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Le site complet compte à ce jour 143 articles : il est à votre disposition. Toutes les pages sont issues de mes recherches personnelles et universitaires. Les emprunts à des auteurs sont signalées et il n'y a aucun élément qui tombe sous le coup de la protection des données des lois européennes sans compter que je respecte avant tout la tradition de libertés et de démocratie de la république française. En tant que citoyen français je me conforme à la législation française. Toutes les photos publiées l'ont été avec l'accord des personnes à la date de leurs publications. Ces pages ainsi que tous les documents produits sont assujettis à Copyright et droits d'auteur. Il n'y a aucune raison commerciale, ni déclarée ni cachée, pour la construction de ce blog. Vous pouvez aussi aller sur le moteur de recherche à droite de votre écran sur cette page. Vous pouvez rechercher tout ce qui vous intéresse, du dessin à la peinture, à l'archéologie, à l'architecture, à la poésie, à la sculpture, aux pages magazines, pour votre stricte curiosité ou culture personnelle, et pour toute autre action ne débordant pas le cadre strict de la consultation. Pour les universitaires qui voudraient produire certains de ces travaux, me contacter sur la partie "blogger" en bas de page, en me laissant votre adresse courriel de messagerie. Pour clarifier mes compétences professionnelles, voici le panorama de mes formations. Lycée technique, mécanique, où j'ai appris le dessin industriel que j'ai par la suite appliqué au dessin d'architecture de relevés archéologiques appris à l'université de Poitiers. Formation militaire BMP1 (engagé trois ans dans les Commandos Troupes de Marine - 22° RIMA puis 1° BPCS - Importante formation à la topographie si utile pour mes recherches archéologiques) - Formation d'Infirmier du Secteur Psychiatrique en 28 mois, IDE par Réforme Hospitalière - Nombreux travaux et nombreuses formations avec des maîtres de la peinture (lithographie, gravure, peinture,...) et de la littérature contemporaine. Doctorat Lettres et Arts (mention Très Honorable avec Félicitations), Histoire de l'Art et Archéologie, Université de Provence Centre d'Aix à partir d'autres formations de ce cycle à l'Université de Tours (2 ans - Centre d'Etudes Supérieures de la Renaissance), de l'Université de Poitiers (2 ans - Centre d'Etudes Supérieures de Civilisation Médiévale), et deux ans de formation en lettres à l'université de Nice, et stages divers - Diplôme Inter-Universitaire de la Faculté de Médecine de Lille, "La Santé Mentale dans la Communauté" en lien avec l'OMS/CCOMS. Sur Google "Les budgets aidants..".http://www.ccomssantementalelillefrance.org/sites/ccoms.org/files/Memoire-Peynaud.pdf. J'exerce au C.H.Cannes en tant que coordinateur/responsable des Ateliers Thérapeutiques-Psychothérapie Institutionnelle du Pôle Santé Mentale en Intra Hospitalier)
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Depuis Mag Bert et mon apprentissage de l’intériorisation des matériaux figuratifs constructeurs de l’œuvre pour une projection purement mnémonique et la plus rapide possible, j’ai rencontré et travaillé avec d’authentiques génies : reconnus ou pas reconnus, peu m’importe. J’affirme que ce sont des génies car lorsque je veux trouver des voies de recherches ou des voies inconnues - après de très longues et très difficiles études d’art et d’archéologie de l’antiquité à nos jours, avec quelques uns des plus éminents professeurs de France et dans quatre universités Tours, Poitiers, Aix-en-Provence et Nice - je n’ai que le recours de l’enseignement de ces artistes comme repères. Ce ne sont pas tous des peintres, ce sont aussi des poètes et des chercheurs en écritures qui tous ont un trait commun par les recherches qu’ils effectuèrent autour des liens et correspondances entre arts plastiques et écritures.
"...pour Mag-Bert dont les toiles ressemblent à des poèmes...
..de tout coeur
Marcel Jouhandeau 11 avril 1969 "
"...pour Mag-Bert dont les toiles ressemblent à des poèmes...
..de tout coeur
Marcel Jouhandeau 11 avril 1969 "
Si je reconnais parfaitement la valeur des divisions historiques des mouvements de l’art, je dois dire que les divisions au XX° siècle me semblent plus qu’étranges. Fauvisme, Structuralisme, Surréalisme, art optique, ne me posent aucun problème. Je n’en dirais pas autant de « Conceptuel Art » et autres tisanes du cru, préférant retenir les concepts rimbaldiens et bachelardiens. Le Land Art m’amuse car c’est celui de nos campagnes et tout compte fait c‘est bien d‘en avoir retrouvé une certaine veine au sein de l‘urbanisation, ça met un peu de verdure et de fantaisie à ce qui commençait sérieusement à en manquer. Le Land Art permet aussi des retours intéressants sur l'art des paysagistes du XIX° au XX° siècle. Voir sur ce blog :
CREPS - Boulouris-Saint-Raphaël - Land Art - Sally Ducrow invitée d'honneur
https://coureur2.blogspot.fr/2017/10/creps-paca-boulouris-saint-raphael-land.html
Par ailleurs, si l’art contemporain s’approprie l’art antique dont celui des Cyclades et de l’Acropole, si l’art contemporain s’approprie le primitivisme, si l'art contemporain s'approprie l'art des Etrusques, si l’art contemporain s’approprie l’art médiéval oriental et extrême oriental, si l’art contemporain s’approprie les valeurs de translation (Duchampisme et autres déplacements pour sacralisations) et de la représentation murale de l’art médiéval occidental (basculement des images depuis le milieu du XIX° s) je pense être le plus moderne de tous en me référant d’abord à Giorgione et à l’art savant français aimant particulièrement l’art français du XVIII° s qui me semble être la seule période de l’art qui ait autant échappée au religieux et au politique. Et ça, ça me plaît, tout comme les paysagistes de la vallée de la Creuse.
Au bas d'une lettre de Ferdinand Marsallon, un petit mot de Mag-Bert son épouse (dont le nom de jeune fille est Marguerite Berthucat née, je crois, en 1908 à Saint-Vaury, au pied de la rue Saint-Michel alors que sa famille est originaire du petit village de Vouyou sur la même commune de Saint-Vaury en Creuse) qui fait allusion à mon invention de la Fresque Fabre à Albi (lettre du 4 octobre 1979). Mag-Bert croyait que j'avais restauré la fresque. Non, la fresque avait déjà été restaurée. Le travail que me demanda Monsieur Fabre, le propriétaire, fut de l'identifier et de la replacer dans son contexte historique et urbain albigeois. Ce que je fis en "invention" puisque j'ai été le premier à travailler sur ces aspects de cette fresque après sa restauration par un restaurateur que je n'ai d'ailleurs jamais connu.
Pour plus de détails voir sur ce blog l'article sur le "Coureur de Fond au Moulin de la Ville". Mois de juillet 2011.
Enfin, si nous suivons la législation française, tous les artefacts deviennent des antiquités au bout de trente à quarante ans. La vie d’une homme étant désormais en moyenne de 80 ans nous sommes tous à la fois antiques et contemporains : ça n’a strictement aucun sens mais c’est très amusant comme toutes les hérésies. Au bas d'une lettre de Ferdinand Marsallon, un petit mot de Mag-Bert son épouse (dont le nom de jeune fille est Marguerite Berthucat née, je crois, en 1908 à Saint-Vaury, au pied de la rue Saint-Michel alors que sa famille est originaire du petit village de Vouyou sur la même commune de Saint-Vaury en Creuse) qui fait allusion à mon invention de la Fresque Fabre à Albi (lettre du 4 octobre 1979). Mag-Bert croyait que j'avais restauré la fresque. Non, la fresque avait déjà été restaurée. Le travail que me demanda Monsieur Fabre, le propriétaire, fut de l'identifier et de la replacer dans son contexte historique et urbain albigeois. Ce que je fis en "invention" puisque j'ai été le premier à travailler sur ces aspects de cette fresque après sa restauration par un restaurateur que je n'ai d'ailleurs jamais connu.
Pour plus de détails voir sur ce blog l'article sur le "Coureur de Fond au Moulin de la Ville". Mois de juillet 2011.
Pierre Garnier avec qui j’ai publié des relevés archéologiques poétiquement commentés ou intégrés et Henry Chopin que j’ai moins connu mais avec lequel, après une rencontre dans son appartement musée et dans une importante manifestation poétique à Paris, j’avais échangé assez longtemps sur les thèmes du paysage et de sa fonction dans l’art contemporain, sur le thème du mur et sur ses propres expériences de murs poétiques polychromes et sonores en Italie.
Mon travail pendant plus de vingt cinq ans, essentiellement en correspondance, avec Pierre Courtaud, je ne peux pas le présenter "en raccourci". Il apparaîtra dans les textes accompagnant les études picturales, au fur et à mesure des nécessités. Ce travail fut souvent un travail paradoxal mais de parfaite recherche, le plus beau travail de recherche que j'ai du faire en accompagnement de ma formation universitaire. Pierre Courtaud était un authentique génie doublé d'une très rare intelligence de l'écriture et des lettres, bien trop supérieure à la moyenne et même à certaines élites qui venaient le voir en séminaire dans sa grande maison de La Souterraine. Combien a t-il corrigé de manuscrits et d'idées de ceux que vous admirez ? Pierre Courtaud c'était aussi une immense érudition littéraire, avec tout ce que cela comporte de difficultés de relations mais jamais de compréhension ni d'amitié prise en défaut. Et puis un jour il a fallu que je trouve ma propre voie et la vie l'a retiré de ma route avant même que j'ai pu faire un retour... Dans cette voie que je cherche il y a donc aussi, désormais, un contrat moral.
Mon travail avec Jacques Gasc était beaucoup plus orienté sur le sens de la pulsion et de l’expression en art. Travail très important qui m’avait amené à structurer scientifiquement certains de ces aspects dont la redondance, ce qu'en arts plaqtiques vous pourriez à peu près, mais je dis bien à peu près car l'art de Jacques Gasc est plus riche que ça, appeler "accumulation".
Ce travail poétique avec Jacques Gasc rencontrait également le travail déjà ébauché avec la plasticienne Josette Kotarski sur la fonction expressionniste plastique de la pulsion érotique. Mon travail avec les artistes du Hip Hop, à leur insu, sur ces voies que je dirigeais vers la pulsion fut un échec car il était extrêmement difficile de développer ces stratégies de recherche avec les gens de la rue sans malentendu. En revanche, avec ces populations, dites marginales, je découvrais la fonction de l’inconscient culturel dans l’assimilation de principes d’art chez des populations déracinées, d’où, par la suite, un regard très peu enthousiaste vis-à-vis de l’art de Jean-Michel Basquiat, pourtant talentueux - en plus de mes propres expériences sur la figuration libre dans les années 70 - où je ne décelais que des formes expressionnistes de réemplois de la simultanéité, du Cubisme et du travail sur la lettre initié par Raoul Haussman dans les années 20 (après bien sûr le coup d'envoi mallarméen et la transition d'Apollinaire) et fixé dans le dictionnaire autour du Lettrisme des années 50 d’Isidore Isou alors que le Spatialisme lançait sa propre voie ajoutée de pictogrammes avec Pierre Garnier en figure de proue et Henry Chopin et sa dactylopoésie parallèle à ses explorations de la poésie sonore par l'apparition des premiers magnétophones transportables. Vasarely faisait tourner ses sculptures de fils de fer. Voies qui allaient conduire à la musique techno tel que John Lennon, aux côtés d'Harrissson, l'avançait en 1969 dans un théâtre londonien, reconnaissant Henri Chopin comme le véritable fondateur de cet art où la jubilation a une importance certaine. Le show bizz n'intéressait pas Chopin. Mais avant même ma rencontre avec Chopin ma fréquentation de cette extraordinaire artiste - dont peu de choses subsistent - que fut Rachel Adenis m’aida considérablement pour commencer à comprendre comment ces articulations, ces passages du Cubisme au Hip Hop ou Figuration Libre du pinceau aux bombages avaient fonctionnés en auto dynamiques.
