L'atelier Claude Peynaud: février 2017

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Je ne sais pas qui est l'auteur de ce tableau mais il représente ou évoque pour moi ces routes qu'empruntaient les artistes de la fin du Moyen-Âge et de la Renaissance entre le nord et le sud de l'Europe à travers le croissant alpin : routes de cols en bordure de vertigineux ravins, vallons, vallées des grands fleuves, cours de petites rivières et torrents...

Je vais effectivement vous entraîner vers un voyage,
A travers l'aventure de la gravure en Europe
du
XV° au XVI° siècle, depuis les tissus gravés aux incunables tabellaires, aux cartes à jouer, aux caractères mobiles.
Pour se répandre et constituer peu à peu une culture commune aux pays, aux nations, l'image a souvent été véhiculée par la gravure plus que par le tableau véritablement.
Les gravures pas cher, circulant partout des églises aux tavernes aux tabliers des bergères, véhiculaient parfois de très grands modèles de l'art des plus grand artistes aux images les plus naïves.
Toutes portaient un message de civilisation, une information et servaient aussi le jeu divinatoire, l'ornement autant que le modèle, que l'acte de foi ou de civilité, des modèles d'écritures.
L'image a un histoire,
la gravure a son histoire et c'est avant tout un langage qui met en place des codes de plus en plus sophistiqués que seuls de véritables artistes pouvaient maîtriser après de très longues années d'apprentissage et de pratique.
Il fallait parfois six mois pour réaliser une gravure, et parfois peu de temps à la pointe d'un couteau.

C'est une recherche ancienne que j'avais oubliée au fond de ma bibliothèque. Mais ce soir une amie me téléphone et me demande un nouvel article sur l'art, les techniques, des choses peu ou pas connues.
Je ressorts cet article que je dédie bien sûr à tous les artistes de l'image peintre, gravée, sculptée ou dessinée, numérisée...

Je suis toujours stupéfait lorsque je découvre une vue aérienne ancienne, et en plus sur un territoire aussi étendu et complexe que la ville de Venise.
Il s'agit d'une peinture du début du XVIII° siècle de Giuseppe Heintz
(musée Correr)

Le XVIII° siècle à Venise va être le siècle des grands peintres vedutistes qui ont magnifié et exporté la beauté de Venise par des inventions perspectives et des boîtes optiques permettant de saisir toutes les vues sur les canaux et les palais de la célèbre lagune. Les Heintz, par Joseph et Guiseppe sont de ces peintres aux côtés de Luca Carlevaris, d'Antonio Canaletto, de Bernardo Belloto, de Michiel Marieschi, de Francesco Guardi et des peintres de genre comme Pietro Longhi.
Le XVIII° siècle à Venise est riche et on ne s'étonne alors pas de trouver une vue aérienne de la cité lacustre.
En revanche,
on est bien étonné trois cents ans plus tôt de trouver une première vue aérienne de Venise sous les ciseaux et le burin d'un graveur de génie
Jacopo De'Barbari (1450-1516)
qui grave sur bois, autour de 1500, cette vue de Venise
tirée par Anton Kolb de Nuremberg

Les liens entre le nord et le sud de l'Europe sont puissants et les artistes circulent à travers le croissant alpin, du nord au sud et d'est en ouest.
Cette immense montagne alpine est un carrefour de civilisation et d'échanges entre les grands foyers culturels de l'Europe sud et nord

Mon étude commence ainsi

Le livre au Moyen Âge

D'abord il ne faut pas oublier l'importance des livres écrits à la main - souvent dans les monastères - et enluminés par de très grands artistes, comme ci-dessous le Livres d'Heures de Jeanne de France

Clichés Claude Peynaud d'après le somptueux fac similé du manuscrit original acquis par la Bibliothèque de France en 2012, publié en 990 exemplaires limités par Citadelles-Mazenod en 2015

qui laissent dans la bibliophilie contemporaine des traces très importantes bien qu'il semble qu'on assiste actuellement à la fin des miniaturistes enlumineurs qui firent la gloire de certaines maisons d'éditions comme Arts et Couleurs de Monte Carlo qui surent en confectionner et en publier en prestigieuses éditions avec des illustrations peintes à la main

Clichés Claude Peynaud d'après l'édition originale illustre par Jean Gradassi 1981 - Tirage à 200 exemplaires

C.Claude Peynaud d'après l'édition originale illustrée par Da Ros - exemplaire N°206 - 1983

C.Claude Peynaud - D'après l'Edition Originale de 1984 - Edition d'art Sefer, Joseph Poulenc, illustrée par Dominique Perdignon - Un des 200 exemplaires du tirage de tête.

La gravure ; quelques repères historiques

Les incunables tabellaires

Impressions tabellaires qui se faisaient avec des planches gravées. Incunable signifiant "berceau"

Jusque vers 1452-1453 on imprime avec des planches de bois gravées. Le bois est coupé dans l'horizontale du tronc de l'arbre (bois debout) ou dans le sens du tronc vertical (bois de ligne). A partir de cette date apparaissent les premières pièces imprimées avec des caractères mobiles en plomb qu'on assemble un à un dans une forme en bois pour constituer une page sur laquelle on posera la page à imprimer.

Le premier grand ouvrage imprimé en caractères mobiles est la Bible de Johannes Gütenberg, dite bible à 42 lignes imprimée à Mayence en Rhénanie-Palatinat.

Les illustrations apparaissent au sein des caractères mobiles en 1461 à Bamberg dans le Land de Bavière.

Les nouvelles techniques d'impression des livres s'exportent au sud des Alpes

Dès 1465-1467 à Subiaco en péninsule italienne dans la province de Rome, un premier livre est imprimé en caractères mobiles : il est signé par Ulrich Hahn.

En 1469 Pline est publié à Venise par Jean de Spire, avec des bordures spécifiques tracées en blanc sur fond noir : en taille blanche.

En 1470 avec la fondation de l'atelier de La Sorbonne une premier livre est imprimé en France avec des caractères mobiles.

1494 avec les éditions d'Alde Manuce Venise devient la capitale mondiale de l'imprimerie.

1501 est la date théorique retenue pour la fin des incunables tabellaire mais la Bible de Padoue est cependant imprimée par cette technique au début du XVI° siècle.

1514-1517 : bible polyglotte d'Alcala de Hénares

1522 publication par Melchior Lotter de WIttenberg de la traduction en langue vulgaire du Nouveau Testament de Luther, avec un tirage exceptionnel de 3000 exemplaires.

1531 publication à Augsbourg du Liber Emblematum d'Alciat qui fixe le répertoire iconographique utilisé par les illustrateurs de livres

Avec les besoins d'insérer des plaques gravées au sein des compositions en caractères mobiles les techniques de gravures sur métaux apparaissent. L'orfèvrerie avait déjà largement développé ce secteur.

Au nord des Alpes

En revenant à partir de la fin de la période des incunables tabellaires on rencontre entre 1430 et 1453 l'activité d'un "Maître des cartes à jouer" qui était probablement un orfèvre.

En 1466-1467 un maître E.S. signe ses planches de ce monogramme et les date également.

Un peintre intervient alors dans le panorama de la gravure. Il s'agit de Schongauer (1430-1491) qui signe ses planches M+S.

