Le site complet compte à ce jour 145 articles : il est à votre disposition. Toutes les pages sont issues de mes recherches personnelles et universitaires. Les emprunts à des auteurs sont signalées et il n'y a aucun élément qui tombe sous le coup de la protection des données des lois européennes sans compter que je respecte avant tout la tradition de libertés et de démocratie de la république française. En tant que citoyen français je me conforme à la législation française. Toutes les photos publiées l'ont été avec l'accord des personnes à la date de leurs publications. Ces pages ainsi que tous les documents produits sont assujettis à Copyright et droits d'auteur. Il n'y a aucune raison commerciale, ni déclarée ni cachée, pour la construction de ce blog. Vous pouvez aussi aller sur le moteur de recherche à droite de votre écran sur cette page. Vous pouvez rechercher tout ce qui vous intéresse, du dessin à la peinture, à l'archéologie, à l'architecture, à la poésie, à la sculpture, aux pages magazines, pour votre stricte curiosité ou culture personnelle, et pour toute autre action ne débordant pas le cadre strict de la consultation. Pour les universitaires qui voudraient produire certains de ces travaux, me contacter sur la partie "blogger" en bas de page, en me laissant votre adresse courriel de messagerie. Pour clarifier mes compétences professionnelles, voici le panorama de mes formations. Lycée technique, mécanique, où j'ai appris le dessin industriel que j'ai par la suite appliqué au dessin d'architecture de relevés archéologiques appris à l'université de Poitiers. Formation militaire BMP1 (engagé trois ans dans les Commandos Troupes de Marine - 22° RIMA puis 1° BPCS - Importante formation à la topographie si utile pour mes recherches archéologiques) - Formation d'Infirmier du Secteur Psychiatrique en 28 mois, IDE par Réforme Hospitalière - Nombreux travaux et nombreuses formations avec des maîtres de la peinture (lithographie, gravure, peinture,...) et de la littérature contemporaine. Doctorat Lettres et Arts (mention Très Honorable avec Félicitations), Histoire de l'Art et Archéologie, Université de Provence Centre d'Aix à partir d'autres formations de ce cycle à l'Université de Tours (2 ans - Centre d'Etudes Supérieures de la Renaissance), de l'Université de Poitiers (2 ans - Centre d'Etudes Supérieures de Civilisation Médiévale), et deux ans de formation en lettres à l'université de Nice, et stages divers - Diplôme Inter-Universitaire de la Faculté de Médecine de Lille, "La Santé Mentale dans la Communauté" en lien avec l'OMS/CCOMS. Sur Google "Les budgets aidants..".http://www.ccomssantementalelillefrance.org/sites/ccoms.org/files/Memoire-Peynaud.pdf. J'exerce au C.H.Cannes en tant que coordinateur/responsable des Ateliers Thérapeutiques-Psychothérapie Institutionnelle du Pôle Santé Mentale en Intra Hospitalier). Au printemps 2017 j'ai été également élu au Conseil de l'Ordre Infirmier des Alpes-MarItimes. Depuis le 1° avril 2018 je suis en retraite.
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Clichés
est généralement le synonyme du négatif d'une photographie.
Le mot connaît une telle extension, gagne grand nombre de langues, qu'on le connaît parfois mieux par certains de ses synonymes que par lui-même.
En voici 10 autres
Lieu, lieu commun, banalité, image, poncif, contretype, stéréotype, photo, épreuve, banalité.
Plus je travaille en recherche et plus je me pose des questions sur le fondement de l'idée à une époque où il est de bon ton de reprendre les revues du marché de l'art pour construire un appareil scientifique de pas grand chose en vérité mais qui entre maintenant dans les concepts d'art enseignés en université sous le socle du label d'Art Conceptuel pouvant transiter par l'héritage de Fluxus jamais reconnu en mouvement de l'art contemporain : c'est étrange un enseignement de très haut niveau qui n'enseigne plus rien !
Dada avait écrit "on ne veut plus rien, rien, rien" et bien ma fois nous n'en sommes pas loin. Mais après le rien, après le vide, après avoir "creusé le vide" pour reprendre une expression chère à Pierre Courtaud, après avoir peint le vide tel Jean-Paul Sartre questionnant Alberto Giacometti, où allons nous ? Il est vrai que Flaubert avait énoncé que l'art est la poursuite de l'inutile.Mais voilà, en creusant le vide on n'atteint pas forcément au néant et en poursuivant l'inutile on touche souvent au nécessaire.Voici bien ces clichés sur lesquels je voudrais travailler après avoir commencé à questionner l'art du faux contemporain, parallèlement à la mimésis antique, avec mes Joggings.(voir sur ce blog "Jogging - Méthode d'élaboration d'un Jogging" http://coureur2.blogspot.fr/2014/05/methode-delaboration-dun-jogging-method.htmlMois de mai 2014)Je repars alors sur mes propres travaux, comme si je faisais une exposition de mes modestes images conçues et élaborées dans le silence et la solitude, loin du fracas du commerce de la culture et de l'art : deux univers que je fuis de plus en plus car ils ne m'apportent plus rien, rien, rien, sinon des redites, sous un forme ou sous une autre mais des redites... Il y a bien quelques artistes auxquels je m'attache mais ils font partie de ce silence, de ce souffle... Je me retrouve un peu dans Saint-Jérôme au désert...