Je ne résiste pas au plair de vous faire pénétrer un peu dans l'ambiance des travaux qui était la nôtre avec Pierre Courtaud. Nos discussions étaient très âpres et je devais constamment justifier tout ce que j'avançais, et lui de même. Dans ces recherches d'outils scientifiques j'ai eu la chance de trouver cet ouvrage consacré à l'étude de l'illustration de la poésie à l'époque Cubique. Parallèlement Pierre Courtaud travaillait sur la création "cubique" de Gertrude Stein. Pierre Courtaud, entre autres études qu'il menait de front, était le véritable spécialiste international de Gertrude Stein. Donc, la tâche fut pour moi très rude quand à la recherche sur l'introduction des écritures scandées dans l'esthétique à la fois poétique et plastique des années 20, époque à laquelle Raoul Hausmann, après Mallarmé et Appolinaire,continuait sur les recherches de la lettre. Raoul Dufy avait déjà peint son tableau sur les affiches à Trouville et les publicités peintes avaient déjà depuis longtemps envahies les routes de France, amenant leurs cortèges esthétiques de la lettre et de l'image en fonctionnements simultanés dans le quotidien des Français. La coopération de Blaise Cendrars et de Sonia Delaunay allait amener la simultaneïté dans le champ des arts plastiques comme un outil majeur - qu'on retrouve dans toute la production Hip Hop ou en Figuration Libre mais aussi dans le Pop Art - qui allait passer aux U.S.A. par L'atelier 17 d'Hayter. C'est dans cet ouvrage sur les illustrations des poèmes cubistes que j'ai trouvé les références aux écritures scandées du cubisme. L'intégration des écritures à l'image, suivant les pistes données par les pages, publiées en 1971, que je produits ci-dessous sans que ce soient les seules de ce merveilleux ouvrage - amène naturellement au Brake du Hip Hop .
Toutefois, à ce stade de la recherche ou de l'approche je serais resté dans la théorie de cette extaordinaire étude. Grace à mon amie Rachel Adenis j'avais auparavant exploré ces voies plastiques sous un autre angle. Pour mener la réflexion qui suit j'aurais dû partir d'une nature morte que Rachel Adenis effectua chez André Lothe, sinon avec sa très large et vaste participation ( comme Rachel aimait le dire car elle avait tout de même signé cette toile qui m'appartient mais que je ne peux hélas pas vous produire ici, toujours à cause de ces documents qui m'appartiennent mais qui me sont toujours et désormais inaccessibles, même, dans ce cas précis, en photographies). Comme ce livre que je viens de vous présenter produit une image d'André Derain que Rachel Adenis connut un temps ( elle et son mari avaient leurs commerces de luxe rue Lepic à Montmartre, Gen Paul était leur voisin et le Bâteau Lavoir leur quotidien) je pars de cette illustration et j'avance sur deux tableaux de Rachel : un paysage cubiste de ce département de la Creuse qu'elle adorait, alors qu'elle était originaire d'Orléans, et où elle avait son château,( huile sur contreplaqué de l'avant guerre) et une autre huile sur contreplaqué pour une composition sur le modèle d'un panneau de signalisation des trains au passage à niveau, lorsque ceux-ci étaient encore à vapeur. Comme je connus Rachel Adenis alors qu'elle avait 82 ans, en 1980, et que sur cette composition elle attend sa maman, il nous est permis d'imaginer que ce tableau date juste de l'après guerre ou même d'avant lorsque les trains étaient encore à vapeur. et que la maman de Rachel était encore vivante. Donc nous sommes bien bien en amont - et encore plus en amont que l'étude de Gérard Bertrand - de la période Hip Hop et pourtant que voyons-nous ?
Le simple passage en avatars du Cubisme vers la Figuration Libre ou Hip Hop. Et si les écritures ne sont pas trop scandées ou en Brake elles sont pour le moins libres er se répartissent dans l'image structurée par le panneau de signalisation de croisement des trains aux passages à niveaux et les taches géométriques des affiches. Le train à vapeur pénètre la composition d'affiches avec leurs inscriptions et des ponts métalliques qui construisent une sorte d'orphisme accompagnant le mouvement interne à l'image. Faut-il insister d'avantage pour montrer que cette veine "inventive" du hip hop ou de la Figuration Libre dans le quatrième quart du 20 ° siècle, n'est en fait que le produit d'une évolution qui a concerné beaucoup d'artistes à partir du Cubisme, parfois très discrets comme Rachel Adenis mais néanmoins certainement plus déterminants que certains que nous rencontrons sur la même période exhibés en muséographie. Je ne critique pas les oeuvres exposées en muséographie. je veux simplement dire que pour avoir une vision la plus exhaustive possible de la matière historique en art et artistique de façon générale qu'il faut obligatoirement quitter les sentiers battus de ce qui est reconnu en arts significatifs d'une époque (surtout pour le 20° siècle où le recul de l'histoire n'est pas encore suffisant). Un musée d'art contemporain devrait tenir compte de ces épiphénomènes et jamais se restreindre à des récupérations d'auteurs ou de politiques, voire des suppôts du marché de l'art. A ce titre j'ai toujours été un fervant défenseur du Hip Hop et de La Figuration Libre mais pas de la façon dont on l'a fait sur le plan politique ou avec le marché de l'art : non ! de façon scientifique, oui, absolument, comme lorsque je travaillais avec Pierre Courtaud et d'autres artistes que je vous présente sur ce blog, oui ! Comme je l'expique ailleurs, mon travail sur la Figuration Libre - mais je ne connaissais pas cette expression pratique bien que peu scientifique - a débuté dès que j'ai commencé à peindre : j'ai fait ma première exposition en 1970 et j'ai rencontré Mag-Bert dans une de mes expositions en 1975. C'est elle qui est venue vers moi, très intéressée par mon travail. Je rentrais à l'armée de décembre 76 à décembre 79 à Albi mais pendant ces trois ans, soit à travers la correspondance, soit de façon directe, mon travail avec cette artiste, ainsi que mon oeuvre de collectionneur de ses oeuvres dont la quasi totalité sont dans notre maison familiale sauf celles que j'ai données unitairement à mes frères et soeur et autres membres de ma famille, fut permament. Je regarde les figures antropomorphes de Mag-Bert en technique de dessin-peinture comme des figurations libres, et elles le sont véritablement ne serait-ce que par le fondement mnémonique et pulsionnel de leurs créations dont vous avez un petit exemple avec mon portrait lorsque j'étais militaire, en tête de cet article..
L’homme n’était pour rien dans ce mécanisme, c’est la révolution technologique et l’art qui avaient forgés leur propre dynamique commune d’évolution et l’homme avait suivi croyant inventer ou avoir inventé. Ceci rejoignait parfaitement ce que j’avais perçu du Hip Hop, et des Nouveaux Réalismes, et en fait j‘avais dû rencontrer la pulsion de la création - celle qui m’intéressait bien évidemment - sous une forme que je n‘avais pas su identifier et bien avant de m'y intéresser sur le plan de la création. Je crois que l'acte créateur extrêmement rapide de Mag-Bert et dans des conditions d'atelier très particulières, comme certainement beaucoup d'autres actes créateurs, mais pas tous, sont des formes de pulsions particulièrement violentes détournées en actes créateurs. Toutefois le mécanisme d'intégration préalable est un véritable travail artistique de peintre et là j'en reviens aux questions qui sont les miennes face à ces raccourcis trop faciles. Les artistes du Hip Hop ont forcément ces phases préalables d'intégrations mais qu'elles sont-elles, sont-elles des caractères particuliers à une "population", sont-elles liées à des conditions de vie, de déracinements ? Je n'en sais toujours rien. Y a t-il un vampirisme du mur remonté des mythes antiques, de celui de Diane soeur jumelle d'Apollon ? La Lune soeur du Soleil : l'un disparaissant quand l'autre apparaît... La chaste chasseresse qui transforme en cerf son époux qui l'a surprise nue pour le faire dévorer par ses chiens en guise de punition...Les tagueurs et les bombeurs de la nuit, les Robins des Bois, qui disparaissent le jour après avoir mangé le mur la nuit à la lueur des torches de papier...
Lorsque j'effectuais mes recherches sur le Hip Hop et sur la Figuration Libre, sur l'art de la rue en général, j'ai rencontré plusieurs artistes plus ou moins intéressants mais tous avaient quelque chose de particulier. Ces artistes, avant de rencontrer Noredine El Gouzouni, dont le nom d'artiste est NOD, m'avaient entraînés à aller loin dans mes investigations. NOD était assez différent et j'avais engagé avec lui la recherche sur un grand terrain à la fois de confiance et de profondeur. Je ne suis pas allé jusqu'au bout de cette recherche car NOD mit en place, pour son plus grand honneur, des mécanismes de défenses que j'ai toujours essayé de casser car je voulais absoument découvrir l'artiste, le phénomène de la pulsion, derrière l'homme. Mais comme chaque fois qu'on essaie de casser des mécanismes on les renforce je fus une fois de plus mis en échec. NOD me fit découvrir, en revanche, les mécanismes d'intégration culturels que j'avais déjà pas mal pressentis avec les autres artistes de la rue d'origine maghrébine et d'ailleurs mais principalement d'Afrique. Ceci dit tous les artistes du Hip Hip n'étaient pas nés hors de France. Et cette rencontre culturelle, d'individus d'origines différentes qui se retrouvaient dans la même expression artistique, m'intéressait bien évidemment ; c'était même là l'essentiel. Comment également on pouvait passer du simple graffiti issu de la rencontre de la pulsion et d'un évènement ( un mur par esemple, ou un tronc d'arbre) à la création d'une oeuvre véritable conditionnnée ou pré-façonnée par un paradigme culturel. Après l'expériences avec NOD j'arrêtais ces investigations qui m'avaient conduites au delà de moi-même.
Je devais tout de même essayer de rédiger mon chapitre sur l'art de la rue figurant dans ma thèse. Je le rédigeais, certes, mais avec le sentiment d'avoir perdu.
Le jour de ma soutenance de thèse à Aix, le 26 janvier 2001, jour anniversaire de ma cousine Gisèle de Bouillargues qui m'avait aussi aidé à mettre en forme cette énorme thèse, un jeune homme encapuchonné à la manière Hip Hop entra et s'installa au fond de la salle. Puis, très discrètement, il déposa un grand sac en plastique avec quelque chose dedans. C'était ce tableau ci-dessous (le mot en calligraphie arabe signifie " Lumière") et c'est le petit mot qui accompagnait le cadeau que j'ai collé derrière la toile.
A l'époque pour toi, acheter une toile, je me rends compte de la valeur de ton cadeau. Merci NOD.
Ce chapitre je l'ai écrit aussi en pensant à toi, et un peu à tous les autres que j'ai rencontré mais qui n'ont pas eu ton geste magnifique et généreux. Et pourtant à travers la présentation de ton cadeau je veux aussi leur rendre hommage car c'est grâce à eux qu'une des voies les plus inbtéressantes de l'art des dernières décennies du XX° siècle a pu se développer et conquérir l'âme et le coeur des populations dites déshéritées, leur donnant une âme commune ou plus exactement extrayant de la culture occidentale des voies de formation d'un même paradigme culturel à la fois marginal et totalement issu de l'évolution de la culture occidentale, par delà tous les risques que vous avez pris et que vous m'avez parfois fait prendre. D'un autre côte, je pouvais remarquer que ce n'était pas cet art qui était rejeté mais son expression sauvage, marginale de la nuit, et cet incognito que la société supporte très difficilement, comme une giffle jetée à son visage qu'elle voudrait immaculé. La couleur dérange. Ceci est vrai pour toutes les personnes qui se tiennent prudemment à l'écart des économies bourgeoises pour faire avancer leurs recherches.
En art il faut toujours prendre des risques quitte à en payer parfois très cher le prix, et je ne regrette rien.
En art il faut toujours prendre des risques quitte à en payer parfois très cher le prix, et je ne regrette rien.