Au sud des Alpes

1441 - Venise, le Livre des Peintres interdisait, par mesure communale, "l'importation des cartes à jouer et des images peintes ou imprimées sur papier et sur toile de lin".
Procédé de xylographie : cartes à jouer
Taille en réserve images pieuses
tissus.
1460 - Florence. Invention de la gravure sur cuivre.
D'après Giorgio Vasari Mase Finiguerra - orfèvre qui a fréquenté Pollaiuolo - invente la gravure sur cuivre.
1465 (vers) Pollaiuolo invente "la manière large".
1467-68 (vers) Rosseli créé une "manière noire" à partir de la "manière large"
1472 (vers) Mantegna adopte les techniques de Pollaiuolo et de Rosseli.
1495 premier voyage de Dürer à Venise

Les techniques de gravures au burin sur métaux
en Europe à partir de la fin des incunables tabellaires

Une clef pour la lecture des gravures vénitiennes avant Dürer

Traduction de la lumière par le langage gravé de Dürer

Pour les nouvelles façons de penser l'image le Nord de l'Europe devance le sud, tout comme pour les techniques de peintures à l'huile.

En péninsule italienne (constitution de l'Italie moderne en 1861- avant, l'Italie politique et culturelle est une mosaïque de villes et de provinces) la gravure débute vers 1460.

Les premières impressions de Jacopo De'Babari, de Benedetto Montagna et de Giulio Campagnola, entraînent une fois de plus la Renaissance italienne dans les courants venus du nord, avec les modèles de livres et d'images pieuses, de cartes à jouer.

De nouvelles techniques d'approche de la gravure sont toutefois mises en place en péninsule et, comme déjà dit, Andrea Mantegna reprend les techniques larges de Pallaiuolo et se tourne aussi vers les techniques de Rosselli créateur de aires noires ou manières noires. Il utilise les zig-zag comme Pallaiuolo pour ses premières impressions mais il intercale de petites lignes entre les grandes lignes parallèles.

Rosselli se limite à des dégradés de tons alors que Mantegna utilise cette technique pour changer les jeux d'ombres et de lumières, produisant une surface vibrante si typique de ses gravures. Zig-Zag obtenus non avec un burin mais avec une pointe sèche. Cette manière large caractérise les gravures du nord de l'Italie au XVI° siècle.

Andréa Mantegna - Mise au tombeau - Burin et pointe sèche - vers 1475.

Alors que Mantegna est à Mantoue dans le dernier quart du XV° siècle, Dürer est à Venise autour de 1500.

Venise et Rome deviennent les capitales de l'art de la gravure et des nouvelles tendances vers la flexibilité des lignes, surtout dans les ciels et les paysages. Ces habilités firent l'émerveillement de l'Italie et tout le monde copia, Dûrer en particulier. Les autres centres sont Mantoue et Florence.

Ce qui impressionne les contemporains de Dürer c'est sa capacité à rendre les formes rondes, alors qu'à Venise au XV° siècle on utilisait déjà des réseaux de lignes incurvées.

Evolution des écritures volumétriques avec leurs potentielles combinaisons à travers les productions gravées à Venise tout le long du XVI° siècle; en taille douce.

Le Vénitien Jacopo De'Barbari se rendit à Nuremberg pour étudier ce principe des rendus des formes rondes auprès de Dürer. Plus tard en Hollande Jacopo découvrit d'autres directions de recherches avec le jeune Lucas Van Leyden.

A partir de ces recherches de Jacopo De'Barbari auprès de Dürer et d'autres artistes et maîtres du nord de l'Europe Venise devint un des principaux centre de la gravure au XVI° siècle.

Jacopo De'Barabari traite la gravure comme la miniature et la densité des lignes est ypique de sa manière tout comme le fluidité pour Dürer.

Des procédés apparaissent encore comme le gravure en épargne sur métal, ou le procédé dit "de réserve" surtout utilisé pour imprimer les tissus de différentes couleurs

Pour imprimer les étoffes, les toiles des bannières ou des tentures la gravure sur bois - procédé xylographique qui fit ses premiers pas pour l'impression d'images pieuses- continue sa carrière et un traité lui est consacré en 1477 le Libro dell'arte O trattato della pittura

Evolution de la gravure par des exemples commentés

Réutilisant mes exemples photocopiés du temps de ma recherche au CESR/université de Tours, les reproductions ne sont pas excellentes mais le lecteur pourra revenir sur ces estampes à partir de la bibliographie que je donne en fin de rédaction de cet article

Les gravures de cette époque ne sont pas colorées

Cette illustration des sonnets de Pétrarque , datée de 1488, possède tous les attributs de la gravure vénitienne et oppose assez nettement deux conceptions du monde, traduites par le rendu de l'image : le monde du cahot terrestre introduit par un enrochement brisé , et le monde de l'ordre céleste, cerné par un soleil.

Pétrarque (1304-1374) père de l'humanisme et co-fondateur, avec Dante, de la langue vulgaire italienne : le Dolce still nuovo à la base de l'italien moderne.

Pour un lecteur moderne on peut avoir quelque mal à comprendre le rapport de l'illustration aux contenus des sonnets de Pétrarque qui sont principalement des poèmes d'amour et de leur rapport à la vieillesse aux regards de la jeunesse. L'amour de Pétrarque pour Laure de Noves de la bonne société avignonnaise restera toujours platonique.

Je suis las de penser

Je suis las de penser comment encor je peux

N'être las de penser à vous, Laure si belle,

Et comment je n'ai fui l'existence mortelle,

De fuir de mes soupirs le poids si douloureux;

Et comment à parler toujours de vos cheveux,

De votre beau visage et de votre prunelle,

Quand votre nom sans cesse, nuit et jour, j'appelle,

La langue avec le son ne m'ont manqué tous deux;

Comment mes pieds ne sont brisés de lassitude,

A poursuivre vos pas surtout avec ardeur,

Perdant sans nul profit tant de solicitude;

D'où viennent le papier, l'encre qu'en votre honneur

J'use à profusion ? Si j'erre, qu'on m'excuse,

Et que l'amour plutôt que mon art on accuse.

DURËR

Pour l’œil non averti la différence entre gravure et dessin est assez difficile à établir.

Ce qui caractérise la gravure de Dürer en 1494, c'est-à-dire un an avant son premier voyage à Venise et son véritable contact avec la manière mantégnesque (dite manière large) c'est le travail de la plaque à la pointe sèche. Dürer grave la plaque à coups répétés de stylets (dite manière fine).

Cette façon de faire intéresse au plus haut point puisqu'elle permet de comprendre comment, vers 1506 ou 1508, Jacopo De'Barabari va pouvoir assouplir la manière large de Mantegna, introduire le "coup souple" de Titien et d'une certaine façon traduire l'univers giorgionesque.

C'est-à-dire que débarrassé de la couleur l'oeuvre ne fait plus sens par "la couleur" mais par un substitut gravé : LA VALEUR (en tant que nuances et quantité de noir et blanc émis par une oeuvre comme en dessin).

Un des meilleurs exemple de cet aboutissement des recherches c'est le Pégase que Jacopo de'Barbari grave en 1509 : plus bas sur cette page après la présentations d'autres étapes nécessaires qui amèneront à une compréhension plus compète de cette gravure.

Dürer et Mantegna

Deux gravures de 1494

Dictionnaire grec

donné pour une oeuvre de 1474

Ce Dictionarum graecum porte la date de 1474.