Tous les dessins que je vais vous présenter ont tous été élaborés sur chacun une seule séance de l'atelier de nus que j'anime chaque lundi soir à Cannes, de septembre à juin, depuis 2011.C'est en les reprenant récemment chez moi que je me rends compte que je n'ai, en fait, jamais cessé de peindre car ces dessins de l'atelier de nus sont des maquettes pour des clichés et je les avais déjà élaborés, inconsciemment, bien avant de les avoir projetés sur le papier : là est cet étrange paradoxe que je découvre avec ces négatifs. Ce sont bien d'authentiques clichés traités pour la couleur et l'analogie dans ce rapport de l'idée à l'art.Et si "cliché" il y a c'est bien avec ce dessin retravaillé en couleur pour une expression noire de peau. Je n'en suis qu'au début de la mise à jour de ces dessins fort nombreux et que j'ai failli jeter car ils m'encombrent. Et puis à travers un projet j'ai pensé que je pouvais en faire quelque chose, ces riens qui se révèlent des ensembles complets, essentiels.Rêve et recherche de l'idée, de son fondement à travers le passage dans le réel par l'image qui nous rend l'idée visible, palpable, critiquable, discutable, idée qu'on s'approprie ou qu'on rejette, idée en somme...
RÊVE MONUMENTAL
Comme cette reine qui rêve à travers sa fenêtre de chambre de bonne ou d'une case, de palais et de carrosses, d'héros et de conquêtes, se hissant sur les vestiges d'une musique au chant primitif déjà foulé du pied, rejet des idées usées, désormais inutiles...sauf pour se hisser à la hauteur du rêve, de l'objectif onirique de l'idée à la pensée.Un monde intérieur vu depuis l'extérieur, paradoxal.
En voici 10 autres
Lieu, lieu commun, banalité, image, poncif, contretype, stéréotype, photo, épreuve, banalité.
Plus je travaille en recherche et plus je me pose des questions sur le fondement de l'idée à une époque où il est de bon ton de reprendre les revues du marché de l'art pour construire un appareil scientifique de pas grand chose en vérité mais qui entre maintenant dans les concepts d'art enseignés en université sous le socle du label d'Art Conceptuel pouvant transiter par l'héritage de Fluxus jamais reconnu en mouvement de l'art contemporain : c'est étrange un enseignement de très haut niveau qui n'enseigne plus rien !
Dada avait écrit "on ne veut plus rien, rien, rien" et bien ma fois nous n'en sommes pas loin. Mais après le rien, après le vide, après avoir "creusé le vide" pour reprendre une expression chère à Pierre Courtaud, après avoir peint le vide tel Jean-Paul Sartre questionnant Alberto Giacometti, où allons nous ? Il est vrai que Flaubert avait énoncé que l'art est la poursuite de l'inutile.Mais voilà, en creusant le vide on n'atteint pas forcément au néant et en poursuivant l'inutile on touche souvent au nécessaire.Voici bien ces clichés sur lesquels je voudrais travailler après avoir commencé à questionner l'art du faux contemporain, parallèlement à la mimésis antique, avec mes Joggings.(voir sur ce blog "Jogging - Méthode d'élaboration d'un Jogging" http://coureur2.blogspot.fr/2014/05/methode-delaboration-dun-jogging-method.htmlMois de mai 2014)Je repars alors sur mes propres travaux, comme si je faisais une exposition de mes modestes images conçues et élaborées dans le silence et la solitude, loin du fracas du commerce de la culture et de l'art : deux univers que je fuis de plus en plus car ils ne m'apportent plus rien, rien, rien, sinon des redites, sous un forme ou sous une autre mais des redites... Il y a bien quelques artistes auxquels je m'attache mais ils font partie de ce silence, de ce souffle... Je me retrouve un peu dans Saint-Jérôme au désert...