En art comme ailleurs, ceux qui ne prennent pas de risques ce ne sont pas des artistes ou des hommes dignes, ce sont des bouffeurs de merde.
J'espère que tu as continué car tu étais très doué, et que tu as trouvé ta voie dans la peinture ou dans les arts de la rue.
J'ai tout gardé, même les papiers décorés que tu sortais de tes poches, avec tes briquets peints que tu vendais pour 1 Franc ou plus si le client était plus généreux.
L'empêche, c'était très beau et c'est pour leur beauté que je les ai conservées ces oeuvres de poche, même si je ne sais plus trop où elles sont dans mes souvenirs d'artistes.
Ils ont là c'est l'essentiel.
Ce fut l’art qui inventa l’homme du XX° siècle. Voilà le véritable point de départ de ma recherche ou plus exactement le point de départ que je recherche, mais ce n'est pas une position fataliste. Toutes les ouvertures sont possibles en ouvrant les portes de l'aventure artistique sans aucun parti pris car le plus grave chez les artistes contemporains, et ce malgré l'héritage de Cobra, et ce qui me fait profondément réfléchir, c'est, selon mon expérience, cette absolue certitude que ces artistes dit contemporains (autre "population") sont détenteurs de "l'art contemporain" dans toute son essence la plus absolue sans que le doute en soit permis et ça ce n'est pas être artiste. Les Conceptuels ont même dressé une liste des artistes conceptuels. L'appropriation du concept ! après Rimbaud, après Bachelard ? et de l'Idée après Platon ! Nous seulement c'est d'un pédantisme ahurissant et obscurcisant au possible mais en plus c'est être spéculateur et aux antipodes de l'esprit artistique spéculatif nécessaire. Et cet obscurantisme raisonné est subventionné ! C'est vrai que c'est beaucoup plus difficile de sortir de la certitude et d'aller dans le doute et l'exploration et c'est moins gratifiant, bien sûr, mais cette démarche, en dehors du cartésianisme bien sûr, me semble nécessaire et même indispensable pour une authentique démocratie éclairée de l'art. En plus ces idées et ces concepts sont bien souvent des boucliers pour éviter d'apprendre les métiers d'art qui remettraient tout en question. Même si on regarde du côté de Duchamp il n'y a pas de quoi être stupéfait devant sa peinture. S'il était resté peintre il ne serait qu'un peintre bien ordinaire s'étant aligné sur les mouvements de son temps créés par des géants. Ces géants qui manquent terriblement à notre époque et qui font que nous nous satisfaisons de pas grand chose, surtout de l'abandon des métiers d'art et de la redite de l'art du passé dans les musées d'art contemporain. Et, chaque année, les publications des énormes catalogues des biénales, des manifestations internationales, qui grossissent au fur et à mesure que l'art s'appauvrit, ou devient de plus en plus un lieu commun, témoignent de cet état de chose. Le catalogue c'est terrible : la valeur du photographe, de l'artisan des outils du compte-rendu, n'arrive plus à combler la médiocrité de l'oeuvre sélectionnée en exhibition, en témoins, en support de l'idée, nous atteignons au paroxysme du Warholisme.Premier complément
Je fais un complément à cet article au fur et à mesure de ce qui se présente à moi. Aujourd'hui on nous propose - je ne dirais pas où et qui bien sûr car je tiens au respect des personnes et des oeuvres - une exposition des peintures d'un élève d'une "vedette" de l'art contemporain qui est en résumé un monochrome noir de la gestualité expressionniste abstraite. L'alternative de l'élève c'est de faire un retour au monde figuratif en y ajoutant, par exemple, du rouge, proposant ainsi des figures casquées avatars de formes pulsionnelles dont la parenté avec des figures de mode orientale donnent un air "d'art contemporain" qui nous renvoie une fois de plus à des clichés de figures d'art médiéval, quand bien même ce médiévisme oriental serait extrême oriental. Irais-je jusqu'à évoquer l'art pompier du XIX° siècle ? Après tout, nos intellectuels ont bien été capables d'enterrer cet art au nom de leur intelligence pour laisser apparaître d'autres divinités casquées contemporaines, pourquoi culpabiliserions-nous en évoquant ces positions soit anciennes soit contemporaines ? Je ne renie pas la valeur de ces oeuvres gestuelles et pulsionnelles qui vont de l'abstraction à la figuration (rétablissant l'ordre des choses de l'abstraction première étape de figuration, ou abstraction forme primitive de la figuration) jusqu'à nous redonner des divinités casquées, à valeurs monumentales pourquoi pas. Je constate simplement que sur le plan de la recherche fondamentale au sein de l'émergence de la gestualité figurative - contemporaine de la gestualité abstraite - que nous sommes absolument dans la lignée de ce que Mag-Bert avait conclu avec ses paysages, ses anthropomorphismes, ses marines, ses bouquets, en fin de période plainairiste rentrée en atelier par l'art mnémonique dans la vallée de la Creuse. Nous restons sur le geste rapide de peindre de Claude Monet à Fresselines au confluent des deux Creuse et rentré en atelier en fin de période avec Mag-Bert. L'intériorisation pour une restitution expressive allant dans des "esthétiques" variées et pourquoi pas contradictoires mettant le paysage, le bouquet au rang des arts mineurs, reproduisant la division des arts de l'académie du XVII au XVIII° siècle alors que l'art français de la même période nous donnait un Chardin. Des natures mortes, des oeuvres mineures pour l'académie que la Grande Catherine de Russie ne négligeait pourtant pas pour ses collections. Tout n'est ensuite qu'affaire de tolérance, de mode pour être plus élégant. Je n'ai pas beaucoup l'impression que l'art des dernières décennies du XX° siècle présentées en "art contemporain" dans les musées et autres lieux sacralisés nous ait fait beaucoup avancer. J'ai plutôt l'impression qu'il nous a renfermé dans des diktats qui nous ont conduits à reconnaître, malgré nous, la médiocrité comme une forme d'art (éloge de la fadeur, art sans qualité et autres publications). C'est assez extraordinaire à l'époque où, avec beaucoup de mérite, on lance des doctorats d'art qu'on ne soit pas encore à même de réfléchir de façon fondamentale sur l'irruption de formes d'art dites contemporaines, mais plutôt de façon souvent flatteuse, si j'en crois ce que j'ai lu, vis-à-vis d'expressions purement politiques de réception de certaines oeuvres dites de l'art dit contemporain, ou subventionnées ce qui est à peu près la même chose, donnant des vertus à un art contemporain qui une fois de plus n'est le plus souvent qu'une variante de redites ( de la redondance gascquienne et l'accumulation d'Armand). Dirais-je de pis-aller ? De dépit ? On ferait avec ce qu'on aurait et moins on en aurait plus on en exposerait ? Je croirais plutôt à une question de choix. En France des inventions/accumulations/Installations de moulages humains - qui émergerons dans les galeries du début du XXI° siècle - comme celle inaugurale en costumes de ville de Pierre Marchetti en 1980 exposée à Nice, partent directement aux U.S.A. sans plus de procès et Nice s'affiche comme centre de recherches et de conservation ! Sans compter avec un retour passéiste au possible d'un lettrisme placardé sur les murs de la ville avec les mêmes variantes colorées que celles d'Albert Marquet (1875-1947) pour une calligraphie un peu différente, et on crie "au génie !". En tant que contribuable des années 2000 on aimerait comprendre. Ces redites - au sein d'une véritable création mais qu'on n'identifie pas ou très mal, voire qu'on ne sait pas identifier ou qu'on ne veut pas diplomatiquement identifier ; les intellectuels de l'art sont-ils encore crédibles? - sont néanmoins importantes car elles peuvent être vecteurs de nouvelles évolutions. Toutefois, si nous en revenions au tronc nous serions plus à-même d'en comprendre et d'en évaluer le feuillage.
Alain Robbe-Grillet avait parlé du "scintillement de l'art contemporain", pouvons nous parler d'arborescence printanière : l'automne arrive, les feuilles tombent, que reste t-il ?
Image d'Epinal s'il en est. Le Limerick hésite...simultanément...
Ma chère Anne, ma soeur, ne vois-tu rien venir ?"
Charles Baudelaire - 1846 - Le salon caricatural
Critique en vers et contre tous
Second complément
Allons, faisons nous plaisir : encore un p'tit bouquet
mademoiselle...
Ah ! on me dit qu'il n'est plus permis d'utiliser le mot "mademoiselle" dans la langue française : ce n'est plus la Défense et Illustration de la Langue Française que cette Pléiade là de 2012, c'est la Défense et l'Abrutissement des Masses Françaises... Non mais ! Interdire les mots français alors que les nouvelles générations françaises n'arrivent même plus à vous comprendre si vous ne faites pas de la "check liste", du "planning" , du "cool", du "master" ou du "management" à tout propos et rarement à bon escient, donc sans prétexte réel de mots plus appropriés et choisis dans le panorama des langages...beaux ministères de la cultures et de l'éducation nationale que nous avons là........!
On avance, on avance...!
A ce stade du développement de ma page je vous donne l'impression de bifurquer, de déraper.
Non, j'en reviens à des langages peints ou écrits - tout comme les pages que je vous ai présentées plus haut au sujet des écritures scandées qui passent dans le langage de l'art actuel et suivant la remarque de Marcel Jouhandeau sur la peinture de Mag Bert - puisque l'intelligence d'une oeuvre passe nécessairement un jour ou un autre par une expression orale ou écrite, c'est à dire par le langage qui est le seul vecteur d'échange entre les individus qui regardent ou écoutent, appréhendent une même oeuvre au même moment, quelque soit la nature de cette oeuvre.
Comme la langue est affaire de chacun et qu'elle est le ciment d'une culture, sa force, sa vie et son originalité sinon sa richesse (saluons le beau livre de Madame Jacqueline de Romilly de l'Académie Française :Dans le jardin des mots, aux Editions de Fallois, 2007), qu'elle est aussi un vecteur de lutte contre toutes les formes de colonialisme tout comme un facteur d'intégration (à mon sens on ne peut pas intégrer des populations si on leur apprend préférentiellement les mots et les langages d'autres cultures que celle du pays d'accueil), qu'elle est encore ce vecteur par lequel la santé psychique peut se conquérir ou se reconquérir, socialement se réorganiser, je vous livre ici encore un des ces petits textes que je compose pour mes ateliers de Poésie en Art Thérapie, sachant que le mélange des langues est souvent un des signes cliniques des phases aiguës de la psychose. Notre société serait-elle devenue "psychotique" par choix culturels ?
La rose et la poésie
............................................................
Second complément
Toute forme de pensée étant évolutive je n'arrête rien : je veux parler de "mobilité", de la "mouvance" des oeuvres et de la pensée.
Je vous ai parlé plusieurs fois de cette formation qui fut pour moi si importante auprès de cette artiste Mag Bert, qui arrive à la fin du pleinairisme dans la vallée de la Creuse (Deuxième quart du XIX°, milieu du XX° siècle) faisant rentrer l'acte rapide de peindre (définit par Claude Monet dans la vallée de la Creuse) en atelier pour retravailler le paysage, les fleurs, les marines, sur les modes pulsionnels et mnémoniques d'une sensation, d'une analyse, d'un vécu émotionnel, intériorisé dont il ne reste plus, lors de la mise en toile, qu'une "pulsion" qui va prendre forme par l'acte rapide de peindre (je renVois, pour des voies différentes issues de l'acte rapide de peindre, à ma page sur ce blog consacré à La Pochade, mois de septembre 2012). Cette vacuité entre un monde réel intériorisé qui va se transformer, envahir intérieurement comme une sorte d'abstraction qui va réapparaître brutalement, ou repasser comme une fulgurance dans le monde réel par libération de la pulsion dont elle est le générateur en acte de peindre très rapide et violent, par un bifurcation interne génératrice de l'oeuvre : quelque chose qu'on intériorise, qui envahit, qui étouffe et dont on se libère brutalement dans un rapport physique réel entre l'artiste et le support par ce vecteur de la peinture qui donne enfin à un récepteur son sens plein et entier "d'oeuvre d'art", rejoignant la pulsion du tagueur, transformant le paysage urbain, qui surviendra bientôt puisque Mag Bert occupe cette place historique entre la fin de l'acte rapide de peindre du pleinairisme dans la campagne lumineuse et parfois tourmentée de la conquête extra-urbaine romantique sur un support transportable et le début de l'acte rapide de peindre du héros de la rue, dans la ville artificiellement éclairée ou obscure en atelier de la nuit et du bombage sur des sites fixes de rencontre. Acte rapide de peindre qui se renverse jusqu'à ce que la vitesse de nouveaux supports mobiles - trains, voitures, camions, avions et autres véhicules - renvoient l'oeuvre à une nouvelle conquête de l'espace sur-dimensionné non pas par le site mais par les sites successifs dans lesquels l'oeuvre va se déplacer, va vivre et rencontrer un public interactif jusqu'au procès du procédé.
