sont accordées à des diplômes - en terme d'équivalences -  qui ne suivent pas le cursus universitaire normalement requis,ou jadis requis et qui faisait la réputation de l'Université, à des diplômes dont les formateurs n'ont guère plus de formation que ceux à qui ils attribuent leurs licences et leurs maîtrises (cas des formations hospitalières). Et à ceux qui sont dûment titulaires des diplômes les plus orthodoxes et très chèrement obtenus ont leur oppose des positions statutaires administratives (qu'ils n'ont pas pu acquérir car ils ne peuvaient pas à la fois poursuivre des recherches hyper pointues et se plier à ces lois des courses aux grades administratifs dont la compétence n'est pas toujours le maître mot) lorsqu'ils demandent les postes sur lesquels ils sont hyper-compétents. Ce climat  introduit dans le champ culturel français des fantaisies assez inquiétantes mais faisant désormais parti du panorama culturel français dans lequel les contemporains doivent se débrouiller. Le NET apporte une réponse partielle à ce problème, heureusement pour la recherche scientifique,  allais-je ajouter, lorsque les chercheurs ont les compétences universitaires et les recherches pour des postes très subalternes et d'otages de ces perversions sociales très habilement orchestrées par le politique et par les idéologies et bien souvent en faisant fi du respect et de la dignité de la personne humaine, quoiqu'on veuille bien en dire "au Pays des Droits de l'Homme".
               Une psychologue collègue de travail m'avait parlé de ce colloque de Poitiers et elle m'avait emprunté, entre autres ouvrages que je lui prêtais, un livre sur le mur de Berlin dont je lui avais parlé à cette occasion et dont je produis le premier de couverture ci dessous. Je ne me souvenais pas d'une part que cette collègue avait participé à ce colloque dans le cadre de sa recherche sur l'interculturalité et je ne  m'attendais pas, d'autre part, à ce que ce mur de Berlin ait une aussi grande place dans les articles de ce colloque, y compris dans le sien.
               C'est en comptant utiliser ces articles dans la présentation de ma recherche, pour l'enrichir, que j'entreprenais la lecture de ce qui m'était accessible de ce colloque de Poitiers. Pourquoi le faire maintenant puisque je n'envisage pas de présenter tout de suite mes approches de la façade peinte contemporaine, dont les veines du Hip Hop, de la "figuration libre" et de l'art muraliste en général au XX° siècle.Tout simplement parce que  je suis l'actualité des mes "trouvailles" et l'avancée de la rédaction de mes articles sur ce blog, et que c'est en livrant des réflexions d'actualité que je procède en avancées scientifiques, quitte à revenir, à nuancer par la suite. Le matériau s'épurant la recherche s'affine comme je le précise par la petite insertion sous la première photo produite sur cette page, en entête.
               Je dois dire que je suis surpris. J'expose cette surprise car je ne peux pas utiliser ces articles et si je le déplore j'en donne les raisons. Personne ne me demande bien sûr de le faire. Discuter de la pertinence d'outils scientifiques découverts en recherche fait tout de même partie de l'honnêteté intellectuelle du chercheur qui expose son propre travail. Et, j'ai en arrière pensée une réflexion du Professeur Piötr Skubiciewski, au Centre d'Etudes Supérieures de Civilisation Médiévale de Poitiers, qui m'avait refusé une intervention d'analyse psy sur l'iconologie d'un couvercle de sarcophage mérovingien. Ses arguments étaient de deux natures :
                        - exploiter des outils scientifiques en rapport avec la matière traitée,
                        - n'exploiter le système de pensée psy que pour des oeuvres appartenant au contexte culturel dans lequel ce type de pensée s'est construit, s'est développé et si l'artiste s'en réclame.
                        En conséquence, et pour suivre les conseils de cet éminent professeur d'iconographie médiévale dont jamais personne ne songea même un seul instant à mettre en doute la haute tenue scientifique, le mur de Berlin entrant dans le contexte historique du développement de la psychanalyse, je me dois, d'une certaine façon, de discuter au moins de l'approche culturelle psychanalytique de ce thème au regard des approches en histoire de l'art et archéologie pour en évaluer une pertinente ou impertinente utilité à servir, à enrichir mon sujet et mon propos comme je l'ai fait parfois avec la sociologie et l'ethnologie dans le courant contemporain de ma recherche.

              J'exploite dans cet article quelques photos de cet ouvrage cité plus haut et présenté plus bas et dont je produis le premier de couverture ci dessous. J'espère que l'auteur de ce livre ne verra là qu'un hommage rendu à son beau travail et non pas un pillage scientifique, démarche dans laquelle je ne suis absolument pas. J'espère également que personne n'aura la mauvaise idée de reproduire ces images à des fins commerciales. En revanche ceci pourra peut-être donner envie à des amateurs de se procurer ce très beau livre.
       

                   Comme je travaille beaucoup sur le mur et que je viens de lire quelques articles sur les approches du mur en tant qu'outil de travail utilisé par les psychologues, et notamment au sujet de la production d'altérité et de porosité culturelle, je suis très surpris par la manière avec laquelle on introduit des murs et des murs peints (entre autres) dans le traitement de la chose psychologique de ces articles.
             Bien sûr j'ai beaucoup travaillé sur les murs et les murs peints. Il se trouve que j'ai prêté  le livre d'Herman Waldenburg ( Berlin, art libre Sur le mur, publié chez Herscher, ci dessus) à l'un des auteurs de ces articles d'un colloque de l'Université de Poitiers. L'exploitation qui en a été faite me questionne et ces questions m'entraînent vers d'autres remarques de méthode (s). Notamment le mur réduit à une seule fonction de division pour une création "d'altérité". Le mur a de multiples fonctions, des fondations, aux élévations, aux soutènement des terres, et bien d'autres. Donc poser un axiome du mur sans réfléchir aux moteurs de son édification pour insertion me semble ouvrir à réflexion.