Tous les dessins que je vais vous présenter ont tous été élaborés sur chacun une seule séance de l'atelier de nus que j'anime chaque lundi soir à Cannes, de septembre à juin, depuis 2011.C'est en les reprenant récemment chez moi que je me rends compte que je n'ai, en fait, jamais cessé de peindre car ces dessins de l'atelier de nus sont des maquettes pour des clichés et je les avais déjà élaborés, inconsciemment, bien avant de les avoir projetés sur le papier : là est cet étrange paradoxe que je découvre avec ces négatifs. Ce sont bien d'authentiques clichés traités pour la couleur et l'analogie dans ce rapport de l'idée à l'art.Et si "cliché" il y a c'est bien avec ce dessin retravaillé en couleur pour une expression noire de peau. Je n'en suis qu'au début de la mise à jour de ces dessins fort nombreux et que j'ai failli jeter car ils m'encombrent. Et puis à travers un projet j'ai pensé que je pouvais en faire quelque chose, ces riens qui se révèlent des ensembles complets, essentiels.Rêve et recherche de l'idée, de son fondement à travers le passage dans le réel par l'image qui nous rend l'idée visible, palpable, critiquable, discutable, idée qu'on s'approprie ou qu'on rejette, idée en somme...
RÊVE MONUMENTAL
Comme cette reine qui rêve à travers sa fenêtre de chambre de bonne ou d'une case, de palais et de carrosses, d'héros et de conquêtes, se hissant sur les vestiges d'une musique au chant primitif déjà foulé du pied, rejet des idées usées, désormais inutiles...sauf pour se hisser à la hauteur du rêve, de l'objectif onirique de l'idée à la pensée.Un monde intérieur vu depuis l'extérieur, paradoxal.
Cliché dans son cadre, ou sans cadre, quelle dimension donner au rêve ou à l'absence ?
Les guerriers comme des objets souffrants et agissants, mobilier du prochain tableau qu'on mettra en ordre de bataille pour construire une ou plusieurs aventures du réel imaginé.Réel imaginé dans un poudrier.A qui, à quoi, pour qui, pour quoi, une femme se poudre t-elle le nez ?Cet outil tellement essentiel dans l'image d'une femme qui se transforme par le reflet de son visage et de ses penséesQuand le fermoir est brisé que devient le rêve de la belle qui a posé l'écrin de ses désirs dans celui très secret de sa beauté recomposée ?Qu'y a t-il de plus érotique qu'un poudrier nacré qu'une femme ouvre et ferme en s'offrant et en se dérobant tout à la fois au regard de l'autre ?Poudre et miroirsous une lampe du soir qui transforme une nouvelle fois l'image de celle qui arrive au bout du jour
ou à la fin de sa vie lorsque tout à coup les compagnes sont à la fois les Parques et les Faucheuses.
Arrivé à ce stade de l'expérience je vois parvenir jusqu'à moi d'autres bifurcations et interprétations à la lecture des mes images. En conséquence je donne un passage de l'introduction de Jean Molino à la publication en 1989 aux éditions telgallimard de "idea" d'Erwin Panofsky (p.5 et suivantes L'oeuvre et l'idée) [J'amène entre crochets des observations liées à ma vie dans les arts pour éclairer les points de vues critiques avec lesquels j'aborde ce thème par mes expériences en passage de l'idée dans le réel, voisinant peut-être avec à une conception plus ou moins Hégélienne de l'art, comme on le verra à la fin de cette citation] : "Panofsky est l'héritier de ces diverses traditions dont il convient de mentionner - de façon approximative et rapide - les principales pour comprendre quel haut degré d'exigence manifestait l'histoire de l'art dans l'Allemagne de ce début de siècle [le XX° s.]. Une première tradition explique sans doute le sérieux avec lequel tout le monde se préoccupe de l'art : aucun esthétisme ici, car l'art est conçu comme une activité créatrice autonome, fondée sur la nature même de l'homme. Kant, dans sa critique de la Faculté de Juger, a reconnu à l'expérience du Beau et du Sublime une place incomparable à celle où se situent l'activité théorique et l'action morale et, dans le sillage de Schiller, se constitue une espèce de Koiné philosophique au sujet de l'art. L'état esthétique est en même temps vie harmonieuse et faculté de se déterminer librement et il est inséparable de l'instinct de jeu, dans lequel se fondent instinct sensible et instinct formel ; la création artistique apparaît donc comme un jeu esthétique, dans lequel l'imagination crée des formes libres et intelligibles sous la conduite de l'esprit autonome comme législateur. Deux principes de cette conception se retrouvent clairement dans Idéa : le principe de Génie, comme créateur de règles, et le principe de l'art, comme conciliation du sujet et de l'objet.