J'ai retrouvé trois clichés des oeuvres de Mag Bert. J'en avais acheté près d'une vingtaine. J'en avais donné une à chacun de mes cinq frères et soeurs. Sauf à ma soeur Annie à qui j'en avais donné deux et une à un cousin à l'occasion de son mariage. Une de ces trois toiles, celle ci-dessus, est celle que j'ai donnée à mon frère Pierre. Je regrette que ces clichés sortent un peu flou mais cette médiocre qualité de mes photos anciennes est toutefois, à mon avis, pas trop gênante, vu la puissance des oeuvres. Le bouquet ci contre est un des bouquets que je possède à Saint-Vaury. Je n'avais pas choisi ce bouquet pourtant très beau avec ses extraordinaires transparences qui confinent à la porcelaine et tout ça mis en toile en un temps excessivement court...du grand grand art et tous ceux qui se sont essayés à ce type de difficultés techniques en connaissent les naufrages... J'avais choisi un autre bouquet encore plus "transparent", excessivement fin, pour avoir une palette plus étendue de la qualité de la production de cette artiste. Mais elle me fit rendre le tableau que je lui avais acheté et elle me donna celui-ci à la place, un peu plus grand. Il y a des fois il faut se plier aux caprices des artistes même si on ne comprend pas trop leurs motivations. Et puis ce troisième ci dessous qui est le tableau que Mag Bert m'offrit, encore "mouillé", lorsque je fis sa connaissance en 1975. C'est un peu mon tableau "mascotte" et il est dans la salle à manger de ma mère. Je l'ai exposé plusieurs fois; il a donc déjà été publié.
Ce tableau m'a tellement questionné par sa composition, ses rapports chromatiques apparemment "minimalistes" et pourtant fougueux, que je me suis livré à une étude graphique à son sujet. Je vous la propose car elle fait encore partie des bases de mes recherches sur la composition du tableau, puisque c'est mon sujet de recherche à travers mes propres tableaux
Dans le tableau que je suis en train de présenter sur ce blog "La Mourrachonne à Pégomas" mois de mai 2012, je vous renverrai à ce tableau si mes explications sont un peu "floues". Beaucoup de mes bases de recherches sont ici, mais pas toutes bien sûr, car comme tout le monde on évolue et cette "plastique" n'est pas non plus dans les sensibilités du moment, mais ça je m'en fiche, je ne fais pas de la sensiblerie de galeriste ou de politique contemporaine subventionnée, je fais de la recherche.
Je laisse volontairement ce plan derrière ce "traité technique" car cette superposition d'approches techniques très différentes me plait beaucoup : elle est bien représentative d'une sorte de petite synthèse de mon travail en recherches.
J'espère que les trois paragraphes assurent une continuité cohérente de l'article.
car :
ainsi le voile noir de Baudelaire laisserait sa place au voile blanc de Mag Bert...et je m'y sens mieux à mon aise.
Plus de Limerick, plus de synesthésie, plus de schizophrénie des oeuvres, on passe dans un monde global indépendant qui enrichit le regard porté sur l'art du XX° siècle, qui conteste les constructions intellectuelles du regard triste et maussade sur les oeuvres reconnues en muséographie de la fin du XX° siècle, qui offre un nouveau souffle, une nouvelle beauté à l'histoire et à l'histoire de l'art, une nouvelle joie aussi.
mademoiselle...
Ah ! on me dit qu'il n'est plus permis d'utiliser le mot "mademoiselle" dans la langue française : ce n'est plus la Défense et Illustration de la Langue Française que cette Pléiade là de 2012, c'est la Défense et l'Abrutissement des Masses Françaises... Non mais ! Interdire les mots français alors que les nouvelles générations françaises n'arrivent même plus à vous comprendre si vous ne faites pas de la "check liste", du "planning" , du "cool", du "master" ou du "management" à tout propos et rarement à bon escient, donc sans prétexte réel de mots plus appropriés et choisis dans le panorama des langages...beaux ministères de la cultures et de l'éducation nationale que nous avons là........!
On avance, on avance...!
A ce stade du développement de ma page je vous donne l'impression de bifurquer, de déraper.
Non, j'en reviens à des langages peints ou écrits - tout comme les pages que je vous ai présentées plus haut au sujet des écritures scandées qui passent dans le langage de l'art actuel et suivant la remarque de Marcel Jouhandeau sur la peinture de Mag Bert - puisque l'intelligence d'une oeuvre passe nécessairement un jour ou un autre par une expression orale ou écrite, c'est à dire par le langage qui est le seul vecteur d'échange entre les individus qui regardent ou écoutent, appréhendent une même oeuvre au même moment, quelque soit la nature de cette oeuvre.
Comme la langue est affaire de chacun et qu'elle est le ciment d'une culture, sa force, sa vie et son originalité sinon sa richesse (saluons le beau livre de Madame Jacqueline de Romilly de l'Académie Française :Dans le jardin des mots, aux Editions de Fallois, 2007), qu'elle est aussi un vecteur de lutte contre toutes les formes de colonialisme tout comme un facteur d'intégration (à mon sens on ne peut pas intégrer des populations si on leur apprend préférentiellement les mots et les langages d'autres cultures que celle du pays d'accueil), qu'elle est encore ce vecteur par lequel la santé psychique peut se conquérir ou se reconquérir, socialement se réorganiser, je vous livre ici encore un des ces petits textes que je compose pour mes ateliers de Poésie en Art Thérapie, sachant que le mélange des langues est souvent un des signes cliniques des phases aiguës de la psychose. Notre société serait-elle devenue "psychotique" par choix culturels ?
La rose et la poésie
Comme il semble naturel de parler d "rose", de l'associer au nom d'une jolie fleur et d'une tendre fille, à celui de l'amour, de la tendresse et de la vie éphémère ! Gertrude Stein, poète et écrivain américain ayant adopté la France (1874-1946), en a fait le cercle de la tautologie - ou étude du tout - un des topos de l'art contemporain. Son cercle de la tautologie c'est le nom de sa nièce Rose qu'elle adore et qu'elle écrit en un cercle au-dessus de son lit, en ciel de lit, sous la forme "...rose is a rose is a rose is a rose is a rose is a rose..." (...rose est une rose est une rose est une rose est une rose...).
Au moyen âge deux auteurs français donnent naissance au Roman de la Rose. C'est un très long poème de 22000 vers. Les auteurs, Guillaume de Loris et Jean de Meung, se succèdent du dernier quart du XIII° siècle au premier quart du XIV° siècle pour écrire un songe guidé par le héros Amour. Ainsi la rose et l'amour à travers le rêve fondent le panthéon (médiéval) de la culture française, pour tous les siècles à venir, dont le site est un jardin fleuri et arboré, orné de fontaines architecturées, et clos dans une muraille peinte à l'extérieur des figures du mal et vices alors que l'intérieur est le lieu vivant et contradictoire réservé aux vertus, aux délices et aux caractères pas tous vertueux mais tous incarnés par des personnages, sortes d'allégories de la somme des connaissances médiévales où les références aux auteurs et aux mythes antiques sont fréquents.
La Rose et l'Amour, les symboles de la beauté et de l'éphémère, de la fragilité de l'un et de l'autres, se trouvent réunis pour fonder une bonne part de la culture littéraire française de toutes les époques et de toutes les langages. On les trouve chez Ronsard, chez Malherbe et bien sûr au XX° siècle en stupéfiant témoignage de l'image de la modernité jusqu'en écho de la lutte des classes chez Aragon chanté par Juliette Gréco. La fleur elle-même, depuis l'églantier, s'est quelque peu compliquée, elle s'est enrichie de nouveaux atours et de nouvelles couleurs mais la référence psychique est la même. Ainsi sont-ils étonnants ces appels à la rose chez les auteurs qui ont travaillé les aspects marginaux de la langue française. La conquête du Français, depuis sa formation par la rencontre des trouvères et des troubadours dans les châteaux du Limousin au centre de la France - Aubusson, Comborn et Ventadour/Turenne - est une longue route ayant circulé en Aquitaine et en pays ligériens jusqu'au Français moderne universel auquel certains de nos académiciens semblent préférer l'Anglais. Renversement de l'histoire vers un pays dont la devise est encore en Français. La rose et la langue ont des destins qui se suivent et le rose semble survivre au beau langage de France que des poètes - sans le nimbe de la Coupole et certainement moins illustres que nos académiciens contemporains - avaient néanmoins défendu : c'étaient ceux de la Pléïade...et la rose était du mouvement..
Le lieu de la poésie est celui où l'on suit l'évolution de sa langue. Au XIX° siècle de grands romanciers et poètes (de la rose) mettent en lumière la grande richesse des langues et des dialectes français : c'est Victor Hugo avec l'argot, c'est George Sand avec le Berrichon, c'est Frédéric Mistral avec le Provençal, c'est Gaston Couté avec le Beauceron, c'est Aristide Bruant avec le parler des faubourgs parisiens. Quelque soit l'humeur et sa langue, la rose est toujours là et la "Rose" de William Shakespeare exhalerait-elle toujours ses parfums aussi passionnés sous un autre nom ?
"Qu'y a t-il en un nom ? Ce que nous nommons rose, sous un autre nom, sentirait aussi bon" :
W.Shakespeare Roméo et Juliette 1594.
" Alle avait, sous sa toque d'martre,
Sur la butt'Montmartre,
Un p'tit air innocent;
On l'app'lait Rose, alle était belle,
Ru'Saint-Vincent.
.... "
Aristide Bruant , Rose Blanche, premier couplet d'une chanson.
Ci contre affiche de Toulouse Lautrec
pour Aristide Bruand (1851-1925) .
Et pour finir de relier ce paragraphe aux chapitres de ma thèse que j'expose sur ce blog, ainsi qu'à mes recherches sur le tableau, je vous propose un autre texte, qui lie par la poésie les mots et l'art des couleurs. Ce texte je l'avais aussi écrit pour un de mes ateliers de Poésie. Je l'avais oublié. Je le retrouve en cherchant celui sur la rose. Donc je vous le propose.
La couleur, les mots et la Poésie
Les artistes érudits du XIX°siècle avaient repéré et écrit que les couleurs n'existaient pas dans la langue d'Homère. Est-ce à dire que l'antiquité grecque était en noir et blanc sous le ciel de la Méditerranée ? La polychromie architecturale de la Grèce Antique est une découverte des érudits-architectes français du XIX° siècle. D'abord Jacques Ignace Hittorff qui en est le pionnier avec trois articles sur la polychromie des temples grecs (1830, 35 et 51) et Charles Garnier qui expose le sujet en 1852 devant l'Académie (Fondation de l'Ecole Française d'Athènes en 1846). La mode de l'architecture polychrome est relancée dans les milieux parisiens et les Arts Sociaux s'en emparent dans "L'art de décorer nos maisons" (contemporain d'Art Nouveau et un peu au-delà; grosso-modo 1899-1910). Les répertoires ornemanistes fleurissent au XIX° siècle, relayés par l'explosion de la presse colorée, et il n'est plus de projet architectural sans couleur. Cette situation - bien que s'étiolant - dure jusque dans les années 1950. Alors que la publicité peinte sur les murs devenait "la lèpre des routes" (sic), jusqu'à son arrêt brutal en 1964, le retour aux décors architecturaux extérieurs fut essentiellement un effet du mouvement muraliste français amorcé par Georges Bissière (1886-1964) et apporté dans les édifices publics par Fernand Léger et Marc Chagall, dans les stations d'hiver du sud-ouest des Alpes par Jean Cassarini, dans les rues de Paris par François Morellet, dans les cités par Fabio Rieti et dans l'architecture de luxe par Victor Vasarely. Antoni Gaudi et Joan Miro faisaient remonter les traditions polychromes Mudéjar de la péninsule Ibérique dans l'art contemporain. Le mouvement de Figuration Libre/Hip Hop, les D.R.A.C., les C.A.U.E. des départements et les architectes des Bâtiments de France complétèrent avec leurs artistes, leurs politiques culturelles et leurs programmes de rénovations l'idée que nous avons du décor de rue, de l'art de la rue.