                Je ne fais pas la critique de fond des articles de ce colloque, qui sont certainement excellents, je fais des remarques de méthode pour essayer de comprendre en quoi je ne peux pas utiliser ces articles pour mes propres travaux, ou comment je pourrais peut-être moi aussi avoir une approche différente des mêmes matériaux. Ce sont des remarques d'archéologue et d'historien d'art qui par profession travaille avec l'appareil psychique, en association de médiateurs, à connotations artistiques, et de la psyché.
                1) Le mur de Berlin divise une ville, pas un territoire. En faire un mur de division des deux Allemagnes c'est déjà engendrer une processus de symbolisation territoriale avant  même d'avoir posé le sujet.
                2) l'idée qui a préfiguré à la construction de ce mur de division, de séparation, n'est pas envisagée. On ne sait pas qui a pris la décision ni pourquoi, d'où est venue cette idée (dans les articles de ce colloque, j'entends). Les moteurs - peut-être considérés comme acquis par les auteurs - ne sont ni exposés ni débattus dans la thématique du traitement des articles. Ces exposés auraient permis au lecteur de comprendre d'une part ce qu'il y a de culturel dans le choix de ce thème et d'autre part de suivre la réflexion qui conduirait de la culture admise comme "commune" (ce qui est déjà peut-être une grossière erreur dans un pays fédéré) vers une hypothétique création d'interculturalité - altérité - de dislocation culturelle dont l'exposé différencié en terme d'effets après construction n'est pas traité  pour un pays qui garde toutefois la même langue et le même nom pour deux entités politiques distinctes. Si je ramène ça à mon expérience personnelle j'ai appris trois patois régionaux dans mon enfance et je ne me suis jamais senti étranger à l'identité française, sauf bien sûr quand j'ai rencontré le racisme anti français (français/français des années Mitterrand). De même, l'unité italienne existe bien avant la constitution des provinces italiennes en unique Etat (Royaume d'Italie constitué en 1860-61). Cette unité c'est la langue même et l'unique vecteur de plusieurs foyers culturels et artistiques (la péninsule a tout de même ses patois régionaux). Pétrarque, le père de l'humanisme, fit ses études en langue d'Oc ( de Carpentras à Avignon) et il est pourtant reconnu comme un auteur de langue latine et un des premiers et des plus grands de langue italienne. Même si, par ailleurs, les universitaires italiens vous répondent qu'il n'y a d'unité italienne que pour les étrangers. L'affaire est infiniment plus complexe que des questions de murs.
                   3) des peintures sur ce mur on dit simplement que l'auteur de ce beau livre en a photographié certaines. Hors si altérité il y a c'est bien aussi dans les styles et techniques de construction de ces décors peints dont on ne discute pas non plus la ramification culturelle : clandestins ? en plein jour ? de nuit ? anonymes, signés ? produits par des Allemands, des occidentaux, des orientaux, des gens de l'Est passés à l'Ouest ? et dans un style qui appartient à un créneau historique particulier de l'histoire de l'art, de la civilisation occidentale, européenne. On y trouve même la représentation de la statue de la Liberté. Cela devrait encore questionner comme chacune des images publiées par cet auteur. Ce choix est tellement riche qu'il pourrait lui-même faire l'objet d'un colloque.
                4) quel est le sens de ces peintures /
                                         - individuel ?
                                         - global ?
                                         - social ?
                                         - pulsionnel ?
                                         - idéologique ?
                                         - ....?
                                         - y a t-il des projets d'ateliers préalablement élaborés pour une inscription sur le mur?
                                        - Ce mur devient-il une galerie d'art ou de simples cimaises potenttielles ?
                                        -  Quel est le sens des travaux préparés, de matériaux amenés sur les lieux pour façonner une oeuvre ?
                                        - Est-ce vraiment toujours la question de la division de la ville qui est en question ?
                                        - Le mur n'est-il pas lui-même une culture que certains artistes utilisent en palimpseste comme Rotella le fit ?

                5) pourquoi la rencontre de ce mur avec des personnes qui ont déjà des outils de graphisme dans leurs poches, engendre t-elle une fresque dans la ville ? Une fresque chargée de sens... si par "porosité", comment ce sens est-il appréhendé à l'est et à l'ouest ?

               6) à quel moment le mur devient-il peinture, retrouve t-il son identité de mur de partage (avec tout ce que ce mot "partage" peut avoir dans ce contexte d'ambiguë), la reperd-il à la faveur d'une identité d'image, à quel moment devient-il "parole", "message", et "mur" à nouveau ? Allons-nous jusqu'aux " murs ont la parole" ? A quel moment est-il approprié par le "psy" ?

               7) en un mot, avec ce mur, dans quelle(s) culture(s) sommes nous ?

                        Toutes ces approches font terriblement défaut - parfois toutefois évoquées -  pour admettre les thèses par la suite développées dans les articles, et, qui du coup, semblent souvent vaciller sur des bases inexistantes ou non construites, ou non exposées, ou non analysées. On n'arrive pas à savoir de quelle altérité il s'agit et quel est l'intérêt du sujet sauf pour des développements recentrés à partir d'exemples psy qui reconstruisent heureusement les articles disloqués par ces appels à des exemples, à des symboles non traités .

                 La grande muraille de Chine, qui divise physiquement de grands territoires, qui a représenté un outil défensif contre l'intervention d'autres cultures, aurait pu s'inscrire dans ces réflexions. Elle l'est peut-être mais je n'ai pas eu accès aux textes qui en traiteraient. Cette muraille, donc, a plus exactement été construite pour  lutter contre "l'autre" et maintenir une unité interne. Unité interne qui est toutefois, on le sait, une réunion de plusieurs cultures puisque de plusieurs provinces fédérées en Empire. Ces jeux sur les divisions politiques entre les cultures qu'on veut diviser et celles qu'on unifie en les maintenant à l'écart d'autres cultures, aurait pu faire l'objet d'un débat en terme de frontière (s), de mosaïque, mur symbolique entre deux états avec possibilité d'ouverture sur le mot "état" si bipolarité il peut y avoir : symbolique différenciée d'un bout de mur dans une ville. Bout de mur qui est investi de toutes les frontières physiques et psychiques. Y aurait-il abus de la chose symbolique ? Et, si le mur de Berlin propose la division symbolique de deux Allemagnes, préalablement unifiées par l'Empire (Reich) et la même langue, on aurait aimé savoir si cette division culturelle allemande existait avant même le conflit mondial pour tracer les frontières physiques de ces deux états qui continuèrent de s'appeler "Allemagne" de l'est et de l'ouest en gardant la même capitale : l'Allemagne étant déjà un état fédéré, ce conservatisme du symbole "capital" de la ville est tout de même extrêmement fort. L'extension du sujet au problème des particularités régionales, à leur conservatisme et à leur fusion dans un seul Etat avec l'adoption d'une seule langue et d'une même capitale (on en fit une autre par la suite, certes) m'aurait beaucoup plus convaincu que cette image facile du mur de Berlin que je ne crois pas exploitée dans toutes ses dimensions et par tous ses fondements, et donc pas très justement, voire pas très utilement.