Sur et arrière-fond philosophique, se détache, à la fin du siècle, une seconde tradition, elle aussi plus ou moins dérivée de la troisième critique de Kant, la tradition formaliste qui, par Herbert et Zimmermann, conduit à Fiedler, Hildebrand, Riegl et Wölfflin [dans le développement de la présentation de mes expériences en atelier de nus reprises à la maison, on trouvera des essais directement en lien avec les approches des volumes et de la lumière de H.Wolfflin, Renaissance und Barock. Bâle, 1961 - Traduction française de Guy Ballangé - Paris 1967]...il s'agit de rendre compte de la contemplation esthétique par des catégories empruntées à l'activité de l'esprit comme producteur de schèmes visuels qui forment la perception de l'oeuvre artistique [Cet item est très important dans la production et la réception des arts singuliers. Si on dépasse la cadre de la rémission de la pathologie qui a entraîné vers des classements en arts singuliers on retourne en amont à l'art projeté en situation de phase de la maladie et de la pleine expression des schèmes liés à la pathologie mentale spécifique : en exemple l’œil chez une personne sujette à la psychose. La question qui se pose c'est la pertinence de la réception de ces thèmes récurrents dans le monde de l'art, au sein d'une oeuvre reconnue ou inconnue, car effectivement qu'est-ce que la créativité quand elle n'est que répétition ordinaire de schèmes pathologiques, que ces schèmes soient exprimés ou non de façons différentes d'une personne à l'autre au sein du jeu identitaire de la personne non confondue avec sa pathologie. De l'idée on passe spontanément à la psyché et à ses troubles]...elles permettent d'analyser une oeuvre indépendamment de son contenu, de son sujet [dans cet ordre d'esprit on connaît hélas que trop les dégâts créés par la sémiologie des images et des apprentis sorciers aux articles publiés par les laboratoires. Car pour en arriver à comprendre que "les images sont des représentation abstractives de la réalité" (Paul R. Wendt) encore faut-il comprendre où se situe l'abstraction dans la création des images et de quelle réalité on parle. Si on prend la fameuse image de Magritte "ceci n'est pas une pipe" effectivement c'est une peinture, une image, donc c'est une représentation sans sa fonction et à partir de là la bifurcation vers l'objet d'art qui n'est pas une pipe et qui ne le sera jamais - cette poursuite de l'inutile de Flaubert - est une évidence. On retrouve là les valeurs de translation des Ready Made de Duchamp, mais plus élaborées. Pierre Courtaud avait travaillé sur ces thèmes en écritures à partir des images des catalogues Manufrance et des images qui n'ont en l'état aucune fonction autre que d'être une image, tant que le verbe n'en n'oriente pas la finalité ou que le récepteur en ait déjà orienté l'utilité par sa culture. Ce dernier aspect est bien ce qui fait blocage dans la perception de ces peintures de Magritte, en plus une pipe peut très bien être conçue comme un objet d'art et là la confusion est à son paroxysme car on reste lié à l'absence d'identification de l'objet à sa fonction à son image dans le réel ou détournée par l'artiste . Les chercheurs du XIX° siècle comme Chevreul ont clairement mis en évidence que l'abstraction préfigurait la figuration. Nous sommes alors là sur des allers et retours conceptuels qui n'éclairent ni sur les sources ni sur les objectifs, mais au contraire qui alimentent la dialectique sans qu'aucune lumière en jaillisse : ce ne sont, dans le pire des cas, que des jeux de mots (le rôle du "Jeu/Je/JE est un autre d'Arthur Rimbaud) frictionnant avec d'autres mots et images mentales, inconscientes, abstraites ou figuratives, pour reprendre encore un des multiples thèmes de recherches de Pierre Courtaud travaillant cette fois-ci sur les concepts de Roland Barthe (degré zéro de l'écriture - 1953) en parallèle avec la poésie rimbaldienne] ; elles constituent des schèmes "à priori ", fondés sur la nature même de l'activité perceptive de l'espèce humaine , et permettent de ramener l'histoire des formes artistiques à une dialectique de catégories à valeurs universelles...[...]...
Un troisième courant mène, si l'on veut de Hegel à Burckhardt, le trait commun étant, malgré toutes les différences, dans la volonté de déceler, dans toutes les productions contemporaines d'une culture, une unité organique , et de ramener l'ensemble à un petit nombre de principes formant système : c'est bien l'inspiration qui guide le grand ouvrage de Burckhardt, La civilisation de la Renaissance en Italie (1860). Si l'on ajoute le thème hégélien de l'art conçu comme développement formel de l'idée [qui est une part de mon axiome de départ], on est ainsi conduit à "l'histoire de l'art comme histoire de l'esprit", selon le titre du volume d'essai de M.Dvoràk publié en 1924, Kunstgeschite als Geistesgeschichte. L'art apparaît ainsi comme l'expression d'une culture et d'une vision du monde, et la démarche de l'analyse peut suivre deux directions : aller de la culture à l'oeuvre d'art où l'on retrouve son essence, ou procéder, en sens inverse, de l'oeuvre d'art à la culture, dont elle sera considérée comme un symptôme - et ce sera l'approche favorisée par Panofsky."