La Côte d'Azur, dont le concept est une création du poète Stéphan Liégeard en 1888, se construit massivement à partir des importantes dotations de Napoléon III après le rattachement du comté de Nice à la France en 1860/61. A de rares exceptions près comme celles de S.M.Biasini (1841-1913), architecte niçois de formation parisienne, les architectures qui se construisent sur la Côte d'Azur sont des projets parisiens et tout ce qu'on voit de frises et autres ornements colorés et sculptés sur les immeubles des villas, de Hyères à Menton, est purement une veine parisienne (de luxe) qui se rencontre à l'identique jusque dans la périphérie du château de Maison Lafitte en région parisienne ou en Touraine et un peu partout en France, mais de façon moins concentrée il est vrai car ces régions ne se sont pas massivement construites à cette époque ou plus exactement à ces époques. Sur la Côte d'azur l'architecture polychrome de vecteur italien est tout simplement un mythe inventé et diffusé à partir des années 1990 (essentiellement) pour suppléer à un manque d'information historique sur le sujet alors que les investissements et les budgets de rénovation allaient bon train.
Les vecteurs polychromes de l'architecture parisienne sur la Côte d'Azur ne sont pas nouveaux et ne datent pas tous de la découverte de l'architecture polychrome antique. Sous Louis XIV les luxueuses architectures polychromes, dont le grand modèle est sans doute Marly, s'expriment de façon étonnante à la cour de Monaco où on fait appel de préférence aux architectes parisiens. Le très brillant Prince Antoine 1° (1661-1731) élevé à la cour de Louis XIV mais ayant exclusivement vécu dans sa Principauté à partir de son mariage, reçoit les plans des fortifications de Monaco des ingénieurs français et attache à sa propre cour un architecte français chargé de mettre en oeuvre, voire de réviser sous la dictée du prince (le prince ayant lui-même été formé aux écoles d'architecture française) les plans directement commandés aux Architectes du Roi et aux plus plus prestigieux d'entre eux, experts dans le recours aux leurres et aux trompe l'oeil. La Place du Palais de Monaco était entièrement polychrome et surtout peinte. Au siècle suivant, vers 1850, les princes de Monaco font rechercher dans toute l'Europe des peintres façadiers pour restaurer la Cour d'Honneur du Palais. Ce n'est pas en Italie qu'ils les découvrent, mais en France et en Allemagne. Le décor peint de la Galerie d'Hercule est même une création de cette époque : il ne restait que de rares traces illisibles de l'ancienne polychromie de la Cour, dans la Grande Galerie et sur la façade maniériste peinte à fresque par Luca Cambiaso - pour cette fois un Génois de la Renaissance - et étonnamment bien conservé (relevé de Philibert Florence). Le cycle d'Hercule, peint à la cire dans les lunettes de la Galerie d'Hercule donnant sur la Cour d'Honneur du Palais, est ainsi une création de Carbillet artiste parisien (projets signés Carbillet Invenit, réalisés de 1863 à 1865). Les autres décors peints de cette galerie sont du Monégasque Philibert Florence et le reste du programme peint de la Cour d'Honneur est essentiellement l'oeuvre d'artistes Allemands, y compris pour les restaurations de la façade de Luca Cambiaso.(voir l'étude des ces décors à la page "Palais de Monaco" au mois de septembre 2012 sur ce blog).
Par ailleurs, la sphère génoise et le reste du sud-ouest des Alpes perpétuaient une tradition d'appels occasionnels aux enduits colorés parfois enrichis de cadrans solaires, de fausses fenêtres ou d'imitations d'appareils et de pans de bois, les figures étant plus rares.
La tradition des couleurs en façades des édifices religieux n'est pas plus italienne que le reste. A partir de la période baroque la veine très originale dans le comté de Nice des frontispices d'églises peints s'articule autant avec la période médiévale italienne (aux origines byzantines) ou de l'ouest de l'Europe qu'avec les vecteurs renaissants du nord de l'Europe et les tympans peints se trouvent autant dans la vallée de l'Ubaye, que dans la vallée de l'Allier, qu'en Berry, qu'en Auvergne ou dans le reste de l'ouest de la France. Et que dire des façades sculptées et peintes de la Saintonge et du Poitou ? Restent les chapelles ouvertes et peintes qui sont une originalité du sud-ouest des Alpes mais la tradition des programmes peints sur les murs gouttereaux ou de façade est celle de l'architecture religieuse présente par foyers sur l'ensemble du croissant alpin.
Alors sur la Côte d'Azur allons-y ! Toute la couleur est italienne, tout ce qui est gris est français, ben voyons ! C'est peut-être lourd de sens, mais passons ! Ainsi les mots nous trahissent souvent quand on veut que tout soit ci ou ça : le poète André Chénier condamné sur une confusion entre "maison d'à côté" et "maison du Sieur Cotté" fut guillotiné à la Révolution Française sur une interprétation des mots (Sainte-Beuve). Au regard de l'histoire et de ce que nous faisons de l'histoire, même lorsque celle-ci est extrêmement bien documentée, il y a toujours des usuriers tant des mots que de l'histoire, et qu'on écoute plus volontiers. Mais consolons nous et évitons une querelle stérile car dans ce XIX° siècle qui redécouvre les fondements anciens de la polychromie architecturale, jusqu'aux dolmens peints, et que le langage n'est pas nécessairement le reflet de ce que l'âme et l'oeil perçoivent, pour notre bonheur à tous les poètes colorent les mots :
Arthur Rimbaud et le Concept dans l'art Contemporain - le Concept Rimbaldien.
La réduction du concept induit la recherche de l'objet,
La Côte d'Azur, dont le concept est une création du poète Stéphan Liégeard en 1888, se construit massivement à partir des importantes dotations de Napoléon III après le rattachement du comté de Nice à la France en 1860/61. A de rares exceptions près comme celles de S.M.Biasini (1841-1913), architecte niçois de formation parisienne, les architectures qui se construisent sur la Côte d'Azur sont des projets parisiens et tout ce qu'on voit de frises et autres ornements colorés et sculptés sur les immeubles des villas, de Hyères à Menton, est purement une veine parisienne (de luxe) qui se rencontre à l'identique jusque dans la périphérie du château de Maison Lafitte en région parisienne ou en Touraine et un peu partout en France, mais de façon moins concentrée il est vrai car ces régions ne se sont pas massivement construites à cette époque ou plus exactement à ces époques. Sur la Côte d'azur l'architecture polychrome de vecteur italien est tout simplement un mythe inventé et diffusé à partir des années 1990 (essentiellement) pour suppléer à un manque d'information historique sur le sujet alors que les investissements et les budgets de rénovation allaient bon train.
Les vecteurs polychromes de l'architecture parisienne sur la Côte d'Azur ne sont pas nouveaux et ne datent pas tous de la découverte de l'architecture polychrome antique. Sous Louis XIV les luxueuses architectures polychromes, dont le grand modèle est sans doute Marly, s'expriment de façon étonnante à la cour de Monaco où on fait appel de préférence aux architectes parisiens. Le très brillant Prince Antoine 1° (1661-1731) élevé à la cour de Louis XIV mais ayant exclusivement vécu dans sa Principauté à partir de son mariage, reçoit les plans des fortifications de Monaco des ingénieurs français et attache à sa propre cour un architecte français chargé de mettre en oeuvre, voire de réviser sous la dictée du prince (le prince ayant lui-même été formé aux écoles d'architecture française) les plans directement commandés aux Architectes du Roi et aux plus plus prestigieux d'entre eux, experts dans le recours aux leurres et aux trompe l'oeil. La Place du Palais de Monaco était entièrement polychrome et surtout peinte. Au siècle suivant, vers 1850, les princes de Monaco font rechercher dans toute l'Europe des peintres façadiers pour restaurer la Cour d'Honneur du Palais. Ce n'est pas en Italie qu'ils les découvrent, mais en France et en Allemagne. Le décor peint de la Galerie d'Hercule est même une création de cette époque : il ne restait que de rares traces illisibles de l'ancienne polychromie de la Cour, dans la Grande Galerie et sur la façade maniériste peinte à fresque par Luca Cambiaso - pour cette fois un Génois de la Renaissance - et étonnamment bien conservé (relevé de Philibert Florence). Le cycle d'Hercule, peint à la cire dans les lunettes de la Galerie d'Hercule donnant sur la Cour d'Honneur du Palais, est ainsi une création de Carbillet artiste parisien (projets signés Carbillet Invenit, réalisés de 1863 à 1865). Les autres décors peints de cette galerie sont du Monégasque Philibert Florence et le reste du programme peint de la Cour d'Honneur est essentiellement l'oeuvre d'artistes Allemands, y compris pour les restaurations de la façade de Luca Cambiaso.(voir l'étude des ces décors à la page "Palais de Monaco" au mois de septembre 2012 sur ce blog).
Par ailleurs, la sphère génoise et le reste du sud-ouest des Alpes perpétuaient une tradition d'appels occasionnels aux enduits colorés parfois enrichis de cadrans solaires, de fausses fenêtres ou d'imitations d'appareils et de pans de bois, les figures étant plus rares.
La tradition des couleurs en façades des édifices religieux n'est pas plus italienne que le reste. A partir de la période baroque la veine très originale dans le comté de Nice des frontispices d'églises peints s'articule autant avec la période médiévale italienne (aux origines byzantines) ou de l'ouest de l'Europe qu'avec les vecteurs renaissants du nord de l'Europe et les tympans peints se trouvent autant dans la vallée de l'Ubaye, que dans la vallée de l'Allier, qu'en Berry, qu'en Auvergne ou dans le reste de l'ouest de la France. Et que dire des façades sculptées et peintes de la Saintonge et du Poitou ? Restent les chapelles ouvertes et peintes qui sont une originalité du sud-ouest des Alpes mais la tradition des programmes peints sur les murs gouttereaux ou de façade est celle de l'architecture religieuse présente par foyers sur l'ensemble du croissant alpin.
Alors sur la Côte d'Azur allons-y ! Toute la couleur est italienne, tout ce qui est gris est français, ben voyons ! C'est peut-être lourd de sens, mais passons ! Ainsi les mots nous trahissent souvent quand on veut que tout soit ci ou ça : le poète André Chénier condamné sur une confusion entre "maison d'à côté" et "maison du Sieur Cotté" fut guillotiné à la Révolution Française sur une interprétation des mots (Sainte-Beuve). Au regard de l'histoire et de ce que nous faisons de l'histoire, même lorsque celle-ci est extrêmement bien documentée, il y a toujours des usuriers tant des mots que de l'histoire, et qu'on écoute plus volontiers. Mais consolons nous et évitons une querelle stérile car dans ce XIX° siècle qui redécouvre les fondements anciens de la polychromie architecturale, jusqu'aux dolmens peints, et que le langage n'est pas nécessairement le reflet de ce que l'âme et l'oeil perçoivent, pour notre bonheur à tous les poètes colorent les mots :
A NOIR, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles,
Je dirai quelque jour vos naissances latentes :
A, noir corset velu des mouches éclatantes
Qui bombinent autour de puanteurs cruelles,
Golfes d'ombre : E, candeurs des vapeurs et des tentes,
Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles;
I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles
Dans la colère ou les ivresses pénitentes;
U, cycles, vibrements divins des mers virides,
Paix des pâtis semés d'animaux, paix des rides
Que l'alchimie imprime aux grands fronts studieux;
O, suprême clairon plein de strideurs étranges
Silences, traversées des Mondes et de Anges :
--- O l'Oméga, rayon violet des Ses Yeux !