                En évacuant le fondement du réel de ce ce qu'on utilise en symboles pris pour étayer des mécanismes psychiques, réels ou en cours d'étude, on évacue du coup les matériaux constructeurs des théories, la pertinence de leurs emprunts pour le lecteur. Et, en fait, on se rend compte après plusieurs lectures que ces appels à des symboles non traités n'étaient pas très utiles. L'idée même de la thématique fondatrice du colloque s'écroule...

               Il me semble difficile d'admettre des conclusions, des hypothèses de travail, des vecteurs de recherches, quand les matériaux fondateurs sont utilisés comme des produits finis prêts à n'importe quel emploi symbolisé par un consommateur et arbitrairement choisis dans une gamme non présentée d'outils comparatifs.
              Ici le psychologue écrivain est le consommateur d'outil(s) qu'il n'a pas préalablement analysé(s) ou construit(s) pour fabriquer un produit (sa réflexion) pour d'autres utilisateurs en cascades que seront les lecteurs du papier ou du net. Cette image de la cascade dont on ne voit pas la source - ou simplement un reflet de la source, soit une image déformée ou sélectionnée - me semble être bien significative de là où la limpidité de l'eau fait défaut : le fond de ces réflexions est opacifié par la surface même des objets qu'on voudrait utiliser pour plus de clarté, de luminosité.
         
             J'avais envie de réagir à ces choses pour des questions de méthodes et non pas de fond - bien qu'en question de fond chaque image peinte sur le mur soit déjà un outil pluriculturel ou de référence à plusieurs mouvements de l'art et des sensibilités comme je l'ai déjà signalé en jalons répétés et d'étais  de cette remarque- et parce que le mur est en question et que je crois que ce n'est pas un sujet à manipuler avec aussi peu de précaution. Surtout avec la résonance que le mur peut avoir chez un psychotique; l'idée que la "porosité" peut engendrer par les univers transparents, interpénétrés... d'images, les châteaux en ruine et ceux qui sont habités  (par les psychotiques dit-on) et ceux qui sont construits (par les névrosés dit-on), les images fragmentées projetées dans le mur qu'on voudrait peut-être lui-même fragmenter et dont on teste peut-être LA "résistance", LES "limites". C'est tout de même très très lourd cet historique de la pensée psy auquel se rattachent d'autres "murs".
                 En psy, je travaille avec beaucoup de personnes qui sont originaires du monde entier.  C'est pourquoi j'ai installé au mur (toujours le mur) de grandes cartes de géographie d'école primaire, de France, d'Europe et du Monde entier dans une des salles des ateliers thérapeutiques où je travaille pour justement créer ou recréer ces liens avec les cultures qu'on pourrait dire d'origine des patients et pourquoi pas des thérapeutes. Je ne peux pas dire, par simple observation clinique, que je peux adhérer à tous les développements que j'ai pu lire par ces articles de ce colloque de Poitiers, et mon travail avec les artistes du Hip Hop m'a plutôt entraîné vers d'autres observations que je présente à ma page "Mon regard sur l'art contemporain" au mois de juillet 2011. D'autres outils de réflexions appartenant à ces questions de cultures et d'éducation sont aussi exposés dans le petit texte "Education et Poésie" au mois d'octobre 2011 sur ce blog. Texte que j'avais rédigé pour un de mes ateliers thérapeutiques de poésie. Et, d'une façon générale toutes  mes recherches en histoire de l'art et archéologie  sur la polychromie architecturale et sur d'autres sujets sont en eux-mêmes des thèmes où le mur, sa représentation et ses récepteurs culturels iconographiques ou ornementaux, voire structuraux, sont des recherches de courants d'imprégnations culturelles des régions par siècle, par culture. Donc des sujets qui sont abordés dans le réel et dans des liens permanents à l'histoire des civilisations avec des exemples précis et débattus et non pas dans l'abstraction de concepts qui manquent d'outils temporels pour des réductions scientifiques connexes. Si tant est que le temps quantifiable et historique existerait dans certains espaces psychiques ? Le thème m'intéresserait, mais ce n'est pas non plus ici mon propos.
            On en revient toujours au même problème. Lorsque des disciplines veulent utiliser des outils qu'elles ne maîtrisent pas il y a forcément un dérapage qui se produit. Cette maladie de vouloir utiliser l'art et les cultures sans en étudier les fondements, sans apprendre à lire les oeuvres et les civilisations, sans en comprendre leur genèse, sans restituer ces créations dans leurs contextes historiques et culturels. Cette manie de croire que le discours psy résout ou aborde tout, exercice de tautolige contemporaine s'il en est, autre mouvement artistique et culturel. Si l'art est un outil de médiation du langage il n'y a pas de problème, le psychologue a une place. Là où ça devient très très ennuyeux c'est lorsque le psychologue sans connaître la matière ni la forme, ni leurs constructions dans le réel et dans leur histoire, se les approprie en pure fantaisie, voir, pire, s'en fait le promoteur créateur ! En revanche une question vient naturellement à l'esprit en ce qui concerne les formations culturelles différenciées, ou les maintenances d'originalités culturelles face à la mondialisation qui a tendance a vouloir imposer une langue unique... Là encore, il est plus certain que le psychologue ait sa place, à mon sens, mais toujours pas de façon isolée ou en dehors des réalités des artéfacts générés par les courants culturels et de pensée qu'il faut étudier pour traiter convenablement la chose : le mécanisme ne peut pas être abstrait des réalités, sinon c'est la porte ouverte à toutes les spéculations...à toutes les dérives. La clinique ne justifie pas tout car liée aux capacités du chercheur. Et si le chercheur va sur des terres où il se dirige mal, il y a encore problème quand aux résultats et à l'exploitation de ses résultats.
            En constat de ces remarques que j'ai ici exposées, ou tenté d'approcher, je crois en une préhension scientifique psychologique des artéfacts seulement  en se concentrant sur le travail de la matière psychologique et en oubliant les images et à plus forte raison le bâti si le psychologue ne l'a jamais abordé en tant qu'objet du réel. Et à ce moment là seulement la méthode psychologique abordée en méthodologie  peut rencontrer celle de l'historien d'art ou de l'archéologue pour le traitement des artéfacts à partir du XX° siècle. Pour les siècles antérieurs je ne le crois pas, sauf bien sûr dans le cas de traces écrites comme celles des poésies de Michel-Ange. Et encore, à condition de considérer la portée des mots dans leurs contextes linguistique et sémantique historique, ce qui est loin d'être simple. En recherches d'archives on est constamment confronté à ce problème. En iconographie ce type d'exercice devient vite de la haute voltige et pour ma part je m'en tiens aux observations prudentes et de rigueur de Pîötr Skubiciewski.
            L'écrivain qui travaille la matière de l'écriture est un écrivain. Le peintre qui travaille la matière de la peinture est un peintre. Le maçon qui travaille les matériaux de maçonnerie est un maçon. Le maçon qui voudrait construire un mur avec de la psychologie nous construirait un bien curieux édifice, n'est-ce-pas ?
             Donc, je crois aux rencontres des disciplines et à des possibilités de travaux communs. Mais là encore faut-il que les disciplines acceptent de pouvoir apprendre l'une de l'autre, de mettre en commun leurs approches différentes, si ces rencontres peuvent être des enrichissements et non pas des outils de démagogie et donc de temps perdu, en un mot de faire preuve d'humilité et d'efficacité scientifique.