On peut être un peu étonné de cette date compte tenu de l'état de la gravure à Venise à cette époque.

En effet les premières édition d'Aldo Manuce datent de 1494. Le Pline publié à Venise en 1469 est le premier à porter les bordures spécifiques tracées en blanc sur fond noir, soit en taille blanche.

Remarquons encore que la correspondance de la gravure au sujet de l'oeuvre ne semble pas être une préoccupation à cette époque - comme vu plus haut avec les sonnets de Pétrarque. En effet les figures d'antiques ne sont pas légion sur ce frontispice. En revanche on peut remarquer un personnage enturbanné au milieu de la base de la composition.

Giulio Campagnola

(Padoue 1482 - Venise 1515)
(le père adoptif de Domenico Campagnola - Venise vers 1500, Padoue 1564)

gravure

Sitôt qu'apparaissent vieillard, compas, lune et soleil dessinés sur quelque parchemin, sitôt on pense à Giorgione (Les trois philosophes). En effet Giulio Campagnola a gravé des peintures de Giorgione décédé en 1510.

La typologie de la composition très vénitienne mais pas véritablement en "V", au lieu habitable très détaillé, au vieillard très près de certains courants de moines, aux monstres très particuliers, renvoie peut-être aussi à un Carpaccio sous-jacent et à un imaginaire nordique.

Ce type de composition avec un talus récepteur de la scène à gauche et dégagement à droite vers un paysage habité ou végétal est ce qu'André Lhote appelle un "compartimentage" dans son traité du paysage. Renvoyant à Joachim Patinir ou Patinier (Belgique/Flandres 1485-1524) pour la création de ce type de composition. La rencontre de Patinir et de Dürer a lieu en 1520, donc cinq ans après le décès de Campagnola.

A.Lothe, Traité du paysage. 1939, p. 28

Joachim Patinier est effectivement encore reconnu comme "l'inventeur du paysage".

Joachim Patinier ou Patinir, La fuite en Egypte 1515

La question qui se pose alors c'est celle des rapports du nord au sud alors qu'il semblerait qu'aucun des deux artistes n'aient fait le voyage qui en Italie, qui en Flandres.

La circulation des gravures aurait-elle alors été un lien puissant pour la création des grands genres de la peinture classique ? Tout autant que les grands collectionneurs qui faisaient voyager les peintures dans leurs palais, villas et châteaux.

Ce qui est ici remarquable ici c'est que ce qui se passe au nord comme au sud des Alpes, est quasi contemporain sans que nous puissions déterminer qui a devancé l'autre dans deux genres de créations d'images différentes : gravure et peinture.

Bénédetto Montagna
(1450-1523)
Femme et Satyre et deux cupidons
1506

Nous retrouvons ici la mise en page de l'image par la technique dite de "compartimentage" (selon A.lothe) mais basculée à droite, bien que ce type d'image ne réponde pas au nouveautés giorgionesques.

Il faut remarquer l'apport des personnages placés sur des arbres sans feuille et l'accent mis sur les perspectives du paysage par des mobiliers architecturés qui s'articulent aux perspectives des montagnes qui conservent la valeur forte de leurs contours sur des ciels clairs, sans faire la moindre référence aux horizons fondus de Léonard de Vinci (sfumato).

Benedetto Montagna est également cité comme un artiste ayant été très sensible à l'influence allemande (Larousse de la Peinture).

Lucas Granach

Le prince chassant le sanglier

1506

Cette gravure du nord de le l'Europe, de la décennie de Giorgione, permet de cerner un autre type d'écriture, peut être assez proche de celle dite de Titien, où la richesses des éléments figurés et mobiliers risquent se dissoudre dans le réseau des lignes d'information de l'objet gravure.

En revanche, il y a là la constante du paysage opacifié par les frondaisons et le paysage "transparent" par les arbres sans feuille.

Au fond on devine un lieu habitable ou habité.

Nous retrouvons les montages dits "compartimentés" : un type codifié de construction du paysage semble s'imposer à l'Europe, de part et d'autre des Alpes.

Bible de Bohème

1506

Cette planche ci dessus est le frontispice d'une bible. On peut être frappé par l'absence, ou la quasi absence, d'iconographie religieuse. Il n'y a en fait que le petite croix sur le casque entre des deux lions couronnés. C'est encore un constat sur les écarts entre "illustrations" et "contenus" des livres imprimés de cette époque.

En revanche apparaît ici quelque chose qui va être au cœur de la peinture au XVI° siècle : le rendu des matières. Mais ici nous ne sommes pas en peinture mais en gravure.

Ce graveur, qui en plus grave sur du bois, témoigne de son soucis de représenter les différentes textures des objets représentés : le fer du casque opposé à l'étoffe du drapé, la rigueur des murailles s'oppose à la souplesse des aubes.

Le langage gravé est pourtant ici des plus simples.

TITIEN

(1508)

Une des caractéristiques de l'oeuvre gravé de Titien c'est que Titien impose un style de gravure sans n'avoir jamais gravé lui-même.

Ce triomphe de la foi est daté de 1508. Il a été gravé par Lucantia Degli Uberti.

D'autres graveurs ont bien sûr travaillé our Titien. Ils utilisent tous ce réseau de lignes extrêmement peu savant mais d'un effet de souplesse, de "naturel" tout à fait étonnant : c'est le "coup" à la Titien.

Cependant, cette façon libre de graver "au coup" se retrouve plus dans les gravures postérieures d'origine nordique, notamment chez Dürer, que dans les production purement "italiennes" (sud des Alpes) où la rigueur demeure une signature de qualité des plus belles créations vénitiennes jusqu'en 1550.

Suite de la gravure de Titien exécutée par L.A.Uberti.

Détail qui nous montre le pape "pousser à la roue". Qu'elle est l'ambiance vénitienne en 1508 ? Quels sont ses rapports avec Rome ?

Jacopo de'Barbari et Lucas Van Leyden
1509

Scènes religieuses ayant la nature pour cadre

Dans les deux cas le personnage du vieillard barbu, peut-être une certaine image de la sagesse, est très valorisé : premier plan chez Jacopo de'Barbari, personnage principal chez Lucas van Leyden.
Que ce soit l'arbre sans feuille, ou le rocher, en Europe du Nord comme à Venise, la nature "ingrate" côtoie encore aisément un fond de végétation luxuriant surtout chez van Leyden.

Jacopo de'Barbari

Pégase - 1509

(sujet mythologique antique)

J'avais présenté ce travail sur la gravure en parallèle avec l'invention de recherches en peinture à Venise à la même époque. Il était alors assez surprenant de remarquer que certaines grandes inventions en gravure suivaient notamment les recherches de Giorgione indépendantes des thèmes d'images, introduisant là une bonne part de la peinture du XX° siècle.

Ce cheval ailé, aux ailes traitées dans un langage gravé très différent de celui du corps, bien que jaillissant d'un fond à peu près neutre, est sûrement un aboutissement de la maîtrise des valeurs , soit de la traduction en noir et blanc des informations colorées du tableau.