Sonnet d'Arthur Rimbaud Voyelles
(vers 1870, publié une première fois en 1883)
Arthur Rimbaud et le Concept dans l'art Contemporain - le Concept Rimbaldien.
La réduction du concept induit la recherche de l'objet,
repris en 1965 par l'américain Joseph Kosuth qui exposait une chaise avec à côté une photographie de la chaise et la définition du mot "chaise" dans le dictionnaire.
Repris également au cinéma avec le "blow-Up" de Marchangelo Antonioni (1966) qui induit l'enquête cinématographique à partir de l'identification de l'objet découvert dans le buisson sur une pellicule et qu'on grossit jusqu'à une identité nominative, à la recherche des identités du "crime", écho au "Crime de l'Ecriture" cher à la thématique répétitive de Raymond Roussel (1877-1933)
Voir Pierre Courtaud, deux pièces qui ne sont pas l'inverse l'une de l'autre bien qu'aux procédés inversés:
L'Amante Noire, 1991 : écriture en réduction jusqu'à la disparition de l'écriture,
Le tombeau de Raymond Roussel, 1993. écriture en expansion jusqu'à l'apparition du "mobile".
(Pour cette seconde pièce Pierre Courtaud opère une fusion avec le genre mallarméen "tombeau")
Voir aussi sur ce blog ma page consacrée à Pierre Courtaud (1951- 2011) - mois de mars 2012.
Troisième complément
La mystique des nuits n'est en rien une création de l'art contemporain puisque c'est la spiritualité du Carmel Réformé de Sainte Thérèse d'Avila au XVI° siècle
avec des poètes comme Jean de la Croix et des peintres comme Gréco et Philippe de Champaigne aux côtés de Caravage et de Jean de La Tour et de Rembandt en reprenant depuis Claude Gélée (Le Lorrain) jusqu'à Jean-Baptiste Greuze et Joseph Vernet et ses incidences dans la peinture anglaise du XIX° siècle.
La peinture elle-même avait conduit, parallèlement, la montée des fonds noirs, depuis les peintures d'atmosphère vénitiennes et les sfumatos de Léonard
L'art contemporain nous démontre le génie d'artistes qui ont surdimensionné des noirs sur lesquels interviennent les jeux de la lumière et de la matière, voire quelques couleurs dans la même gestualisté abstraite que celle créée par Pollok aux sources de l'impressionnisme de Claude Monet et de ses perspectives inversées par les couleurs, jusqu'à Olivier Debré, et Mag-Bert en expression figurative où le processus mnémonique est mis à jour par la fonction de l'image.
Ces champions de la gestulaité du noir nous disent " Du noir jaillit la lumière" ou la "lumière du noir" et lorsqu'on leur commande des vitraux ils font du blanc ???
Un autre artiste du blanc a fait des vitraux blancs pour une abbaye bien avant qu'un autre de la même veine dite "contemporaine", mais champion du noir, fasse des vitraux blancs pour une autre abbaye également célèbre.
Le génie n'eut-il pas été d'éclairer l'église par le jeu des vitraux noirs ?
Il est vrai que par les vitraux vient la lumière divine qui éclaire l'humanité. D'un point de vue spirituel qu'éclairent ces vitraux blancs ?
Un quidam héritant d'une chapelle allant à la découpe de verre de chez Casto peut ainsi produire ses verrières, ce qui semble tout à fait légitime, mais qui nous dira la supériorité des uns sur les autres quand les théories qui les soutiennent ont si peu de consistance artistique face à l'histoire.
Donc nos budgets de la culture et intellectuels des universités nous entraînent dans des obscurantismes il faut bien le dire. Celui qui fait du noir une valeur culturelle ce n'est pas l'artiste mais le contexte idéologico-politique récipiendaire qui se charge de sa sur-diffusion dans les populations qui n'ont d'autre choix que de l'admettre comme les moutons de Panurge.
Toutes les valeurs deviennent relatives alors pourquoi aller à l'école ?
Que sinigfie le mot "culture" de nos ministères ? Abrutire les populations pour en faire des moutons passifs irresponsabilisés de la politique ?
Voyez-vous autre chose ?
Sur un plan économique le fait a la même ampleur.
Regardez la fontaine des Girondins à Bordeaux.
Lorsqu'on regarde ce monument, une fois le moment d'émotion passé, on pense au prix de revient.
Le coût de ce monument facturé est il réellement supérieur à un bout de ci ou de ça projeté dans l'air ou laissé à pourrir au raz du sol d'un représentant de l'art dit "contemporain" ?
Regardez les ronds et les bulles qu'on nous propose en "génie" de l'art contemporain comme si la roue, l'arc, le croissant de lune, la bulle de savon, la voûte et la volute, les envolées de drapés, tout ça parfois aux couleurs irradiantes ou volontairement ternies était une invention de l'art contemporain en reproduction des gammes chromatiques architecturales crées au XX° siècle du ciment brut aux hourdis et structures richement colorées en pure expression de langages de l'art.
On se trouve coincés dans ces seules alternatives comme si ces espaces étaient devenus les seules nébuleuses possibles en expressions artistiques...bien sûr c'est tout de la redite sous un forme ou sous une autre.
C'est d'une idiotie sans nom mais ça marche.
Le monde contemporain est une poésie qui s'ignore, mais est-elle "poétique" et "contemporaine" au regard des grands poètes de la transition XIX°/XXI° qui ont véritablement travaillé l'art de la langue et du langage, de Rimbaud, Mallarmé à Courtaud, pour dépasser ces états d'images et de clichés anecdotiques.
Pierre Courtaud disait souvent "il surfile la métaphore"...
Jamais une telle expression n'a été d'une telle actualité et d'une telle acuité pour qualifier ce que les ministères téléguidés par les commerciaux et autres instrumentateurs d'économie culturelle reçoivent et nous imposent en matière d'art contemporain.
On pourrait même ajouter que c'est une "métaphore in absentia" puisque le comparé est absent lorsqu'on argumente ou qu'on "surfile" une "idée" ancienne pour en faire une "chose" contemporaine. C'est le "thème" qui est revu et masqué pour en faire un "phore" surfilé à valeur d'art contemporain. Ce qui devient une forme allégorique à valeur d'abstraction ou d'expression abstraite à partir d'une mise en oeuvre d'éléments concrets que sont les outils matière-langage (peinture, ferraille, etc...). Mais le fond du "thème" est bien un "comparé surfilé".
Avec Borgès repris par Robbe-Grillet et Courtaud nous sommes bien dans le vecteur de l'art du faux du XX° siècle (peut-être sans oublier l'œuvre poétique imitative de l'antiquité de Pierre Louÿs) aux incidences d'art officiel contemporain dans ces premières décennies du XXI° siècle.
Ce nouveau complément pour revenir sur des évolutions qui ont été menées par ceux qui se sont appropriés les valeurs pour en faire des outils de négoces et de positions sociales, dont tous ceux qui affichent et écrivent sur leurs actes de pédophilie avoués sans être le moins du monde poursuivis pire en étant invités en grandes pompes par les médias sur les chaines et ondes nationales.
Je trouve ça scandaleux, d'autant plus que désormais un glissement se fait de la même nature que celui qu'on a opéré à partir de Vang Gogh avec sa sois-disante ou prétendue folie (comme on voudra) et sur laquelle fort heureusement on revient en ce début du XXI° sièle. A parti de Vang Gogh, et de la même façon de la reconnaissance de l'oeuvre de Gérard de Nerval par les Surréalistes, on a progressivement voulu faire assimiler l'artiste à un fou jusqu'à énoncer "artiste = fou" ou "fou=artiste". C'est une position théorico-idéologico qui vise à se substituer à la création artistique par les métiers d'art relégués aux rangs d'on ne sait quoi par des élites de pacotilles serviteurs d'idéologies politiques scabreuses. De la même façon avec la pédophilie on en arrive à écrire " la pédophilie des artistes" et bientôt on écrira que tous les pédophiles sont des "artistes" et ceux qui ne seront pas pédophiles ne seront pas "artistes" comme ceux qui ne sont pas 'fous" ne sont pas artistes... le monde qu'on nous prépare...car le processus ne s'arrêtera pas là et bientôt un criminel en série sera un "artiste" pour peu qu'un grand criminel ou grand délinquant protégé par le pouvoir politique soit admis en héros national comme on commence à le voir avec certaines affaires gravissimes tournant autour de nos principaux politiques.
Ce genre de glissements par les exemples médiatisés prennent du poids dans notre société alors que d'autres artistes authentiques de bien plus grandes valeurs et infiniment plus nombreux sont laissés dans l'ombre.
Sur le plan artistique il se passe le même phénomène que sur le plan de l'identité sociale de l'artiste reconnu digne de percevoir les subsides de l'Etat. Pour simple exemple voyez du côté de la reconnaissance muséographique du noir dans la création contemporaine. Même des reportages télévisés orchestrés par des universitaires (dont on sait comment ils sont nommés en postes) ou des chargés de mission du ministère le la culure, frabriquent des théories publiées et télévisées sur les nuits en peinture et la lumière dans le noir en prenant d'infinies précautions pour ne commencer leurs oraisons qu'à partir de la fin du XVII° siècle, voire au début du XIX° siècle.
A proprement parler nous serions là sur de l'obscurantisme culturel étatisé et universitatisé. tout comme avec "l'artiste = fou" médicalisé et "l'artiste = pédophile" justifié.
avec des poètes comme Jean de la Croix et des peintres comme Gréco et Philippe de Champaigne aux côtés de Caravage et de Jean de La Tour et de Rembandt en reprenant depuis Claude Gélée (Le Lorrain) jusqu'à Jean-Baptiste Greuze et Joseph Vernet et ses incidences dans la peinture anglaise du XIX° siècle.
La peinture elle-même avait conduit, parallèlement, la montée des fonds noirs, depuis les peintures d'atmosphère vénitiennes et les sfumatos de Léonard
L'art contemporain nous démontre le génie d'artistes qui ont surdimensionné des noirs sur lesquels interviennent les jeux de la lumière et de la matière, voire quelques couleurs dans la même gestualisté abstraite que celle créée par Pollok aux sources de l'impressionnisme de Claude Monet et de ses perspectives inversées par les couleurs, jusqu'à Olivier Debré, et Mag-Bert en expression figurative où le processus mnémonique est mis à jour par la fonction de l'image.
Ces champions de la gestulaité du noir nous disent " Du noir jaillit la lumière" ou la "lumière du noir" et lorsqu'on leur commande des vitraux ils font du blanc ???
Un autre artiste du blanc a fait des vitraux blancs pour une abbaye bien avant qu'un autre de la même veine dite "contemporaine", mais champion du noir, fasse des vitraux blancs pour une autre abbaye également célèbre.
Le génie n'eut-il pas été d'éclairer l'église par le jeu des vitraux noirs ?
Il est vrai que par les vitraux vient la lumière divine qui éclaire l'humanité. D'un point de vue spirituel qu'éclairent ces vitraux blancs ?
Un quidam héritant d'une chapelle allant à la découpe de verre de chez Casto peut ainsi produire ses verrières, ce qui semble tout à fait légitime, mais qui nous dira la supériorité des uns sur les autres quand les théories qui les soutiennent ont si peu de consistance artistique face à l'histoire.
Donc nos budgets de la culture et intellectuels des universités nous entraînent dans des obscurantismes il faut bien le dire. Celui qui fait du noir une valeur culturelle ce n'est pas l'artiste mais le contexte idéologico-politique récipiendaire qui se charge de sa sur-diffusion dans les populations qui n'ont d'autre choix que de l'admettre comme les moutons de Panurge.