                     Je regrette un peu que ces articles ne puissent pas servir ma recherche, dans leur état, que j'aurais voulu pourtant enrichir ou diversifier; raison, comme je l'ai annoncé, de cette quête sur internet qui m'a fait tomber par hasard sur ce colloque de Poitiers. Mais ce hasard, à son tour, quel est-il ? je n'en sais rien. J'espère tout au plus qu'il s'agit du coup du dés de Mallarmé, mais sait-on jamais ? Cet article que je rédige ici s'insérerait ainsi dans mon travail en synesthésie des travaux, en épiphanie contestée des concepts développés en colloques universitaires par des termes mal appropriés, ou évalués en "mal appropriation" ? La question est posée..
                      Ne considérant pas mon travail comme arrêté ou abouti, même si j'en présente les étapes sur ce blog, je remarque que pour l'instant l'ouverture n'est pas, dans l'état des travaux et des méthodes, du côté des psychologues, pas plus qu'elle ne le fut un temps du côté des ethnologues ou des sociologues qui ont pourtant noircis beaucoup de pages sur le même thème du mur au mur peint, et des pages fort intéressantes. Mon sujet reste, dans l'état actuel des recherches qui me sont accessibles, purement un sujet d'histoire de l'art et d'archéologie...

                            A bientôt pour un prochain article - septembre 2012. J'essaierai de vous présenter d'autres mutations culturelles et d'autre rencontres, d'autres altérités et d'autres porosités sur des terres bien différentes les unes des autres où le mur ne sera plus un petit édifice bâti chargé de symboles et de peintures mais un gigantesque monument naturel chargé de cultures historiques : les Alpes, avec d'un côté le Royaume des Lys, l'Empire Germanique et Austro-Hongrois,  et de l'autre la culture méditerranéenne jusqu'aux migrations massives de l'Est après 1917. Je crois que les siècles et les générations ont déjà créé les ponts entre ces cultures. Maintenant, comment sont-ils vécus de nos jours, quels problèmes se posent à ces personnes contemporaines riches de ces héritages ? C'est effectivement une question qu'il faut aborder si elle pose question et comment pose t-elle question ? Comment les siècles intègrent-ils ces différences pour des enrichissements mutuels, pour des constructions et des disparitions de civilisations ? L'histoire de l'art et l'archéologie qui sont de l'histoire en place apportent de précieuses réponses, c'est ça mon vrai sujet et je remercie les participants à ce colloque de Poitiers pour m'avoir donné l'occasion avec leurs comptes-rendus sur le net de préciser la nature de mes approches au regard d'autres disciplines qui utilisent parfois des supports communs ou voisins. Personne n'ayant bien sûr l'exclusivité des supports ou des vecteurs de réflexions, de l'art à la psychologie.
                                Merci à tous - à bientôt.
                   
                            Il est aussi vrai que ce sont là des sujets que j'avais déjà abordés depuis longtemps et plus récemment j'en avais rédigé des pages dans le cadre de mes ateliers thérapeutiques de Poésie. J'ai sélectionné plusieurs textes qui s'inscrivent dans le contexte de ces  vecteurs que nous avons subi au XX° siècle et que je crois en voie de rémission ou allant vers une nouvelle prise de conscience et de nouvelles approches plus pertinentes et plus en lien avec la réalité des métiers d'art et de leurs manifestations.
                                                                          Donc voilà.
             Ces textes que je vais vous présenter s'inscrivent dans une exploration de la remontée des "Mythes Fondateurs" dans la construction de la culture occidentale. C'est une vaste rubrique que j'avais intitulée "Mythologie et Poésie". Je vous fais aborder ce chapitre par le texte 21, rédigé en janvier 2011, intitulé :

           L'artiste gogol marche t-il toujours aux côtés du gentil fou ?

                   (je précise que ces textes étaient très appréciés par beaucoup de patients et certains les collectionnaient et éprouvaient le besoin d'en reparler avec moi en entretien individuel thérapeutique - donc, ces textes ont déjà été éprouvés avec les populations souffrant de troubles psychiques et parfois rediscutés et débattus avec elles)