La lumière vient de la gauche et met en évidence une série de formes rondes. Les plus importantes de ces formes rondes sont celles les plus éloignées du plan gravé superficiel, les plus proches de nous étant les plus petites, les plus morcelées et surtout les plus porteuses de noir et de contrastes des valeurs. Un trait cerne et s'interrompt par la multiplication des parties tronquées en bord inférieur de la gravure, soit par le mouvement issu du plan profond, soit par le dessin du graveur (ailes).

La dynamique de lecture de la gravure passant du plan profond au plan superficiel, de gauche à droite et de droite à gauche, semble coïncider avec le cheminement abstrait que l'on trouve chez Giorgione.

Dans l'historique des dynamiques des images qui va amener au devant de la scène internationale les effets du maniérisme florentin, on trouve déjà ici une recherche visant à faire jaillir l'image hors de son cadre sans toutefois en arriver jusque là. La conquête de l'espace réel par la peinture est néanmoins en route, tout autant que le surgissement et le redressement de la sculpture équestre.

La maîtrise de la forme ronde est ici parfaitement aboutie au service de la mobilité, de la dynamique et de la souplesse de l'image.

Lucas de Leyde

La laitière - 1510

Jacopo de'Barbery a entrepris un voyage à travers l'Europe, au début de la décennie pour aller chercher "la forme ronde".

L'assouplissement des formes par le langage gravé paraît être l'occupation essentielle d'un des trois grands graveurs de Venise.

Sur cette gravure de Lucas de Leyde, datée de 1510, la forme ronde explose au coeur d'un langage gravé plus italien que nordique.

Nous retrouvons le secret de "augué" cher aux peintres grecs tel que nous le transmirent les romains, c'est-à-dire la valeur de l'éclat qui occulte l'information par l'intervention du travail du peintre. Ce qui compte c'est ce qui est autour, mais aussi ce qui gagne sur la tache laissée blanche, car c'est ici qu'on placera les premiers camaïeux pour créer la gravure coloré en plusieurs plaques.

Notons également le déroulement très linéaire de la scène qui s'oppose directement à l'occupation de l'espace profond du Pégase de Jacopo de'Barbari.

Giulio Campagnola

La Samaritaine - 1510

Nous retrouvons Giulio Campagnola, graveur et peintre italien (Padoue 1482, après 1522), qui aurait été profondément marqué par une rencontre avec Giorgione lors d'un voyage à Venise en 1507.

Ainsi il aurait introduit dans la ville les nouveautés vénitiennes, soit une peinture tonale.

En gravure nous le voyons ici essayer la maîtrise d'une formule abrégée de la manière fine de Dürer qui apparaît comme un semi de points.

Nous retrouvons là, chez un graveur moins habile que Jacopo de'Barbari, cette tentative de traduire cette nouveauté giorgionesque qui se solde par de nouveaux accents sur les valeurs en gravure.

De plus, cette Samaritaine est presqu'une caricature de la composition en "V" où le premier plan, traité en îlot scénique, est rythmé par une végétal qui s'oppose violemment à l'architecture du fond : un espace habitable est il en rapport avec un espace habité. Sommes nous sur des rapports perspectife à la fenêtre albertienne ?

Bénédecto Montagna

(gravure de 1512)

Cette gravure traitée par une mise en page en îlots avec un vieillard barbu en premier plan semble témoigner assez bien de la tendance vénitienne.

Cette tendance se signalerait par une mise à l'écart de la scène habitée de la scène habitable.

Le végétal, traité en paysage en "V" n'apparaissant parfois que comme une garniture latérale destinée à mettre en valeur un lointain.

Par cette organisation spatiale nous pourrions avoir un début de basculement narratif linéaire parallèle au tableau, vers un narratif de profondeur. Mais à l'état encore embryonnaire.

Autre oeuvre à peu près contemporaine de

Bénédecto Montagna

datée entre 1510 et 1515

Nous retrouvons Bénédecto Montagna dans dans une nouvelle composition en "compartimentage". Ici l'affaissement de la partie centrale sur l'horizon de collines montées en quinconce, laisse deux écrans à droite et à gauche : l'une par un écran d'arbres serrés qui s'oppose aux transparence de ce même mobilier chez Lucas Granach, et l'autre par l'angle perspectif d'un bâtiment partiellement en ruine de ce qui pourrait être les vestiges d'une villa antique. Ce thème de la ruine antique est bien sûr une forme légitime de l'humanisme retrouvant les sources grecs et romaines de la culture occidentale contestant le gothique français puis international. Et ce thème n'est pas propre à l'art italien puisque les ruines, dès le XV° siècle, apparaissent du nord au sud des Alpes par Dürer, Mantegna, Jacob d'Amsterdam, etc...
Une faille dans le socle rocailleux permet au graveur d'éloigner sa scène bucolique du bord inférieur de la gravure : c'est une variante du choix de mise en place de la scène fait pour l'autre gravure de cet artiste déjà représenté. Ce qui est nouveau c'est la thématique du berger en profil d'une composition qui a basculé, opposé au sens du troupeau linéaire des moutons, jouant de son pipeau ou de la flûte à bec pourront peut-être dire les spécialistes des instruments de la Renaissance. Ce système de lien des mobiliers droits et gauches de la gravure par une scène où les composantes animées de l'image vont à la rencontre les unes des autres n'est peut-être pas ici ce qu'on pourrait appeler d'un grande habilité plastique mais elle fonctionne tout de même bien pour transmettre l'image antique du berger d'Arcadie en veine dite bucolique ou champêtre. Ces images par lesquelles les Dieux antiques et leurs histoires seront récupérées en d'autres images dites "populaires" et qui donneront naissance à plusieurs courant littéraires et picturaux qui commenceront à émerger au XV° siècle pour s'installer véritablement dans le panorama culturel occidental, parallèlement aux mystiques des nuits, autour de la Contre-Réforme et au delà dont le XVII° siècle sera riche en productions diversifiées. L'arbre extraordinaire entrera lui aussi dans les légendes et fondera un socle puissant iconographique en relais des anciens mythes païens qu'on retrouve jusque dans la littérature du XIX° siècle (George Sand Les Maîtres Sonneurs , roman par lequel elle démystifie "l'art populaire" avant la sur utilisation du concept dans les idéologies populistes du XX° siècle, en démontrant que la création, l'invention, sont toujours l'émanation d'une élite quand bien même cette élite serait issue du peuple).

Ce basculement des images dont Titien sera un des grands utilisateurs (bien que la gravure de Titien plus haut présentée ne montre qu'un cheminement de la gauche à la droite de l'image), aux côtés d'autres montages tout aussi puissants, se trouve de façon assez précoce dans l'art de la renaissance et ci dessous avec cette gravure de

Albrecht Dürer

(1511)

Cette gravure de Dürer est très bien datée par le chiffre gravé sur le piédestal du poteau qui soutient une toiture en appentis, sans couverture. Elle offre une gamme assez étendue d'inventions.

Iconographie et iconologie (approche)

Nous sommes face à un scène de l'arrivée des rois mages sous un appentis où donne une l'entrée latérale d'une église d'où sort un homme barbu avec un petit capuchon sur les épaules, qui a tout l'air d'être un moine ou un curé, bref un religieux ou, pourquoi pas, Joseph le charpentier sous un appentis qui a perdu son toit ? Les dalles au sol sont solidarisées entre elles par des agrafes. Si nous nous questionnons sur la présence de cet appentis en mur gouttereau d'un église ou d'un édifice religieux nous parvenons vite à une lecture de ces portiques en bois sous lesquels les marchés installaient leurs étalages lorsque le bâti de l'agglomération ne venait pas se coller sur celui de l'église. A partir de là nous pouvons bien sûr nous orienter vers le présupposé protestantisme de Dürer plaçant la reconnaissance divine du roi des rois (Epiphanie) dans un abri de marché à la porte du temple, qui a perdu la paille de son toit, donc en ruine.