Toutes les valeurs deviennent relatives alors pourquoi aller à l'école ?
Que sinigfie le mot "culture" de nos ministères ? Abrutire les populations pour en faire des moutons passifs irresponsabilisés de la politique ?
Voyez-vous autre chose ?
Sur un plan économique le fait a la même ampleur.
Regardez la fontaine des Girondins à Bordeaux.
Lorsqu'on regarde ce monument, une fois le moment d'émotion passé, on pense au prix de revient.
Le coût de ce monument facturé est il réellement supérieur à un bout de ci ou de ça projeté dans l'air ou laissé à pourrir au raz du sol d'un représentant de l'art dit "contemporain" ?
Regardez les ronds et les bulles qu'on nous propose en "génie" de l'art contemporain comme si la roue, l'arc, le croissant de lune, la bulle de savon, la voûte et la volute, les envolées de drapés, tout ça parfois aux couleurs irradiantes ou volontairement ternies était une invention de l'art contemporain en reproduction des gammes chromatiques architecturales crées au XX° siècle du ciment brut aux hourdis et structures richement colorées en pure expression de langages de l'art.
On se trouve coincés dans ces seules alternatives comme si ces espaces étaient devenus les seules nébuleuses possibles en expressions artistiques...bien sûr c'est tout de la redite sous un forme ou sous une autre.
C'est d'une idiotie sans nom mais ça marche.
Le monde contemporain est une poésie qui s'ignore, mais est-elle "poétique" et "contemporaine" au regard des grands poètes de la transition XIX°/XXI° qui ont véritablement travaillé l'art de la langue et du langage, de Rimbaud, Mallarmé à Courtaud, pour dépasser ces états d'images et de clichés anecdotiques.
Pierre Courtaud disait souvent "il surfile la métaphore"...
Jamais une telle expression n'a été d'une telle actualité et d'une telle acuité pour qualifier ce que les ministères téléguidés par les commerciaux et autres instrumentateurs d'économie culturelle reçoivent et nous imposent en matière d'art contemporain.
On pourrait même ajouter que c'est une "métaphore in absentia" puisque le comparé est absent lorsqu'on argumente ou qu'on "surfile" une "idée" ancienne pour en faire une "chose" contemporaine. C'est le "thème" qui est revu et masqué pour en faire un "phore" surfilé à valeur d'art contemporain. Ce qui devient une forme allégorique à valeur d'abstraction ou d'expression abstraite à partir d'une mise en oeuvre d'éléments concrets que sont les outils matière-langage (peinture, ferraille, etc...). Mais le fond du "thème" est bien un "comparé surfilé".
Avec Borgès repris par Robbe-Grillet et Courtaud nous sommes bien dans le vecteur de l'art du faux du XX° siècle (peut-être sans oublier l'œuvre poétique imitative de l'antiquité de Pierre Louÿs) aux incidences d'art officiel contemporain dans ces premières décennies du XXI° siècle.
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Pour un retour en lien
Bonnes lectures et bon voyage dans les merveilles de l'art, le plus souvent totalement inédites et toujours parfaitement originales à l'auteur de ce blog.
Sommaire/Editorial
Des poèmes sur la Riviera aux couleurs des Mots d'Azur : suite des rencontres maralpines de poésie
Festival du Livre à Mouans-Sartoux avec les Mots d'Azur
Festival du Livre à Mouans-Sartoux - 7-8-9 octobre 2016 - avec Les Mots d'Azur
Marie Gay - Pierre-Jean Blazy - Auteurs et Editions - Fondateurs des Mots d'Azur - Marie Gay -
http://coureur2.blogspot.fr/2016/03/marie-gay-pierre-jean-blazy-auteurs-et.html
Renata - Pierre Cardin - Lacoste - Moulin de Sade - Lubéron 2015
Renata - Akira Murata - Espace Auguste Renoir à Essoyes
Renata chez Pierre Cardin - Le regard de Lydia Harambourg Historienne et critiques d'art, correspndans de 'Institut des Beaux Arts de l'Académie de France
Claude Peynaud - Clichés et antithèses...
Claude Peynaud - Jogging - Méthode d'élaboration d'un Jogging
Claude Peynaud - Le cercle des oiseaux
Claude Peynaud - Le don de l'aïeule
Claude Peynaud - Une théorie de Construction
Danielle Benitsa Chaminant - Artiste et mémoire de...
Alliot - Vincent Alliot - Visite d'atelier
Rémy Pénard - Art et souvenirs autour de Pierre Courtaud
Henry Chopin et la bibliothèque de Valérie Peynaud
Sally Ducrow l'année 2018 - en suivant le chemin de l'aventure internationale de Sally Ducrow
Pierre Marchetti magazine...
La pochade - Pierre Marchetti et l'art de la pochade.
H.Wood - un peintre Anglais à Paris au milieu du XIX° siècle
Nus 2014-2015
https://coureur2.blogspot.fr/2014/09/nus-2014-2015-abac-modeles-vivants-nus.html
Nus 2013-2014
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Et pour ceux et celles qui aiment l'archéologie et l'architecture
1° partie - Archéologie Médiévale - Aspects et singularités du château en France à la fin du Moyen Âge (XV° et XVI° siècles)
2° partie - Archéologie Médiévale - Aspects et singularités du château en France à la fin du Moyen Âge (XV° et XVI° siècles)
Yviers/Charente - Archéologie médiévale - Une synthèse sur l'évolution architecturale du XV° au XVI° et XVII° s. en France - Mutations des donjons et maisons-tours des petits châteaux de la fin de la Guerre de Cent-Ans vers les donjons résidentiels de la fin du XV° siècle au XVI° siècle et des incidences dans le classicisme français.
https://coureur2.blogspot.fr/2018/04/yvierscharente-archeologie-medievale.html
Allemans en Périgord - Manoir du lau - Archéologie Médiévale
https://coureur2.blogspot.com/2018/09/allemans-en-perigord-manoir-du-lau.html
Fonctions religieuses apotropaïques et traditions funéraires en France -
Pour ceux qui aiment l'iconologie, et l'iconographie
La Véronique - Image ou non de la représentation
Fête de la musique à Nice - Place Garibaldi à Nice - Exposition d'artistes Polonais
La Mourachonne à Pégomas (exercice de recherche iconographique)
Rencontres maralpines de Poésie - Mots d'Azur 2015-2016
Des poèmes sur la Riviera aux couleurs des Mots d'Azur : suite des rencontres maralpines de poésie 2016-2017
Pierre Courtaud - Magazine - Un écrivain, un éditeur un poète, un chercheur en écritures - Un spécialiste de nombreux auteurs.
Henry Chopin et la bibliothèque de Valérie Peynaud
Cannes -1° nuit de la poésie et de la musique au Suquet - 21 juin 2014
3° nuit de la poésie et de la musique au Suquet- Cannes Moulin Forville le 21 juin 2016
Les routards de la baie d'Halong dans la tourmente https://coureur2.blogspot.fr/2013/10/les-routards-de-la-baie-dhalong-dans-la.html
Vietnam - La légende du Dieu des montagnes et du Dieu de la mer
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ques articles sur les 143 de ce blog, qui présentent des œuvres, des approches d’œuvres et des artistes
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C'est aussi un blog d'informations, de culture et de voyages
Sommaire/Editorial
(le blog est sous copyright)
Les Mots d'Azur au château de Mouans-Sartoux - Saison 2017-2018
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Les mots d'azur au printemps des muses - suite 2016/2017 des soirées au Château de Mouans-Sartoux
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Des poèmes sur la Riviera aux couleurs des Mots d'Azur : suite des rencontres maralpines de poésie
saison 2016-2017
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Festival du Livre à Mouans-Sartoux avec les Mots d'Azur
- 6-7-8 octobre 2017
https://coureur2.blogspot.fr/2017/10/festival-du-livre-de-mouans-sartoux.htmlFestival du Livre à Mouans-Sartoux - 7-8-9 octobre 2016 - avec Les Mots d'Azur
http://coureur2.blogspot.fr/2016/10/festival-du-livre-de-mouans-sartoux-7-8.html
Rencontres maralpines de Poésie - Mots d'Azur 2015-2016
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Marie Gay - Pierre-Jean Blazy - Auteurs et Editions - Fondateurs des Mots d'Azur - Marie Gay -
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Psychiatrie - Une histoire et des concepts - l'humain et l'art en enjeux
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Des poèmes sur la Riviera aux couleurs des Mots d'Azur : suite des rencontres maralpines de poésie
saison 2016-2017
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Jean-Marie Bouet - Fresselines/Larzac - de la poésie aux planches au festival de Fresselines, au Larzac
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Renata- Sculpture contemporaine
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Renata - Pierre Cardin - Lacoste - Moulin de Sade - Lubéron 2015
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Renata - Akira Murata - Espace Auguste Renoir à Essoyes
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Renata chez Pierre Cardin - Le regard de Lydia Harambourg Historienne et critiques d'art, correspndans de 'Institut des Beaux Arts de l'Académie de France
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Mag-Bert ou la peinture mnémonique de gestualité figurative
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Claude Peynaud - Clichés et antithèses...
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Claude Peynaud - Jogging - Méthode d'élaboration d'un Jogging
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Claude Peynaud - Le don de l'aïeule
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Danielle Benitsa Chaminant - Artiste et mémoire de...
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Alliot - Vincent Alliot - Visite d'atelier
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Rémy Pénard - Art et souvenirs autour de Pierre Courtaud
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Henry Chopin et la bibliothèque de Valérie Peynaud
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Sally Ducrow - Land Art et sculpteur ...
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Sally Ducrow l'année 2017 - Nationale et internationale - Sculptures - Land-Art - Installatons - Performances...
https://coureur2.blogspot.fr/2017/08/sally-ducrow-lannee-2017-nationale-et.htmlSally Ducrow l'année 2018 - en suivant le chemin de l'aventure internationale de Sally Ducrow
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CREPS - Boulouris-Saint-Raphaël - Land Art - Sally Ducrow invitée d'honneur
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Sally Ducrow : poésie plastique contemporaine
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Valbonne - Echiquier et Mots d'Azur - Fest'in Val - Festival international de Valbonne
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Pierre Marchetti magazine...
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La pochade - Pierre Marchetti et l'art de la pochade.
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L'impressionnisme tardif par les souvenirs de Pierre Teillet - Du plainarisme romantique au
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Alliance Française - Tiffani Taylor - Savannah Art Walk - ...