                         A notre époque, tout échange d'idées sur l'art, avec en cible principale les arts plastiques, devient impossible tant chacun en a sa conception qu'il revendique en tant que droit démocratique au discours sans jamais réclamer de formation sérieuse à l'art (aux différentes disciplines artistiques). C'est comme si "l'art" dans l'abstrait avait cette particularité au sein des sciences humaines de n'avoir aucun fondement scientifique  et de pouvoir être livré à tout négociateur d'idées pour peu qu'un statut social lui confère une reconnaissance d'élite intellectuelle. L'artiste étant bien sûr exclu de cette reconnaissance. Assez curieux. Par ailleurs, les ateliers thérapeutiques en milieu hospitalier où sont reçues toutes les classes socioprofessionnelles permettent de faire le point sur la formation des population à l'art à l'école : le constat est sans appel. Ce grand vide éducatif ouvre à des professionnels un terrain en friche et de choix en libre accès pour faire admettre des productions pathologiques et leurs auteurs dans le champ de l'art qu'ils barricadent aussitôt dans les murailles des forteresses de leur savoir, et leurs propos deviennent des estimations catégoriques d'art  ayant force de vérités face à la Loi alors que ces experts qui ont dans leur spécialité  médicale force d'expertise n'en n'ont certes pas en art. Dans cette faillite de l'art certains de ces professionnels n'éprouvent aucune gène à tenir des colloques sur l'art, allant jusqu'à donner de nouvelles définitions des concepts artistiques de totale appropriation. Le monde scientifique de l'art est lui-même pris au piège de ses propres spécificités s'il ne s'attache pas à certaines ouvertures de voies de recherches comme par exemple Jean Dubuffet l'avait fait à travers les productions des états pathologiques, s'il ne se repositionne pas sur des bases scientifiques spécifiques dont il est pourtant de bon ton - contrairement à tout-autre science - de faire de nos jours la navrante économie. C'est comme si un musicien pouvait jouer spontanément d'un instrument sans apprentissage : c'est absurde. Une catégorie sociale se positionnant en élite intellectuelle exclusive voudrait donc, entre autres, repositionner le monde de l'art  dans l'exclusivité d'un appareil psy propre à créer de nouveaux concepts pour une redéfinition de l'Art en dehors  de toute pratique des métiers. Le monde de la pathologie mentale devient à l'occasion celui du négoce de l'art. La pathologie passe dans le goût de l'autre qui achète en galerie un morceau de Folie. Extraordinaire et étrange hérésie d'un retour au culte des reliques par le commerce des âmes sublimées en artéfacts de bric et de broc et Duchamp d'en réorganiser la translation suivi d'un Cage à la relance d'un taoïsme médiéval du vide et du plein - le trou y ayant la vedette - en processus d'idées différenciées dans l'art contemporain ( depuis le rapport du Commandant Perry - New-York 1853). "Tous les artistes sont fous" nous vient du commerce de la folie à travers les artéfacts comme jadis le clergé  ayant celui des âmes en monopole vendait des indulgences. Ces professionnels de la santé connaissent encore moins d'artistes que le clergé qui en avait l'étroit contrôle au moins par la commande. En revanche, ces thérapeutes peuvent avoir des clients présentant des caractères fréquemment rencontrés dans le milieux de l'art, dont l'exhibition ou la suffisance de certains thérapeutes. Si le milieu de l'art exerce une certaine attraction et fascine des personnes en souffrance cela ne fait pas pour autant de l'artiste, qui est un homme de métier, quelqu'un de pathologique. Au sein même du métier d'Art Thérapeute nous ne savons pas souvent reconnaître une production médicale  d'une production artistique car seul le procédé mental projectif est pris en compte. La connaissance des métiers d'art y serait pourtant importante pour s'y retrouver et se situer en tant que thérapeute au regard des productions mentales car les productions artistiques sont bien, comme toutes les activités humaines, entraînées par l'énergie psychique. Les artistes ont donc tout à fait le droit d'être malades comme tout autre individu  et le vrai thérapeute doit le reconnaître avec les outils et non pas avec des idées en l'air qui épatent le beau monde. Un médecin tombant malade ne fera pas un artiste pour autant. Et, inversement. La recherche artistique est aussi complexe que la  recherche médicale mais dans tous les cas le processus est le même. Il s'agit de fonctionnement d'un champ de l'activité humaine et en thérapie (dont l'art thérapie) de permettre un réinvestissement dans le paradigme social des activités humaines normales à des personnes éprouvées par la maladie. Si les artéfacts sont utilisés en thérapie il s'agit bien de supports potentiels récepteurs ou vecteurs de productions psychiques mais en aucun cas comme supports pour des oeuvres élaborées par un savoir faire spécifique et de métier. La spécificité de la pathologie mentale étant bien par ailleurs d'altérer les capacités d'un sujet  dans l'exercice de son métier au sein des exigences d'une société, même si l'art est son métier. Les médecins, y compris les médecins psychiatres, ne signent certes pas des arrêts maladies pour le plaisir ou alors le problème est encore plus grave.
                              Le symbole et le genre dans l'art du XIX° siècle posent certainement autant de problèmes à l'amateur d'art  que l'art à l'apprenti sorcier dans ses rapports entre l'art et la pathologie mentale sous la plume de ceux qui veulent qu'il y ait un rapport obligé au regard superficiel des images. Mais, ce dernier point de vue affirmé avec force médicale entraîne bien tout à fait en contre sens la symbolique artistique dans le champ de la sémiologie. Prenons un guide. Si les Etudes d'Emile Mâle ne sont pas des vérités universelles elles ont fait considérablement avancer l'étude de l'art par l'iconologie. La conclusion que cet auteur donne à sa gigantesque étude sur l'iconographie religieuse articule la fin du moyen âge à la période Moderne  par le Concile de Trente (1545-63) /
            " Le moyen âge finissant avait exprimé tous les côtés humbles de l'âme...C'est un art de l'humilité profonde...Tout différent est l'art de la Renaissance. Son principe caché est l'orgueil ; l'homme désormais se suffit à lui-même et aspire à être un dieu. La plus haute expression de l'art c'est le corps humain sans voile ; l'idée d'une chute....Les saints, le Christ lui-même se mirent à ressembler à des héros antiques, à des empereurs divinisés qui planent au-dessus de la nature humaine...Mais cette conception nouvelle ne modifia en rien les dispositions iconographiques. Si l'esprit est différent, la forme reste identique...Si la tradition du moyen âge est morte, ce n'est pas la Renaissance qui l'a tuée, c'est la Réforme.
               C'est la Réforme qui, en obligeant l'Eglise catholique à surveiller les aspects de sa pensée et à se ramasser fortement sur elle-même, a mis fin à cette longue tradition de légendes, de poésie et de rêves."
               Emile Mâle expose alors la fin du théâtre médiéval sous les coups de la Réforme ; les Mystères : "Quand le théâtre religieux disparut, il n'y eut plus d'autres traditions que celles qui se perpétuèrent encore quelque temps dans les ateliers...C'est ainsi qu'à la fin du moyen âge nos artistes se trouvèrent tout d'un coup sans traditions en face des sujets chrétiens. Voilà comment la Réforme, en tuant le théâtre du moyen âge, atteignit indirectement l'iconographie". En attendant de poursuivre sur un prochain potin [c'est ainsi que j'appelle ces textes pour mes ateliers], remarquons Caravage qui reprit l'iconographie médiévale de la "Mort de la Vierge" pour une de ses compositions (1605-1606) : cette peinture fut refusée.


                                                      Or aujourd'hui c'est la réalité
                                                      Secrère encor, mains néanmoins enclose
                                                      Au cours perpétuel et rythmique des choses
                                                      Qu'on veut avec ténacité
                                                      Saisir, pour ordonner la vie et sa beauté,
                                                       Selon les causes.
                                
 La Folie (extrait) : Emile Verhaeren - Poète Belge, Flamand d'expression Française - 1855-1916.