C'est comme dans une chambre obscure, lumière de ce qu'on projette rarement vu :
mélange sans ordre, sans logique, yeux mutilés, écran de culture, loué, souhaité, espéré, déplacé, imaginé de la rue aux désirs au fond du temple solaire, passage de la lumière du jour à celle de l'esprit éclairé par l'ombre à la nuit dans ce couloir où s'organisent les révolutions mystiques du pharaon d'Amarna à la sainte d'Avilla aux néons de Lurçat à Raysse.
: érotismes des nus dans le noir recomposé.
Monotéismes et lévitations,
Amante Noire, forclos de la lumière, poésie ratée,
rien ne change, rien ne bouge, tout disparaît
absorbé, englouti dans ce trou noir de l'univers, mouvement perpétuel de nos idées à nos images : degré zéro de l'idée à la pensée, pour l'écrivain de l'Ecriture.
Cette vérité dans ces ombres vues dans la caverne face au soleil noir, à l'étoile noire, est-elle encore source de lumière ? (Soulages, le peintre de l'abstraction projective ou concrète mécanique/manuelle/gestuelle/matière noire - ambigüité entre matière et manière pour un compte-rendu - conçoit ses vitraux en verre blanc pour l'église de Conques. L'artiste confondu avec ses paradoxes en états d'échecs. Qu'est-ce que le génie créateur impuissant à maintenir sa propre logique matérialisée d'Oeuvre ? Son parti-pris d'oeuvre ? Le partis pris de Son Oeuvre ? en phrases de translations pour une oeuvre en noir mise en échec face aux nécessités de la matérialité de la lumière dans le réel devenu à la fois support (vitrail) et environnement (espace à éclairer de l'église qui est déjà lumière de l'esprit saint ?). Qui serait elle sœur triplée d'Apollon et de sa sœur, retour à la lumière indiscrète de la lune, apollon arrêtant brusquement le char solaire dans les prairies d'Arcadie, parure en toison d'or du soleil et de la lune en modeste chandelle qui éclaire tout autant la nativité de La Tour, le petit autel d'une chapelle ouverte à Luceram, que le livre tombé des mains du monde qui s'endort dans la cosmogonie éternelle de la nuit étoilée, épiphanie des nos idées.
L'idée d'oeuvre d'art, du vitrail, rendue à la découpe de verre du supermarché.
Yves Klein recueillant pluie et étoiles sur sa page vierge dans la nuit du berceau de l'humanité.
Cosmogonie.
JE retourne aux soleils artificiels sous les lampes d'usines, vers un futur qui commence à revenir dans la profondeur de l'histoire il y a déjà moins et plus de cent ans, franchissant le seuil futuriste au coup de dés de Mallarmé à la voyelle Rimbaldienne, premières archéologies archaïques antiques de l'art international contemporain ignorant Cézanne.
Les cosmogonies d'Yves Klein me renvoient à l'image de l'Olympe.
Je m'oriente vers la fille du roi d'Argos maintenue prisonnière dans une tour d'airain.
Le roi enferma Danaé pour la protéger de l'oracle qui prédisait que son petit fils lui ravirait à la fois la vie et la couronne. Jupiter intervint sous la forme d'une pluie d'or pour féconder la jeune femme. Elle lui donnait son fils Persée qui tua la Méduse et posa sa tête sur son bouclier pour en pétrifier ses ennemis. Du sang de la Méduse naquit Pégase qui, voyant la lumière solaire, s'envola dans l'Olympe où Minerve le dompta en l'utilisant parfois pour le service de ses favoris.
Cette grande fresque érotico-guerrière et cosmique, de la terre à l'Olympe, mise en image joue sur les faux et les écarts de la mimésis
Aux zones de sensibilités immatérielles des dorures de Klein les états de faux sont sur les jaunes de l'image du blog.
L'appareil photo impuissant à rendre les trop grandes densités de jaune les transforme en dorures alors que les dorures d'un corps sont transformées en brun, le soleil n'étant qu'une raclure de couleurs sur la palette parfois mélangée au fond jaune.
La salissure est un éclat : sublime idéal de l'art sans qualité, de l'art de la fadeur, de la mauvaise peinture des année 90.
Le rayon d'or de Jupiter est lui même un rayon spermatozoïdal qui s'épanche en coulures de cette souillure salvatrice qui sortira deux fois Danaé de l'enfermement ; une fois de sa tour d'airain dont elle prend la couleur, et une autre fois d'un coffre avec son fils Persée.
Enfermement dont elle s'évadera : je vous laisse choisir l'idée des couleurs des nymphes présentes et étrangères à l'histoire confondues ou différentes, car la page en cet endroit reste blanche, une porte pour s'évader de l'enfermement de ma propre tautologie plastique constructive.
L'exercice de tautologie de l'idée érotico-guerrière est accompli mais ne résout qu'une part de l'art du faux en mimésis des idées, de celle des auteurs à la mienne, à la votre, aux rapports à la technologie contemporaine
(les lampes d'usines pour des rayons de lunes du manifeste Futuriste).