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H.Wood - un peintre Anglais à Paris au milieu du XIX° siècle
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Sophie Marty Huguenin, sculpteur et le marché de Noël à Biot - Les crèches de Cannes - Le partage du pain du père Guy Gilbert
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Evolution de la gravure à Venise et en Europe du XV° au XVI° siècles - Histoire et techniques
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Aux aurores de la peinture moderne et contemporaine occidentale - Giorgione - Les Trois Philisophes
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La décoration intérieure ou la démocratie de l'art
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Magda Igyarto - Vibrations et expériences de la matière : du visible à l'indicible et de l'indécible au dicible - Peintre, poète et sculpteur
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Pour ceux qui aiment jouer aux experts
Vrai ou faux - Houdon ou Houdon
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Vrai ou faux - Un tableau inconnu de la Renaissance
https://coureur2.blogspot.fr/2013/01/un-tableau-inconnu-de-la-renaissance.html
Vrai ou faux - Traduction originale du manuscrit de Qumram sur la mer morte ( en cours)
https://coureur2.blogspot.fr/2015/01/vrai-ou-faux-traduction-originale-du.html
Vrai ou faux - Un tableau inconnu de la Renaissance
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Pour ceux qui aiment la recherche en académies de nus - modèles vivants
Nus 2015
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Nus 2013-2014
https://coureur2.blogspot.fr/2013/09/nus-2012-2013-abac-nus-2012-2013-2012.html
Nus 2012-2013
https://coureur2.blogspot.fr/2012/10/nus-abac-20122013-associations-des.htmlEt pour ceux et celles qui aiment l'archéologie et l'architecture
voici encore un échantillon de mes recherches sur ce blog
And for those who love archeology and architecture
Here again a sample of my research on this blog
L'ancienne église Saint-Nicolas de Monaco
http://coureur2.blogspot.fr/2012/01/monaco-ancienne-eglise-saint-Nicolas-le.html
Techniques et vocabulaires de l'art de la façade peinte
http://coureur2.blogspot.fr/2012/08/un-tour-dans-le-massif-central.html
Les Vecteurs Impériaux de la polychromie occidentale
http://coureur2.blogspot.fr/2012/06/philippines-les-Vecteurs-imperiaux-de.html
Le clocher des Frères Perret à Saint-Vaury
http://coureur2.blogspot.fr/2012/01/perret-freres-le-clocher-des-freres_10.html
Histoire de la Principauté de Monaco
http://coureur2.blogspot.fr/2012/07/histoire-de-la-principaute-de-monaco.html
Le Palais Princier de Monaco
http://coureur2.blogspot.fr/2012/09/palais-princier-de-Monaco-palais-of.html
Versailles - Monaco - Carnolès - Menton: présence de l'art français en Principauté de Monaco
http://coureur2.blogspot.fr/2012/09/versaillesmonaco-larchitecture.html
Primitifs Niçois - Les chapelles peintes des Alpes Maritimes
http://coureur2.blogspot.fr/2012/03/primitis-nicois-les-Chapelles-facades.html
Eglises du sud-ouest de la France A travers l'art de la polychromie architecturale
http://coureur2.blogspot.fr/2013/02/eglises-du-Sud-Ouest-des-alpes-alpes.html
Des cérémonies et des fêtes Autour de Saint-Nicolas de Monaco
http://coureur2.blogspot.fr/2013/09/des-cérémonies-et-des-fêtes-Autour-de.html
Langages de l'art contemporain - répétition, bifurcation, ...
http://coureur2.blogspot.fr/2013/09/repetition-ordinaire-bifurcation-art-du.html
La polychromie architecturale et l'art de la façade peinte (1° partie) - des édifices civils dans les Alpes-Maritimes
http://coureur2.blogspot.fr/2014/07/la-polychromie-architecturale-et-lart.html
Façades peintes - édifices civils du sud-ouest des Alpes - 2° partie - XX° siècle
http://coureur2.blogspot.fr/2015/01/facades-peintes-edifices-civils-du-sud.html
Aspects de l'évolution des seigneuries historiques de la Principauté de Monaco à travers quelques
exemples d'architectures polychromes ponctuelles.
http://coureur2.blogspot.fr/2016/01/aspects-de-levolution-des-seigneuries.html
Châteaux de la Creuse - de la fin du moyen âge - XV et XVI° siècle
http://coureur2.blogspot.fr/2011/09/une-histoire-de-lescalier-en-vis.html
1° partie - Archéologie Médiévale - Aspects et singularités du château en France à la fin du Moyen Âge (XV° et XVI° siècles)
http://coureur2.blogspot.fr/2013/10/archeologie-medievale-aspects-et.html
2° partie - Archéologie Médiévale - Aspects et singularités du château en France à la fin du Moyen Âge (XV° et XVI° siècles)
http://coureur2.blogspot.fr/2014/11/2-partie-archeologie-medievale-aspects.html
3° partie - suite des parties 2 et 3 d'Archéologie Médiévale consacrées aux aspects et singularités du château en France autour des XV° au XVI° siècles
http://coureur2.blogspot.fr/2016/04/3-partie-suite-des-parties-parties-1-et.html
https://coureur2.blogspot.fr/2018/04/yvierscharente-archeologie-medievale.html
Allemans en Périgord - Manoir du lau - Archéologie Médiévale
https://coureur2.blogspot.com/2018/09/allemans-en-perigord-manoir-du-lau.html
Fonctions religieuses apotropaïques et traditions funéraires en France -
http://coureur2.blogspot.fr/2015/08/fonctions-religieuses-apotropaiques-et.html
Maisons alpines d'économie rurale (Alpes-Maritimes)
https://coureur2.blogspot.com/2011/11/maisons-alpines-deconomie-rurale.htmlPour ceux qui aiment l'iconologie, et l'iconographie
For those who like iconology, and inconography
Autour du rocaille. Dessin préparatoire d'étude - Le jugement de Pâris
https://coureur2.blogspot.com/2011/07/dessin-preparatoire-pour-une.html
La Véronique - Image ou non de la représentation
http://coureur2.blogspot.fr/2012/12/la-veronique-de-la-legende-lart.html
Langages de l'art contemporain - Répétition ordinaire - Bifurcations - Translation...
https://coureur2.blogspot.fr/2013/09/repetition-ordinaire-bifurcation-art-du.html
Fête de la musique à Nice - Place Garibaldi à Nice - Exposition d'artistes Polonais
https://coureur2.blogspot.fr/2013/07/la-fete-de-la-musique-expositions.html
La Mourachonne à Pégomas (exercice de recherche iconographique)
https://coureur2.blogspot.fr/2012/05/la-mourachone-pegomas-nouvelles.html
Cannes en 4 perspectives albertiennes recomposées - dessin panoramique à la mine de plomb
https://coureur2.blogspot.fr/2018/02/cannes-en-4-perspectives-albertiennes.html
Pour ceux qui aiment la poésie et qui en plus, comme moi, la reconnaisse comme la mère de tous les arts y compris de l'art contemporain
For those who love poetry and more, as I recognize it as the mother of all arts including contemporary art
Rencontres maralpines de Poésie - Mots d'Azur 2015-2016
http://coureur2.blogspot.fr/2015/09/rencontres-maralpines-de-poesie-et.html
Des poèmes sur la Riviera aux couleurs des Mots d'Azur : suite des rencontres maralpines de poésie 2016-2017
http://coureur2.blogspot.fr/2016/09/des-poemes-sur-la-riviera-aux-couleurs.html
Pierre Courtaud - Magazine - Un écrivain, un éditeur un poète, un chercheur en écritures - Un spécialiste de nombreux auteurs.
http://coureur2.blogspot.fr/2012/03/pierre-courtaud-magazine-un-ecrivain-un.html
Henry Chopin et la bibliothèque de Valérie Peynaud
http://coureur2.blogspot.fr/2013/12/henri-chopin-et-la-bibliotheque-de.html
Cannes -1° nuit de la poésie et de la musique au Suquet - 21 juin 2014
http://coureur2.blogspot.fr/2014/06/cannes-1-nuit-de-la-poesiefete-de-la.html
2° nuit de la musique et de la poésie - Cannes 21 juin 2015
http://coureur2.blogspot.fr/2015/05/2-nuit-de-la-poesie-et-de-la-musique-au.html
3° nuit de la poésie et de la musique au Suquet- Cannes Moulin Forville le 21 juin 2016
http://coureur2.blogspot.fr/2016/06/3-nuit-de-la-poesie-et-de-la-musique-du.html
Golf-Juan - Performance poétique - Brigitte Broc - Cyril Cianciolo
http://coureur2.blogspot.fr/2015/03/golf-juan-performance-poetique-brigitte.html
Marie Gay - Pierre-Jean Blazy - Auteurs et Edition(s) - Fondateurs des Mots d'Azur
http://coureur2.blogspot.fr/2016/03/marie-gay-pierre-jean-blazy-auteurs-et.html
De Vallauris à Cannes - Le Printemps des Poètes sur la Côte d'Azur avec Les Mots d'Azur
http://coureur2.blogspot.fr/2016/03/de-vallauris-cannes-la-cote-dazur-en.html
Christophe Forgeot : Poète - Poésie - Poème
http://coureur2.blogspot.fr/2014/09/christophe-forgeot-un-poete.html
Zorica Sentic - Poète-romancière Franco-Serbe
https://coureur2.blogspot.fr/2012/09/zorica-sentic-poete-romancier.html
La Corse des poètes
https://coureur2.blogspot.fr/2015/08/la-corse-des-poetes-porticcio-village.html
Magda Igyarto - Vibrations et expériences de la matière : du visible à l'indicible et de l'indécible au dicible - Peintre, poète et sculpteur
https://coureur2.blogspot.fr/2018/01/magda-igyarto-vibrations-et-experiences.html
Pour ceux qui aiment les légendes
For those who love legends
The Woodcutter and the Revenant - Sedimentary Memory - Essay - Creuse
Http://coureur2.blogspot.fr/2013/07/la-creuse-memoire-sedimentaire.html
La Creuse - Le Bûcheron et le Revenant - Mémoire sédimentaire - Essai - Creuse
http://coureur2.blogspot.fr/2013/07/la-creuse-memoire-sedimentaire.html
Les routards de la baie d'Halong dans la tourmente https://coureur2.blogspot.fr/2013/10/les-routards-de-la-baie-dhalong-dans-la.html
Vietnam - La légende du Dieu des montagnes et du Dieu de la mer
https://coureur2.blogspot.fr/2014/05/vietnam-la-legende-du-dieu-des.html
Pour ceux qui aiment les voitures de collection
Vis-à-vis de Dion-Bouton type E 452 - La voiture emmurée aux enchères à Lyon
https://coureur2.blogspot.fr/2015/09/1900-vis-vis-de-dion-bouton-type-e-452.html
Pour ceux qui aiment les voitures de collection
Vis-à-vis de Dion-Bouton type E 452 - La voiture emmurée aux enchères à Lyon
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Pour ceux qui aiment l'art lyrique et la musique
Johanna Coutaud (prochainement)
Chanteuse lyrique - Soprano
Elzbieta Dedek - Pianiste virtuose internationale
http://coureur2.blogspot.fr/2016/09/pianiste-virtuose-internationale.html
Pour ceux qui aiment le cinéma
68° festival du cinéma - Alexandra Robin - Léopold Bellanger - Cédric Bouet
http://coureur2.blogspot.fr/2015/05/68-festival-cinema-cannes-2015.html
Pour ceux qui aiment la danse
48° Congrès Mondial de la Recherche en Danse - Avignon du 9 au 13 novembre 2016 - Fabienne Courmont présidente - UNESCO-CID partenaires
http://coureur2.blogspot.fr/2016/11/48-congres-mondial-de-recherche-en.html
Festival d'Avignon à Mouans-Sartoux - Danser Baudelaire - Bruno Niver - Marina Sosnina - Répétition générale
https://coureur2.blogspot.fr/2015/02/du-festival-davignon-mouans-sartoux.html
Pour ceux qui aiment s'habiller et sortir
Eliane Horville - soirées - ville - élégance - conseils - coach
https://coureur2.blogspot.fr/2016/01/soirees-ville-elegance-every-wear.html
Sortir - Manifestations -Performances - Expositions...2012/2017
https://coureur2.blogspot.fr/2013/02/evenements-expositions-manifestations.html
Pour des participations citoyennes
Ordre national infirmier - Recommandations sanitaires
http://coureur2.blogspot.fr/2017/06/ordre-national-infirmier-recommandations.html
Pour ceux qui aiment les multiples beautés de la France
Les oliviers fantastiques de Lucette
https://coureur2.blogspot.fr/2012/10/les-oliviers-fantastiques-de-lucette.html
Carnet de voyage - Ombres et Lumières - L'eau et les Sables, architectures de villégiatures
https://coureur2.blogspot.fr/2014/01/ombres-et-lumieres-leau-et-les-sables.html
2 - La France en vrac
https://coureur2.blogspot.fr/2014/10/visiteurs-des-pages-pour-voir-le-site.html
1 - CP La France en vrac 1
https://coureur2.blogspot.fr/2014/01/la-france-en-vrac-france-in-bulk-franca.html
http://coureur2.blogspot.fr/2017/06/ordre-national-infirmier-recommandations.html
Pour ceux qui aiment les multiples beautés de la France
Les oliviers fantastiques de Lucette
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Carnet de voyage - Ombres et Lumières - L'eau et les Sables, architectures de villégiatures
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2 - La France en vrac
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1 - CP La France en vrac 1
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