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Bonnes lectures et bon voyage dans les merveilles de l'art, le plus souvent totalement inédites et toujours parfaitement originales à l'auteur de ce blog.
C'est aussi un blog d'informations, de culture et de voyages



Sommaire/Editorial
(le blog est sous copyright) 

Les Mots d'Azur au château de Mouans-Sartoux - Saison 2017-2018
https://coureur2.blogspot.fr/2017/10/les-mots-dazur-au-chateau-de-mouans.html

  Les mots d'azur au printemps des muses - suite 2016/2017 des soirées au Château de Mouans-Sartoux
    http://coureur2.blogspot.fr/2017/05/les-mots-dazur-au-printemps-des-muses.html

Des poèmes sur la Riviera aux couleurs des Mots d'Azur : suite des rencontres maralpines de poésie
saison 2016-2017
http://coureur2.blogspot.fr/2016/09/des-poemes-sur-la-riviera-aux-couleurs.html

Festival du Livre à Mouans-Sartoux avec les Mots d'Azur
 - 6-7-8 octobre 2017
https://coureur2.blogspot.fr/2017/10/festival-du-livre-de-mouans-sartoux.html

Festival du Livre à Mouans-Sartoux - 7-8-9 octobre 2016 - avec Les Mots d'Azur
http://coureur2.blogspot.fr/2016/10/festival-du-livre-de-mouans-sartoux-7-8.html

Rencontres maralpines de Poésie - Mots d'Azur 2015-2016
http://coureur2.blogspot.fr/2015/09/rencontres-maralpines-de-poesie-et.html

Marie Gay - Pierre-Jean Blazy - Auteurs et Editions - Fondateurs des Mots d'Azur - Marie Gay -
http://coureur2.blogspot.fr/2016/03/marie-gay-pierre-jean-blazy-auteurs-et.html

Psychiatrie - Une histoire et des concepts - l'humain et l'art en enjeux
http://coureur2.blogspot.fr/2016/11/psychiatrie-une-histoire-et-des.html

Des poèmes sur la Riviera aux couleurs des Mots d'Azur : suite des rencontres maralpines de poésie
saison 2016-2017
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Jean-Marie Bouet - Fresselines/Larzac - de la poésie aux planches au festival de Fresselines, au Larzac
https://coureur2.blogspot.fr/2012/06/jean-marie-bouet-des-chansonniers-aux.html

Renata- Sculpture contemporaine
http://coureur2.blogspot.fr/2014/06/sculpture-contemporaine-renata-et-le.html

Renata - Pierre Cardin Lacoste - Moulin de Sade - Lubéron 2015
http://coureur2.blogspot.fr/2015/07/renata-pierre-cardin-lacoste-moulin-de.html

Renata - Akira Murata - Espace Auguste Renoir à Essoyes
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Renata chez Pierre Cardin - Le regard de Lydia Harambourg Historienne et critiques d'art, correspndans de 'Institut des Beaux Arts de l'Académie de France
http://coureur2.blogspot.fr/2016/07/renata-chez-pierre-cardin-le-regard-de.html

Mag-Bert ou la peinture mnémonique de gestualité figurative
http://coureur2.blogspot.fr/2014/10/mag-bert-ou-la-peinture-mnemonique-de.html

Claude Peynaud - Clichés et antithèses...
http://coureur2.blogspot.fr/2015/05/cliches-et-antitheses.html

Claude Peynaud - Jogging - Méthode d'élaboration d'un Jogging
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Claude Peynaud - Le cercle des oiseaux
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Claude Peynaud - Le don de l'aïeule
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Claude Peynaud - Une théorie de Construction
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Danielle Benitsa Chaminant - Artiste et mémoire de...
http://coureur2.blogspot.fr/2013/01/danielle-benitsa-chaminant-artiste-et.html

Alliot - Vincent Alliot - Visite d'atelier
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Rémy Pénard - Art et souvenirs autour de Pierre Courtaud
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Henry Chopin et la bibliothèque de Valérie Peynaud
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Sally Ducrow - Land Art et sculpteur ...
http://coureur2.blogspot.fr/2013/01/sally-ducrow-land-art-et-sculpteur.html

Sally Ducrow l'année 2017 - Nationale et internationale - Sculptures - Land-Art - Installatons - Performances...
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Sally Ducrow l'année 2018 - en suivant le chemin de l'aventure internationale de Sally Ducrow
https://coureur2.blogspot.com/2018/07/sally-ducrow-lannee-2018-de-1017-2018.html

CREPS - Boulouris-Saint-Raphaël - Land Art - Sally Ducrow invitée d'honneur
https://coureur2.blogspot.fr/2017/10/creps-paca-boulouris-saint-raphael-land.html

Sally Ducrow : poésie plastique contemporaine
https://coureur2.blogspot.com/2019/06/sally-ducrow-poesie-plastique.html
Valbonne - Echiquier et Mots d'Azur - Fest'in Val - Festival international de Valbonne
http://coureur2.blogspot.fr/2015/08/renata-akira-murata-essoyes-ville.html

Pierre Marchetti magazine...
http://coureur2.blogspot.fr/2011/12/magazine-pierre-marchetti-un-peintre-un.html

La pochade - Pierre Marchetti et l'art de la pochade.
 http://coureur2.blogspot.fr/2012/09/la-pochade-lart-de-la-pochade-et-pierre.html

L'impressionnisme tardif par les souvenirs de Pierre Teillet - Du plainarisme romantique au
 https://coureur2.blogspot.fr/2012/11/limpressionnisme-inedit-par-les.html

Alliance Française - Tiffani Taylor - Savannah Art Walk - ...
http://coureur2.blogspot.fr/2016/01/tiffani-taylor-gallery-une-artiste.html

H.Wood  - un peintre Anglais à Paris au milieu du XIX° siècle
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Sophie Marty Huguenin, sculpteur et le marché de Noël à Biot - Les crèches de Cannes - Le partage du pain du père Guy Gilbert
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Evolution de la gravure à Venise et en Europe du XV° au XVI° siècles - Histoire et techniques
http://coureur2.blogspot.fr/2017/02/la-gravure-venise-et-en-europe-du-xv-au.html

Aux aurores de la peinture moderne et contemporaine occidentale - Giorgione - Les Trois Philisophes
http://coureur2.blogspot.fr/2017/03/aux-aurores-de-la-peinture-moderne-et.html

La décoration intérieure ou la démocratie de l'art
https://coureur2.blogspot.fr/2012/11/wall-painting-fast-track-collection-une.html

Magda Igyarto - Vibrations et expériences de la matière : du visible à l'indicible et de l'indécible au dicible - Peintre, poète et sculpteur
https://coureur2.blogspot.fr/2018/01/magda-igyarto-vibrations-et-experiences.html

Pour ceux qui aiment jouer aux experts 

Vrai ou faux - Houdon ou Houdon
https://coureur2.blogspot.fr/2014/01/houdon-ou-pas-houdon-jouez-lexpert-en.html