Je vous propose en recherche strictement originale et inédite d'avancer quelques jalons car je crois que la diffusion de cette image - puisque la gravure est pas son essence destinée à la diffusion des images, les multiples dirions-nous de nos jours - appartient au courant des débuts de la Réforme qui a commencé très tôt à Nuremberg où Dürer travaillait. Par ailleurs, il grave autour de 1500 une Apocalypse qui fera le début de sa renommée. Mais ici nous ne sommes pas sur les images normalement retenues en fêtes ni épisodes bibliques par les protestants qui semblent mal comprendre le sens de l'Epiphanie et qui classent cet épisode au rang des "ajouts" bibliques alors que c'est là l'étape essentielle, indispensable, pour que Jésus soit reconnu roi et le roi des Juifs, selon la tradition des rois épiphanes orientaux qui est la culture dans laquelle naît Jésus avant d'être confronté au monde romain. Si l'épisode historique concerne la vie de Jésus, l'architecture quand à elle est contemporaine de Dürer.

Techniquement

Les rois mages (turbans) arrivent dans une composition qui a basculé d'un quart de cercle par rapport à la frontalité et qui se présente donc de profil entre lieu habitable et nature.

L'ensemble du réseau de lignes que Dürer doit utiliser pour rendre l'image intelligible risque entrer en conflit avec le tracé du dessin qui définit l'image de la gravure pour celui qui regarde et lui accorde sa valeur informative.
Dürer fait donc le choix de réserver son réseau de lignes à l'information sensible des lieux traite le jeu des valeurs par opposition aux blancs (on retrouve la laitière de Van Leyden).
La source lumineuse se trouve alors traitée en mobilier sans réseau de lignes associées en rayonnement : c'est son simple dessin au milieu du vide qui lui confère son éclat dans la nuit car l'Etoile du Berger ne brille pas en plein jour. Ce serait donc la seule lumière de cet astre qui éclairerait la scène alors qu'aucun éclairage n'est en contre-jour. Par ce renversement l'Etoile devient un objet narratif tout comme Giorgione l'utilise dans ses Trois Philosophes. Mais le soleil peint dans Les Trois Philosophes est-il de Giorgione puisqu'en plus le titre du tableau n'est déjà pas de lui ?

Bertelli

Les Bertelli sont tous de la même et importante famille de graveurs vénitiens du XVI° siècle
Critofano et Pietro sont remarquables par l'intérêt qu'ils portent à la société de leur temps, aux mœurs et aux règles vestimentaires de la femme

L'orient exerce son influence sur les mœurs vénitiennes au XVI° siècle. Si cette influence est sensible dans l'Othelo de William Shakespeare, elle est aussi sensible sur les règles de vies qui se traduisent en modes ou usages vestimentaires. Cependant, le latin de la culture humaniste et scolastique est utilisé pour titrer les oeuvres.

Sous la plume de Vecellio on peut lire : "Les jeunes filles nobles sont tellement bien surveillées dans la maison paternelle que même les parents les plus proches n'arrivent pas à les voir. Elles ne mettent presque jamais le pied dehors sauf pour aller à l'église; elles portent alors sur la tête un voile de soie blanche (fazzuolo), assez large pour couvrir le visage et la poitrine."

Le

Galien
Therapeutica

Cette page extraite du Galien, THERAPEUTICA, du 5 janvier 1522 nous présent une galerie de portraits identifiés par leur noms inscrits au dessous des icônes.

Averroès (Cordoue 1126-1198), le célèbre médecin (rédige un traité de médecine (Colliget) , magistrat (réforme de l'administration de la justice à Marrakech), philosophe, théologien et humaniste rechercha chez Aristote l'origine de l'immortalité qui selon lui serait lié à l'espèce et non à l'individu. Averroés en arrive alors à séparer très nettement la raison de la foi, et à chercher les fondements d'une théologie comme une science rationnelle.

1522 précède de peu la première édition de D.A.Alciat qui se proposait de codifier les images, les empêchant d'échapper à la représentation personnelle. Le succès extraordinaire de cette édition enveloppera toute la période.

André ALCIAT
Emblemata
Le livre des emblèmes
Premières éditions : Augsbourg 1531, Paris 1534 et 1536 édition bilingue Latin/Français chez le même éditeur, Venise 1546, Lyon 1548 et 1550.

Ci dessous : deux exemples de pages de l'Alciat publié à Lyon en 1551.

Deux pages des Emblemata d'André Alciat : "La Prudence" (p.20), "L'Avarice" (p.92).

Cinquante ans après la fin théorique des productions d'incunables tabellaires à Venise, la bordure vénitienne (dite taille blanche) peuplée de personnages atlantes enrubannés, se retrouve à Lyon de façon tout a surprenante : la gravure fixe ses styles.

La gravure paraît fixer les types stylistiques dans le temps, s'emparant des innovations sans les éliminer. Nous avons là, dans son expression populaire, un art très conservateur.

Par ailleurs le couloir de manœuvre technique du graveur est extrêmement étroit et seuls les artistes d'exception comme Mantegna , Dürer ou Titien, et bien sûr Jacopo de'Barabari, savent découvrir des expressions neuves.

Les ateliers eux-mêmes réemploient des matériaux anciens.

Domenico Campagnola

(1500-1581)

Gravure de 1517

Cette planche est l'oeuvre d'un artiste de 17 ans, ce qui en explique son caractère assez maladroit.

Le nu a évolué pour occuper tout l'espace, et peut-être plus qu'une source originale nous pourrions voir ici une reprise de la Vénus de Dresde, un des vecteurs de diffusion de la naissance du nouveau modèle de la peinture sensuelle, sinon érotique, créé par Giorgione.

L'évolution des recherches dans le premier quart du XV° siècle est très rapide grace à la diffusion des inventions par les reprises gravées. Une nouvelle iconographie s'impose et il n'y a pas un détail qui enrichisse l'image du nouveau caractère affranchi des canons de l'église qu'on veuille lui donner qui ne soit pas mis en scène comme ici ces deux doigts en pinces de la manera florentine pour apporter un trait de sensualité au rapport du nu aux étoffes soyeuses qui l'entoure dans un paysage qui reste fixé sur les compositions en "V" vénitienne dans cet esprit de la conquête des territoires extra-urbains de la République de Venise à cette époque. Nous allons vers les nus érotique des Titien.

Un incunable tabellaire de la fin du XVI° s.

"Voici la misérable fin de de dame Anzola"

Cet incunable tabellaire appartient aux images dites "populaires" de l'Italie du nord.

Ces images populaires pour en finir avec ce thème de "populaire" les artisans d'images réutilisent les inventions des grands créateurs comme Giorgione puis Titien pour camper des scènes moralisatrices. On y trouve aussi le mécanisme du rideau qui dévoile la scène jusque là privée de la luxure, enchaîné dans des espaces perspectifs en fond d'images. De nouveau personnages interviennent, l'image semble d'enrichir, bifurque, devient anecdotique au service d'un but moral ou social.