La suite de cette expérience je la positionne directement en lien avec l'atelier de nus du lundi 8 juin 2015
et avec ce nus de dos que j'ai dessiné dans la diagonale de la feuille et que je me suis proposé de colorer, acte de peindre s'il en est après un dessin.
Je détourne la page entière de ce nu dessiné de ma main et légèrement coloré à l'encre ocre jaune diluée pour le placer sur un fond que j'aurai pu peindre mais que j'ai emprunté à un fragment de mes clichés de la même soirée. J'ai réalisé une peinture composée de dessin, d'encre et de photographie mais jamais je ne pourrai présenter cette oeuvre comme une peinture, seulement en acte de peindre, à moins de présenter l'ensemble marouflé sur une toile.
Pour que cette oeuvre passe maintenant dans le réel il faut que j'en tire une photo en poster ou sur tout support pouvant être ou non encadré, en tout cas accroché dans un espace réel.
Je revendique ceci comme une oeuvre d'art à part entière, terminée, avec non plus une signature mais
un copyright pour des multiples.
A bientôt pour de nouvelles aventures et expériences
En amont d'autres travaux sur l'approche de l'idée, l'art du Faux, la mimésis,
Peintures et tableaux en Jogging N°3
http://coureur2.blogspot.fr/2012/12/jogging-n3-des-recherches-et-des.html
mois de décembre 2012
"Jogging - Méthode d'élaboration d'un Jogging" http://coureur2.blogspot.fr/2014/05/methode-delaboration-dun-jogging-method.htmlMois de mai 2014
Je reviens sur un traitement en valeurs d'un dessin, mais en multiples figures composées sur une même page lors d'une même saisie d'un même modèle sur une même séance de poses
Je reviens sur un traitement en valeurs d'un dessin, mais en multiples figures composées sur une même page lors d'une même saisie d'un même modèle sur une même séance de poses
Je compose cette image avec deux autres images saisies sur la même année de recherches, et j'obtiens en temps différé une phrase de translation des figures en ordre plastique du "un" au "multiple". Comme si un jeu inconscient était une valeur ajoutée en nombre (s), mise en jeu en recherche.
Ainsi j'ai gommé de la composition toutes les propositions sémantiques pour atteindre à une nouvelle syntaxe de la composition en translation des images.
je reprends cette expérience sur un même dessin appartenant à la même année de recherches
et je travaille sur la saisie photographique.
Le cliché ci-dessous ne représente nullement la réalité du dessin original, et j'ai beau multiplier les clichés je n'obtiens que des approches peu satisfaisantes de l'original qui ne contient pas non plus de véritable proposition sémantique : c'est simplement une expérience plastique.
Aucun de ces clichés de la composition ci-dessous ne représente donc la réalité de ce même et unique dessin sans proposition sémantique, à seule valeur de recherche de fonctionnement plastique. Aussi je compose en mode de translation trois clichés différents qui demeurent une simple approche de l'oeuvre originale unique et invisible.
La proposition sémantique si elle s'installe, selon le souhait de chaque interlocuteur, devient pur imaginaire. Toutefois sa présentation en performance ne devient possible que si j'associe l'oeuvre originale à des tirages photographiques ou si j'évacue le dessin original de la présentation au seul profit de la production des clichés composés en discours de translation : chacun ou "JE" construis mon/son propre musée imaginaire et l'oeuvre originale ne devient alors qu'un accessoire initiateur - une maquette de projet en quelque sorte - de la construction de la performance finale dans un espace réel. Réel et imaginaire se confondent en images qui combinent le monde sensible en espace onirique.
Ci dessus le travail de composition se situe au niveau de la translation verticale sur une seule image. Comme une recherche linguistique en paradigme et syntagme puisque j'induis une amorce de développement horizontal avec le nu couché souligné par une cuisse du nu assis partiellement traité en trait fort (principe de la combinaison des nus du modèle masculin juste au dessus).
Le fait de composer par l'artifice du montage numérique une telle recherche en discours de translation (horizontal) fait déraper l'idée même d'oeuvre originale sans que le "multiple" soit véritablement une appellation appropriée et sans que le contrôle réel de la phrase plastique puisse se faire au dessus de cette sorte de drapeau/Signe qui fait flotter la composition dans un espace indéfini et répétitif. Sourire frontal qui accroche ou qui fixe le regard de l'autre au moment où la composition risque s'évanouir dans la partie supérieure de l'image. Supprimons ce portrait frontal ( car il s'agit bel et bien d'un portrait que ceux qui connaissent le modèle identifieront) et nous atteignons à l'anti-image soit à une image sans proposition plastique véritable et bien sûr sans aucune parenté avec l'abstraction.
Nous avons atteint à la vacuité des propositions, également une forme de reprise du Quichotte de Borgès mais ici le faussaire est l'auteur.