Vrai ou faux - Un tableau inconnu de la Renaissance
https://coureur2.blogspot.fr/2013/01/un-tableau-inconnu-de-la-renaissance.html

Vrai ou faux - Traduction originale du manuscrit de Qumram sur la mer morte ( en cours)
https://coureur2.blogspot.fr/2015/01/vrai-ou-faux-traduction-originale-du.html

Pour ceux qui aiment la recherche en académies de nus - modèles vivants
Nus 2015
https://coureur2.blogspot.fr/2015/03/nus-2015-nackt-2015-nude-2015-2015-2015.html
Nus 2014-2015
https://coureur2.blogspot.fr/2014/09/nus-2014-2015-abac-modeles-vivants-nus.html
Nus 2013-2014
https://coureur2.blogspot.fr/2013/09/nus-2012-2013-abac-nus-2012-2013-2012.html 
Nus 2012-2013
https://coureur2.blogspot.fr/2012/10/nus-abac-20122013-associations-des.html

Et pour ceux et celles qui aiment l'archéologie et l'architecture
voici encore un échantillon de mes recherches sur ce blog
And for those who love archeology and architecture
Here again a sample of my research on this blog

L'ancienne église Saint-Nicolas de Monaco
http://coureur2.blogspot.fr/2012/01/monaco-ancienne-eglise-saint-Nicolas-le.html

Techniques et vocabulaires de l'art de la façade peinte
http://coureur2.blogspot.fr/2012/08/un-tour-dans-le-massif-central.html

Les Vecteurs Impériaux de la polychromie occidentale
http://coureur2.blogspot.fr/2012/06/philippines-les-Vecteurs-imperiaux-de.html

Le clocher des Frères Perret à Saint-Vaury
http://coureur2.blogspot.fr/2012/01/perret-freres-le-clocher-des-freres_10.html

Histoire de la Principauté de Monaco
http://coureur2.blogspot.fr/2012/07/histoire-de-la-principaute-de-monaco.html

Le Palais Princier de Monaco
http://coureur2.blogspot.fr/2012/09/palais-princier-de-Monaco-palais-of.html

Versailles - Monaco - Carnolès - Menton: présence de l'art français en Principauté de Monaco
http://coureur2.blogspot.fr/2012/09/versaillesmonaco-larchitecture.html

Primitifs Niçois - Les chapelles peintes des Alpes Maritimes
http://coureur2.blogspot.fr/2012/03/primitis-nicois-les-Chapelles-facades.html

Eglises du sud-ouest de la France A travers l'art de la polychromie architecturale
http://coureur2.blogspot.fr/2013/02/eglises-du-Sud-Ouest-des-alpes-alpes.html

Des cérémonies et des fêtes Autour de Saint-Nicolas de Monaco
http://coureur2.blogspot.fr/2013/09/des-cérémonies-et-des-fêtes-Autour-de.html

Langages de l'art contemporain - répétition, bifurcation, ...
http://coureur2.blogspot.fr/2013/09/repetition-ordinaire-bifurcation-art-du.html

La polychromie architecturale et l'art de la façade peinte (1° partie) - des édifices civils dans les Alpes-Maritimes
http://coureur2.blogspot.fr/2014/07/la-polychromie-architecturale-et-lart.html

Façades peintes - édifices civils du sud-ouest des Alpes - 2° partie - XX° siècle
http://coureur2.blogspot.fr/2015/01/facades-peintes-edifices-civils-du-sud.html

Aspects de l'évolution des seigneuries historiques de la Principauté de Monaco à travers quelques 
exemples d'architectures polychromes ponctuelles.
http://coureur2.blogspot.fr/2016/01/aspects-de-levolution-des-seigneuries.html

                                                                  
Châteaux de la Creuse - de la fin du moyen âge - XV et XVI° siècle
http://coureur2.blogspot.fr/2011/09/une-histoire-de-lescalier-en-vis.html


1° partie - Archéologie Médiévale - Aspects et singularités du château en France à la fin du Moyen Âge (XV° et XVI° siècles)
http://coureur2.blogspot.fr/2013/10/archeologie-medievale-aspects-et.html

2° partie - Archéologie Médiévale - Aspects et singularités du château en France à la fin du Moyen Âge (XV° et XVI° siècles)
http://coureur2.blogspot.fr/2014/11/2-partie-archeologie-medievale-aspects.html


3° partie - suite des parties 2 et 3 d'Archéologie Médiévale consacrées aux aspects et singularités du château en France autour des XV° au XVI° siècles
http://coureur2.blogspot.fr/2016/04/3-partie-suite-des-parties-parties-1-et.html

Yviers/Charente - Archéologie médiévale - Une synthèse sur l'évolution architecturale du XV° au XVI° et XVII° s. en France - Mutations des donjons et maisons-tours des petits châteaux de la fin de la Guerre de Cent-Ans vers les donjons résidentiels de la fin du XV° siècle au XVI° siècle et  des incidences dans le classicisme français.
https://coureur2.blogspot.fr/2018/04/yvierscharente-archeologie-medievale.html

Allemans en Périgord - Manoir du lau - Archéologie Médiévale
https://coureur2.blogspot.com/2018/09/allemans-en-perigord-manoir-du-lau.html

Fonctions religieuses apotropaïques et traditions funéraires en France -
http://coureur2.blogspot.fr/2015/08/fonctions-religieuses-apotropaiques-et.html 

Maisons alpines d'économie rurale (Alpes-Maritimes)
https://coureur2.blogspot.com/2011/11/maisons-alpines-deconomie-rurale.html

Pour ceux qui aiment l'iconologie, et l'iconographie
For those who like iconology, and inconography

         Autour du rocaille. Dessin préparatoire d'étude - Le jugement de Pâris
             https://coureur2.blogspot.com/2011/07/dessin-preparatoire-pour-une.html  

La Véronique - Image ou non de la représentation
http://coureur2.blogspot.fr/2012/12/la-veronique-de-la-legende-lart.html 

Langages de l'art contemporain - Répétition ordinaire - Bifurcations - Translation...
https://coureur2.blogspot.fr/2013/09/repetition-ordinaire-bifurcation-art-du.html

Fête de la musique à Nice - Place Garibaldi à Nice - Exposition d'artistes Polonais
https://coureur2.blogspot.fr/2013/07/la-fete-de-la-musique-expositions.html

La Mourachonne à Pégomas (exercice de recherche iconographique)
https://coureur2.blogspot.fr/2012/05/la-mourachone-pegomas-nouvelles.html