Cette diffusion populaire des grandes inventions plastiques par les plus grands créateurs engendre un art culturel à visées morales, politiques, sociales pour un jour bifurquer encore, se re-transformer en d'autres nouveautés plastiques : Fragonard a-til vu cette gravure ou une gravure dans le même esprit pour lui inspirer son célèbre "verrou".

La gravure a véritablement eu un rôle majeure dans la construction des modèles culturels occidentaux en marge de toutes les inventions plastiques qui n'ont pas manqué de succéder soit par invention presque "ex nihilo" pourrait-on dire, soit par celle issues des bifurcations et manipulation des images déjà inscrites dans l'inconscient collectif.

Evidemment lorsqu'on fait de Georges de La Tour un caravagesque à partir d'une ressemblance d'image entre les deux oeuvres dont le lien aurait pu être le seul vecteur d'une commandée faite à La Tour par un client en possession d'une gravure faite depuis un tableau de Caravage, l'historien d'art ne se fourvoie t-il pas dans les méandres d'un seul savoir des inventaires des ressemblances ?

Pour compléter cette approche de la diffusion et de l'invention des modèles en peinture et en image je vais sur une nouvelle page pour vous proposer d'aborder avec moi, pas à pas, la naissance ou la création de la peinture moderne, voire contemporaine, suivant la formule

inaugurale de Maurice Denis (1870-1943) :

"Se rappeler qu'un tableau - avant d'être un cheval, une femme nue, ou une quelconque anecdote - est essentiellement une surface plane recouverte de couleurs en un certain ordre assemblées"

Alors Rendez-vous sur la prochaine page avec
Les trois philosophes

de

Giorgione

Sur ce blog

Aux aurores de la peinture moderne et contemporaine occidentale - Giorgione - Les Trois Philosophes

http://coureur2.blogspot.fr/2017/03/aux-aurores-de-la-peinture-moderne-et.html

Bibliographie partielle/Gravure

Pierre Gusman, Gravure sur bois et taille d'épargne - historique et technique. Paris, 1933;

Jean Laran, L'Estampe. Paris 1959. Deux volumes.

Achille Bertarelli, La stampe populari italiane. Rizzoli, 1974.

Erwin Panosfski, The life and art of Albrecht Dürer. Princetown, 1955.

Jacques Bertin, Le grand Livre de l'Histoire du monde (cartographie - Atlas historique). Paris, 1986.

National Gallery of Art, Early Ialian Engraving (non daté),

Essling, Livres à figures vénitiennes (non daté),

Musée du Louvre (pour une claire réflexion entre dessin et gravure), Hommage à Andréa del Sarto. Paris, 1986;

Andrea Mantegna - Le piture - i diségni - Le incesioni. Florence/londres, 1955;

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Pour un retour en lien

avec quelques articles sur les 145 de ce blog, qui présentent des œuvres, des approches d’œuvres et des artistes

For a return to links

with some 145 articles on this blog, which exhibit works of art and the artists approaches

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Pour les autres articles encore non inscrits sur la liste ci-dessous vous pouvez allez à droite de la page sur "moteur de recherches" ou "archives du blog" en cliquant sur l'année et le mois qui vous intéressent.

Bonnes lectures et bon voyage dans les merveilles de l'art, le plus souvent totalement inédites et toujours parfaitement originales à l'auteur de ce blog.

C'est aussi un blog d'informations, de culture et de voyages

Sommaire/Editorial

(le blog est sous copyright)

Les Mots d'Azur au château de Mouans-Sartoux - Saison 2017-2018

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Les mots d'azur au printemps des muses - suite 2016/2017 des soirées au Château de Mouans-Sartoux

http://coureur2.blogspot.fr/2017/05/les-mots-dazur-au-printemps-des-muses.html

Des poèmes sur la Riviera aux couleurs des Mots d'Azur : suite des rencontres maralpines de poésie

saison 2016-2017

http://coureur2.blogspot.fr/2016/09/des-poemes-sur-la-riviera-aux-couleurs.html

Festival du Livre à Mouans-Sartoux avec les Mots d'Azur

- 6-7-8 octobre 2017

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Festival du Livre à Mouans-Sartoux - 7-8-9 octobre 2016 - avec Les Mots d'Azur

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Rencontres maralpines de Poésie - Mots d'Azur 2015-2016

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Marie Gay - Pierre-Jean Blazy - Auteurs et Editions - Fondateurs des Mots d'Azur - Marie Gay -
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Psychiatrie - Une histoire et des concepts - l'humain et l'art en enjeux

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Des poèmes sur la Riviera aux couleurs des Mots d'Azur : suite des rencontres maralpines de poésie

saison 2016-2017

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Jean-Marie Bouet - Fresselines/Larzac - de la poésie aux planches au festival de Fresselines, au Larzac

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Renata- Sculpture contemporaine

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Renata - Pierre Cardin - Lacoste - Moulin de Sade - Lubéron 2015

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Renata - Akira Murata - Espace Auguste Renoir à Essoyes

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Renata chez Pierre Cardin - Le regard de Lydia Harambourg Historienne et critiques d'art, correspndans de 'Institut des Beaux Arts de l'Académie de France

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Mag-Bert ou la peinture mnémonique de gestualité figurative

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Claude Peynaud - Clichés et antithèses...

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Claude Peynaud - Jogging - Méthode d'élaboration d'un Jogging

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Claude Peynaud - Le cercle des oiseaux

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Claude Peynaud - Le don de l'aïeule

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Claude Peynaud - Une théorie de Construction

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Danielle Benitsa Chaminant - Artiste et mémoire de...

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Alliot - Vincent Alliot - Visite d'atelier

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Rémy Pénard - Art et souvenirs autour de Pierre Courtaud

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Henry Chopin et la bibliothèque de Valérie Peynaud

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Sally Ducrow - Land Art et sculpteur ...

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Sally Ducrow l'année 2017 - Nationale et internationale - Sculptures - Land-Art - Installatons - Performances...

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Sally Ducrow l'année 2018 - en suivant le chemin de l'aventure internationale de Sally Ducrow

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CREPS - Boulouris-Saint-Raphaël - Land Art - Sally Ducrow invitée d'honneur

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Sally Ducrow : poésie plastique contemporaine

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Valbonne - Echiquier et Mots d'Azur - Fest'in Val - Festival international de Valbonne

http://coureur2.blogspot.fr/2015/08/renata-akira-murata-essoyes-ville.html

Pierre Marchetti magazine...

http://coureur2.blogspot.fr/2011/12/magazine-pierre-marchetti-un-peintre-un.html

La pochade - Pierre Marchetti et l'art de la pochade.