Essayons maintenant de faire déraper ou de pousser dans leurs retranchements ces principes avec une image des plus conventionnelles de l'iconographie antique et classique :
Le jugement de Pâris
Ayant plusieurs ouvrages sur la mythologie Grecque et Romaine - dont le somptueux Richepin - je choisis le texte de Commelin publié en 1986 pour faire ce résumé de ce célèbre jugement."Pâris, nommé aussi Alexandre, était fils de Priam, roi de Troie, et d'Hécube. Avant sa naissance, les devins consultés, annoncèrent que l'enfant qu'on attendait causerait un jour l'embrasement de Troie. Sur cette prédiction, dès que Pâris fut né, Priam le donna à un de ses domestiques pour s'en défaire. Hécube, plus tendre, le déroba et le confia à des bergers du mont Ida, en les priant d'en avoir soin.
Bientôt le jeune pasteur se distingua de sa bonne mine, par son esprit, par son esprit et par son adresse, et se fit aider de la nymphe OEnone qu'il épousa.
Aux noces de Thétis et de Pélée, la Discorde ayant jeté sur la table la pomme d'or, avec l'inscription, "A la plus belle", Junon, Minerve et Vénus la disputèrent et demandèrent des juges. L'affaire était délicate, et Jupiter, craignant de compromettre son jugement, envoya les trois déesses, sous la conduite de Mercure, sur le mont Ida, pour y subir le jugement de Pâris.
La pomme ayant été adjugée à Vénus, Junon et Minerve, confondant leur ressentiment, jurèrent de se venger, et travaillèrent de concert à la ruine de Troie".
Je pars de cette hypothèse et je ne sais rien de ce qui se passa dans l'estimation qui aboutit au choix de Vénus, déesse qui présidait aux plaisirs de l'amour.
Il me semble alors normal que Pâris ait rencontré la déesse selon ses charmes qui, pour l'occasion de la pomme d'or, lui furent disputés par deux autres déesses, et pas des moindres.
J'ai alors imaginé trois déesses aux traits semblables sinon identiques. Comment alors choisir la plus belle quand seulement l'une d'entre elles préside aux plaisirs de l'amour ?
Il faut donc que les vertus amoureuses de Vénus aient été éprouvées par le jeune homme pour qu'il la déclare la plus belle, soit la "meilleure". Si elle est "la meilleure" c'est donc qu'il l'a "essayée" mais aussi qu'ensuite ou avant ou pendant qu' il ait également essayé les deux autres (temporalité abstraite de la mythologie).
Voilà qui change sensiblement la perception idyllique de ce jugement et l'idée même de beauté.
J'ai donc transposé cette histoire dans le monde contemporain, dans ce monde du planning familial et de l'éducation sexuelle distillée au Lycée par Madame Titouch, professeur agrégée en vie pratique et forcément membre du parti.
Et puis je me suis rendu sur des lieux de drague et j'y ai vu ce que j'ai représenté en accessoire de la pomme d'or : des préservatifs usagés jetés sur les branches du et des fruits défendus, suivant les régions...car j'ai beaucoup voyagé pour cette étude... imaginaire ou réel ? Faites l'expérience et répétez là, on arrive à la pensée du vide...
J'en ai fait une nouvelle phrase de l'ordre plastique du célèbre jugement
Phrase de translation s'il en est qui passe d'une version expurgée en version à un préservatif pour Vénus à trois pour les deux autres déesses. Et les branches et les feuilles de la pomme d'or s'enorgueillissent de ces trophées qui? tout compte fait, dans une esthétique contemporaine muséographique de la souillure à la salissure valent bien culturellement des ornements de célébration, des médailles, la pomme d'or en étant une version politique édulcorée...
C'est joli ? Non ?
C'est peu de chose sur une image. En image de translation c'est scandaleux et pourtant ça fonctionne plastiquement et sémantiquement à la perfection. Ce seraient donc plutôt nos dysfonctionnements cérébraux qui seraient scandaleux ? Qu'en pensez-vous ?
Le succès de cette expérience m'entraîne vers un retour aux cosmogonies tout aussi culturelles que celle du Jugement de Pâris, fondateur de notre culture occidentale, et donc de notre perception de notre univers sensible et culturel, voire politique...
En remontant dans l'Olympe des Arts je suis allé taquiner La Grande Ours ! Effectivement n'étant pas très loin j'ai juste fait un petit détour.
Et en chemin j'ai rencontré Héraklès, le grand archer de l'antiquité, celui qui fonde les fonctionnements de l'image et de la narration avec son arc tendu.