Cannes en 4 perspectives albertiennes recomposées - dessin panoramique à la mine de plomb
       https://coureur2.blogspot.fr/2018/02/cannes-en-4-perspectives-albertiennes.html 

Pour ceux qui aiment la poésie et qui en plus, comme moi, la reconnaisse comme la mère de tous les arts y compris de l'art contemporain
For those who love poetry and more, as I recognize it as the mother of all arts including contemporary art

Rencontres maralpines de Poésie - Mots d'Azur 2015-2016
http://coureur2.blogspot.fr/2015/09/rencontres-maralpines-de-poesie-et.html

Des poèmes sur la Riviera aux couleurs des Mots d'Azur : suite des rencontres maralpines de poésie 2016-2017
http://coureur2.blogspot.fr/2016/09/des-poemes-sur-la-riviera-aux-couleurs.html

Pierre Courtaud - Magazine - Un écrivain, un éditeur un poète, un chercheur en écritures - Un spécialiste de nombreux auteurs.
http://coureur2.blogspot.fr/2012/03/pierre-courtaud-magazine-un-ecrivain-un.html

Henry Chopin et la bibliothèque de Valérie Peynaud
http://coureur2.blogspot.fr/2013/12/henri-chopin-et-la-bibliotheque-de.html

Cannes -1° nuit de la poésie et de la musique au Suquet - 21 juin 2014
http://coureur2.blogspot.fr/2014/06/cannes-1-nuit-de-la-poesiefete-de-la.html

 2° nuit de la musique et de la poésie - Cannes 21 juin 2015
http://coureur2.blogspot.fr/2015/05/2-nuit-de-la-poesie-et-de-la-musique-au.html

3° nuit de la poésie et de la musique  au Suquet- Cannes Moulin Forville le 21 juin 2016
http://coureur2.blogspot.fr/2016/06/3-nuit-de-la-poesie-et-de-la-musique-du.html

Golf-Juan - Performance poétique - Brigitte Broc - Cyril Cianciolo
http://coureur2.blogspot.fr/2015/03/golf-juan-performance-poetique-brigitte.html

Marie Gay - Pierre-Jean Blazy - Auteurs et Edition(s) - Fondateurs des Mots d'Azur
http://coureur2.blogspot.fr/2016/03/marie-gay-pierre-jean-blazy-auteurs-et.html

De Vallauris à Cannes - Le Printemps des Poètes sur la Côte d'Azur avec Les Mots d'Azur
http://coureur2.blogspot.fr/2016/03/de-vallauris-cannes-la-cote-dazur-en.html

 Christophe Forgeot : Poète  - Poésie - Poème
http://coureur2.blogspot.fr/2014/09/christophe-forgeot-un-poete.html

Zorica Sentic - Poète-romancière Franco-Serbe
https://coureur2.blogspot.fr/2012/09/zorica-sentic-poete-romancier.html

La Corse des poètes
https://coureur2.blogspot.fr/2015/08/la-corse-des-poetes-porticcio-village.html

Magda Igyarto - Vibrations et expériences de la matière : du visible à l'indicible et de l'indécible au dicible - Peintre, poète et sculpteur
https://coureur2.blogspot.fr/2018/01/magda-igyarto-vibrations-et-experiences.html

Pour ceux qui aiment les légendes
For those who love legends

The Woodcutter and the Revenant - Sedimentary Memory - Essay - Creuse
Http://coureur2.blogspot.fr/2013/07/la-creuse-memoire-sedimentaire.html

La Creuse - Le Bûcheron et le Revenant - Mémoire sédimentaire - Essai - Creuse
http://coureur2.blogspot.fr/2013/07/la-creuse-memoire-sedimentaire.html

Les routards de la baie d'Halong dans la tourmente https://coureur2.blogspot.fr/2013/10/les-routards-de-la-baie-dhalong-dans-la.html

Vietnam - La légende du Dieu des montagnes et du Dieu de la mer
https://coureur2.blogspot.fr/2014/05/vietnam-la-legende-du-dieu-des.html

Pour ceux qui aiment les voitures de collection
Vis-à-vis de Dion-Bouton type E 452 - La voiture emmurée aux enchères à Lyon
https://coureur2.blogspot.fr/2015/09/1900-vis-vis-de-dion-bouton-type-e-452.html

Pour ceux qui aiment l'art lyrique et la musique
Johanna Coutaud (prochainement)
Chanteuse lyrique - Soprano

Elzbieta Dedek - Pianiste virtuose internationale
http://coureur2.blogspot.fr/2016/09/pianiste-virtuose-internationale.html

Pour ceux qui aiment le cinéma
68° festival du cinéma - Alexandra Robin - Léopold Bellanger  - Cédric Bouet
http://coureur2.blogspot.fr/2015/05/68-festival-cinema-cannes-2015.html

Pour ceux qui aiment la danse
 48° Congrès Mondial de la Recherche en Danse - Avignon du 9 au 13 novembre 2016 - Fabienne Courmont présidente -  UNESCO-CID partenaires 
http://coureur2.blogspot.fr/2016/11/48-congres-mondial-de-recherche-en.html  

Festival d'Avignon à Mouans-Sartoux - Danser Baudelaire - Bruno Niver - Marina Sosnina - Répétition générale
https://coureur2.blogspot.fr/2015/02/du-festival-davignon-mouans-sartoux.html


Pour ceux qui aiment s'habiller et sortir
Eliane Horville - soirées - ville - élégance - conseils - coach
https://coureur2.blogspot.fr/2016/01/soirees-ville-elegance-every-wear.html

Sortir - Manifestations -Performances - Expositions...2012/2017
https://coureur2.blogspot.fr/2013/02/evenements-expositions-manifestations.html


Pour des participations citoyennes


Ordre national infirmier - Recommandations sanitaires
http://coureur2.blogspot.fr/2017/06/ordre-national-infirmier-recommandations.html

Pour ceux qui aiment les multiples beautés de la France 

Les oliviers fantastiques de Lucette
https://coureur2.blogspot.fr/2012/10/les-oliviers-fantastiques-de-lucette.html

Carnet de voyage - Ombres et Lumières - L'eau et les Sables, architectures de villégiatures
https://coureur2.blogspot.fr/2014/01/ombres-et-lumieres-leau-et-les-sables.html

2 - La France en vrac
https://coureur2.blogspot.fr/2014/10/visiteurs-des-pages-pour-voir-le-site.html

1 - CP La France en vrac 1
https://coureur2.blogspot.fr/2014/01/la-france-en-vrac-france-in-bulk-franca.html