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L'impressionnisme tardif par les souvenirs de Pierre Teillet - Du plainarisme romantique au
https://coureur2.blogspot.fr/2012/11/limpressionnisme-inedit-par-les.html

Alliance Française - Tiffani Taylor - Savannah Art Walk - ...

http://coureur2.blogspot.fr/2016/01/tiffani-taylor-gallery-une-artiste.html

H.Wood - un peintre Anglais à Paris au milieu du XIX° siècle

http://coureur2.blogspot.fr/2016/05/hwood-un-artiste-peintre-de-lecole.html

Sophie Marty Huguenin, sculpteur et le marché de Noël à Biot - Les crèches de Cannes - Le partage du pain du père Guy Gilbert

http://coureur2.blogspot.fr/2016/12/sophie-marty-huguenin-sculpteur-et-le.html

Evolution de la gravure à Venise et en Europe du XV° au XVI° siècles - Histoire et techniques

http://coureur2.blogspot.fr/2017/02/la-gravure-venise-et-en-europe-du-xv-au.html

Aux aurores de la peinture moderne et contemporaine occidentale - Giorgione - Les Trois Philisophes

http://coureur2.blogspot.fr/2017/03/aux-aurores-de-la-peinture-moderne-et.html

La décoration intérieure ou la démocratie de l'art

https://coureur2.blogspot.fr/2012/11/wall-painting-fast-track-collection-une.html

Magda Igyarto - Vibrations et expériences de la matière : du visible à l'indicible et de l'indécible au dicible - Peintre, poète et sculpteur

https://coureur2.blogspot.fr/2018/01/magda-igyarto-vibrations-et-experiences.html

Pour ceux qui aiment jouer aux experts

Vrai ou faux - Houdon ou Houdon

https://coureur2.blogspot.fr/2014/01/houdon-ou-pas-houdon-jouez-lexpert-en.html

Vrai ou faux - Un tableau inconnu de la Renaissance
https://coureur2.blogspot.fr/2013/01/un-tableau-inconnu-de-la-renaissance.html

Vrai ou faux - Traduction originale du manuscrit de Qumram sur la mer morte ( en cours)
https://coureur2.blogspot.fr/2015/01/vrai-ou-faux-traduction-originale-du.html

Pour ceux qui aiment la recherche en académies de nus - modèles vivants

Nus 2015

https://coureur2.blogspot.fr/2015/03/nus-2015-nackt-2015-nude-2015-2015-2015.html
Nus 2014-2015
https://coureur2.blogspot.fr/2014/09/nus-2014-2015-abac-modeles-vivants-nus.html
Nus 2013-2014
https://coureur2.blogspot.fr/2013/09/nus-2012-2013-abac-nus-2012-2013-2012.html

Nus 2012-2013

https://coureur2.blogspot.fr/2012/10/nus-abac-20122013-associations-des.html

Et pour ceux et celles qui aiment l'archéologie et l'architecture

voici encore un échantillon de mes recherches sur ce blog

And for those who love archeology and architecture

Here again a sample of my research on this blog

L'ancienne église Saint-Nicolas de Monaco

http://coureur2.blogspot.fr/2012/01/monaco-ancienne-eglise-saint-Nicolas-le.html

Techniques et vocabulaires de l'art de la façade peinte

http://coureur2.blogspot.fr/2012/08/un-tour-dans-le-massif-central.html

Les Vecteurs Impériaux de la polychromie occidentale

http://coureur2.blogspot.fr/2012/06/philippines-les-Vecteurs-imperiaux-de.html

Le clocher des Frères Perret à Saint-Vaury

http://coureur2.blogspot.fr/2012/01/perret-freres-le-clocher-des-freres_10.html

Histoire de la Principauté de Monaco

http://coureur2.blogspot.fr/2012/07/histoire-de-la-principaute-de-monaco.html

Le Palais Princier de Monaco

http://coureur2.blogspot.fr/2012/09/palais-princier-de-Monaco-palais-of.html

Versailles - Monaco - Carnolès - Menton: présence de l'art français en Principauté de Monaco

http://coureur2.blogspot.fr/2012/09/versaillesmonaco-larchitecture.html

Primitifs Niçois - Les chapelles peintes des Alpes Maritimes

http://coureur2.blogspot.fr/2012/03/primitis-nicois-les-Chapelles-facades.html

Eglises du sud-ouest de la France A travers l'art de la polychromie architecturale

http://coureur2.blogspot.fr/2013/02/eglises-du-Sud-Ouest-des-alpes-alpes.html

Des cérémonies et des fêtes Autour de Saint-Nicolas de Monaco

http://coureur2.blogspot.fr/2013/09/des-cérémonies-et-des-fêtes-Autour-de.html

Langages de l'art contemporain - répétition, bifurcation, ...

http://coureur2.blogspot.fr/2013/09/repetition-ordinaire-bifurcation-art-du.html

La polychromie architecturale et l'art de la façade peinte (1° partie) - des édifices civils dans les Alpes-Maritimes

http://coureur2.blogspot.fr/2014/07/la-polychromie-architecturale-et-lart.html

Façades peintes - édifices civils du sud-ouest des Alpes - 2° partie - XX° siècle

http://coureur2.blogspot.fr/2015/01/facades-peintes-edifices-civils-du-sud.html

Aspects de l'évolution des seigneuries historiques de la Principauté de Monaco à travers quelques

exemples d'architectures polychromes ponctuelles.

http://coureur2.blogspot.fr/2016/01/aspects-de-levolution-des-seigneuries.html

Châteaux de la Creuse - de la fin du moyen âge - XV et XVI° siècle

http://coureur2.blogspot.fr/2011/09/une-histoire-de-lescalier-en-vis.html

1° partie - Archéologie Médiévale - Aspects et singularités du château en France à la fin du Moyen Âge (XV° et XVI° siècles)

http://coureur2.blogspot.fr/2013/10/archeologie-medievale-aspects-et.html

2° partie - Archéologie Médiévale - Aspects et singularités du château en France à la fin du Moyen Âge (XV° et XVI° siècles)

http://coureur2.blogspot.fr/2014/11/2-partie-archeologie-medievale-aspects.html

3° partie - suite des parties 2 et 3 d'Archéologie Médiévale consacrées aux aspects et singularités du château en France autour des XV° au XVI° siècles

http://coureur2.blogspot.fr/2016/04/3-partie-suite-des-parties-parties-1-et.html

Yviers/Charente - Archéologie médiévale - Une synthèse sur l'évolution architecturale du XV° au XVI° et XVII° s. en France - Mutations des donjons et maisons-tours des petits châteaux de la fin de la Guerre de Cent-Ans vers les donjons résidentiels de la fin du XV° siècle au XVI° siècle et des incidences dans le classicisme français.

https://coureur2.blogspot.fr/2018/04/yvierscharente-archeologie-medievale.html

Allemans en Périgord - Manoir du lau - Archéologie Médiévale

https://coureur2.blogspot.com/2018/09/allemans-en-perigord-manoir-du-lau.html

Maisons-tours et donjons-tours - architectures médiévales françaises du XIII°/XIV° au XVI° - Archéologie médiévale

https://coureur2.blogspot.com/2019/06/maisons-tours-et-donjons-tours.html

Curac - Les énigmes de son château - Département de la Charente - Archéologie Médiévale

https://coureur2.blogspot.com/2019/10/curac-les-enigmes-de-son-chateau.html

Fonctions religieuses apotropaïques et traditions funéraires en France -

http://coureur2.blogspot.fr/2015/08/fonctions-religieuses-apotropaiques-et.html

Maisons alpines d'économie rurale (Alpes-Maritimes)

https://coureur2.blogspot.com/2011/11/maisons-alpines-deconomie-rurale.html

Pour ceux qui aiment l'iconologie, et l'iconographie

For those who like iconology, and inconography

Autour du rocaille. Dessin préparatoire d'étude - Le jugement de Pâris

https://coureur2.blogspot.com/2011/07/dessin-preparatoire-pour-une.html

La Véronique - Image ou non de la représentation

http://coureur2.blogspot.fr/2012/12/la-veronique-de-la-legende-lart.html

Langages de l'art contemporain - Répétition ordinaire - Bifurcations - Translation...

https://coureur2.blogspot.fr/2013/09/repetition-ordinaire-bifurcation-art-du.html

Fête de la musique à Nice - Place Garibaldi à Nice - Exposition d'artistes Polonais

https://coureur2.blogspot.fr/2013/07/la-fete-de-la-musique-expositions.html

La Mourachonne à Pégomas (exercice de recherche iconographique)

https://coureur2.blogspot.fr/2012/05/la-mourachone-pegomas-nouvelles.html

Cannes en 4 perspectives albertiennes recomposées - dessin panoramique à la mine de plomb

https://coureur2.blogspot.fr/2018/02/cannes-en-4-perspectives-albertiennes.html

Pour ceux qui aiment la poésie et qui en plus, comme moi, la reconnaisse comme la mère de tous les arts y compris de l'art contemporain

For those who love poetry and more, as I recognize it as the mother of all arts including contemporary art

Rencontres maralpines de Poésie - Mots d'Azur 2015-2016

http://coureur2.blogspot.fr/2015/09/rencontres-maralpines-de-poesie-et.html

Des poèmes sur la Riviera aux couleurs des Mots d'Azur : suite des rencontres maralpines de poésie 2016-2017

http://coureur2.blogspot.fr/2016/09/des-poemes-sur-la-riviera-aux-couleurs.html

Pierre Courtaud - Magazine - Un écrivain, un éditeur un poète, un chercheur en écritures - Un spécialiste de nombreux auteurs.

http://coureur2.blogspot.fr/2012/03/pierre-courtaud-magazine-un-ecrivain-un.html

Henry Chopin et la bibliothèque de Valérie Peynaud

http://coureur2.blogspot.fr/2013/12/henri-chopin-et-la-bibliotheque-de.html

Cannes -1° nuit de la poésie et de la musique au Suquet - 21 juin 2014

http://coureur2.blogspot.fr/2014/06/cannes-1-nuit-de-la-poesiefete-de-la.html

2° nuit de la musique et de la poésie - Cannes 21 juin 2015

http://coureur2.blogspot.fr/2015/05/2-nuit-de-la-poesie-et-de-la-musique-au.html

3° nuit de la poésie et de la musique au Suquet- Cannes Moulin Forville le 21 juin 2016

http://coureur2.blogspot.fr/2016/06/3-nuit-de-la-poesie-et-de-la-musique-du.html

Golf-Juan - Performance poétique - Brigitte Broc - Cyril Cianciolo

http://coureur2.blogspot.fr/2015/03/golf-juan-performance-poetique-brigitte.html

Marie Gay - Pierre-Jean Blazy - Auteurs et Edition(s) - Fondateurs des Mots d'Azur

http://coureur2.blogspot.fr/2016/03/marie-gay-pierre-jean-blazy-auteurs-et.html

De Vallauris à Cannes - Le Printemps des Poètes sur la Côte d'Azur avec Les Mots d'Azur

http://coureur2.blogspot.fr/2016/03/de-vallauris-cannes-la-cote-dazur-en.html

Christophe Forgeot : Poète - Poésie - Poème

http://coureur2.blogspot.fr/2014/09/christophe-forgeot-un-poete.html

Zorica Sentic - Poète-romancière Franco-Serbe

https://coureur2.blogspot.fr/2012/09/zorica-sentic-poete-romancier.html

La Corse des poètes

https://coureur2.blogspot.fr/2015/08/la-corse-des-poetes-porticcio-village.html

Magda Igyarto - Vibrations et expériences de la matière : du visible à l'indicible et de l'indécible au dicible - Peintre, poète et sculpteur

https://coureur2.blogspot.fr/2018/01/magda-igyarto-vibrations-et-experiences.html

Pour ceux qui aiment les légendes

For those who love legends

The Woodcutter and the Revenant - Sedimentary Memory - Essay - Creuse

Http://coureur2.blogspot.fr/2013/07/la-creuse-memoire-sedimentaire.html

La Creuse - Le Bûcheron et le Revenant - Mémoire sédimentaire - Essai - Creuse

http://coureur2.blogspot.fr/2013/07/la-creuse-memoire-sedimentaire.html

Les routards de la baie d'Halong dans la tourmente https://coureur2.blogspot.fr/2013/10/les-routards-de-la-baie-dhalong-dans-la.html

Vietnam - La légende du Dieu des montagnes et du Dieu de la mer

https://coureur2.blogspot.fr/2014/05/vietnam-la-legende-du-dieu-des.html

Pour ceux qui aiment les voitures de collection
Vis-à-vis de Dion-Bouton type E 452 - La voiture emmurée aux enchères à Lyon
https://coureur2.blogspot.fr/2015/09/1900-vis-vis-de-dion-bouton-type-e-452.html

Pour ceux qui aiment l'art lyrique et la musique

Johanna Coutaud (prochainement)

Chanteuse lyrique - Soprano

Elzbieta Dedek - Pianiste virtuose internationale

http://coureur2.blogspot.fr/2016/09/pianiste-virtuose-internationale.html

Pour ceux qui aiment le cinéma

68° festival du cinéma - Alexandra Robin - Léopold Bellanger - Cédric Bouet

http://coureur2.blogspot.fr/2015/05/68-festival-cinema-cannes-2015.html

Pour ceux qui aiment la danse

48° Congrès Mondial de la Recherche en Danse - Avignon du 9 au 13 novembre 2016 - Fabienne Courmont présidente - UNESCO-CID partenaires

http://coureur2.blogspot.fr/2016/11/48-congres-mondial-de-recherche-en.html

Festival d'Avignon à Mouans-Sartoux - Danser Baudelaire - Bruno Niver - Marina Sosnina - Répétition générale

https://coureur2.blogspot.fr/2015/02/du-festival-davignon-mouans-sartoux.html

Pour ceux qui aiment s'habiller et sortir

Eliane Horville - soirées - ville - élégance - conseils - coach

https://coureur2.blogspot.fr/2016/01/soirees-ville-elegance-every-wear.html

Sortir - Manifestations -Performances - Expositions...2012/2017

https://coureur2.blogspot.fr/2013/02/evenements-expositions-manifestations.html

Pour des participations citoyennes

Ordre national infirmier - Recommandations sanitaires
http://coureur2.blogspot.fr/2017/06/ordre-national-infirmier-recommandations.html

Pour ceux qui aiment les multiples beautés de la France

Les oliviers fantastiques de Lucette
https://coureur2.blogspot.fr/2012/10/les-oliviers-fantastiques-de-lucette.html

Carnet de voyage - Ombres et Lumières - L'eau et les Sables, architectures de villégiatures
https://coureur2.blogspot.fr/2014/01/ombres-et-lumieres-leau-et-les-sables.html

2 - La France en vrac
https://coureur2.blogspot.fr/2014/10/visiteurs-des-pages-pour-voir-le-site.html

1 - CP La France en vrac 1
https://coureur2.blogspot.fr/2014/01/la-france-en-vrac-france-in-bulk-franca.html

vendredi 24 février 2017