(J'utilise deux images du net)
Deux espaces sont définis de part et d'autre de l'arc au bout du bras tendu de l'archer. Un espace de concentration des effets - la tension de l'archer - et un espace de projection (ou de dispersion selon le cas) en avant de l'arc par l'homme courant. Voici la base horizontale de fonctionnement des espaces en compositions plastiques à partir de l'arc.
en mode vertical les fonctions de concentration de l'espace concave et de projection/dispersion de l'espace convexe jouent le même rôle plastique.
Pour ma composition j'utilise aussi les fonctions de l'arc que je démultiplie pour obtenir un espace de vacuité toutefois tendu vers le même point unique projeté dans l'espace concave de la composition.
tout ce qui en partie convexe est en mode de balancier.
Pour augmenter l'effet de projection des concentrations de l'espace concave, surtout matérialisé par le jeu des regards qu'on voit ou qu'on ne voit pas (la fonction de l'invisible), j'emprunte un autre mécanise à une autre image que j'ai largement commentée dans le paragraphe de ma thèse consacré à la publicité peinte dans le chapitre des façades peintes des édifices civils du sud-ouest des Alpes, sur ce blog :
Façades Peintes - Edifices civils du sud-ouest des Alpes
http://coureur2.blogspot.fr/2015/01/facades-peintes-edifices-civils-du-sud.html
(mois de janvier 2015)
L'ancienne route de Mougins à Grasse imposait une perspective puissante sur l'axe de la route.
Le cliché qui sort de l'appareil photo et du cadre bleu où se situe la scène, est un losange tangent à seulement un de ses angles au cadre géométrique où la silhouette en arc dynamique du photographe projetée vers la droite, était peinte. Il n'y a pas d'arc (le corps du photographe peut-il être interprété en "arc" ou en image disloquée de l'arc ?) avec une diagonale (en corde de l'arc) et à partir de cette diagonale les images de proposition sémantique (mot "AGFA" dans son losange souligné par un cartouche "agfacolor") se répètent d'un côté de la fenêtre à l'autre et franchit naturellement cet espace architectural fort, pour créer un rythme ternaire de projection des images où se répercute un autre losange "AGFA". Deux types d'écritures sont utilisées : une en écriture bâton penchée qui suit le mouvement du corps du photographe et une en écriture d'écolier, également penchée, qui sort du cadre du photographe pour se projeter dans l'espace blanc où l'objectif va saisir l'image qui va se fixer su l'appareil. Deux tons sont utilisés : le bleu et le blanc.Nous avons un discours linéaire horizontal de translation à partir de deux perspectives divergentes depuis la route.
J'essaie alors d'organiser une synthèse à partir du fonctionnement de l'arc et du fonctionnement de la répercussion des saisies d'objectif dans un espace blanc que je traite toutefois en deux temps pour que l'arc compris entre les arcs bleu et bleu/orangé ne colorent pas l'espace blanc (loi des cohabitation des teintes). Et j'ajoute une proposition sémantique suivant les modes approchés et définis sur la publicité AGFA
Evidemment j'obtiens une nouvelle proposition plastique mais selon des codes scientifiques de fonctionnement des images.
Ce système que j'avais déjà travaillé pour une proposition d'affiche pour le festival de Cannes, je vais le retravailler à partir de cette image
(sur ce blog voir ma première approche des ces mécanismes à la page
Cannes - Festival du cinéma - Projet d'affiche
http://coureur2.blogspot.fr/2011/12/cannes-festival-du-cinema-projet.html
http://coureur2.blogspot.fr/2011/12/cannes-festival-du-cinema-projet.html
(décembre 2011)
D'abord une image sans proposition sémantique, uniquement à thématique de fonctionnement plastique fort
puis une intégration dans une composition sémantique en équilibre, qui dégage un cadre en losange où s'inscrit l'image ci-dessus
puis un simple outil de complément du losange me permet de produit une image répétitive à l'infini
image dont les fonctions plastiques et sémantiques vont se réduire de concert au fur et à mesure des répétitions ordinaires
(Il y aurait là tout un travail à faire sur les pertes de valeurs des images à droite de l'écran pour une relative conservation sans variations équivalentes des images étroites de l'écran,. Ces images qui articulent la syntaxe - les moins larges - sont celles qui subissent le moins de variation et qui se superposent le mieux les unes autres autres sur un plan vertical reporté à droite de l'écran. Nous sommes bien dans ces fonctionnements de translation entre verticalité et horizontalité de composition des images, et la page de blog, elle-même, se compose en outil plastique, en oeuvre)..
Jusqu'au final où les répétitions ne feront plus apparaître qu'une image indéchiffrable à l’œil nu de propositions sémantiques et plastiques, comme une chaîne de chromosomes constituant le corps de l'oeuvre et invisible cependant.
En remontant l'image avec l'ascenseur du blog - de bas en haut - on créé un ensemble optique cinétique qui n'a pas la même force qui si on prend l'image de haut en bas.
En remontant l'image avec l'ascenseur du blog - de bas en haut - on créé un ensemble optique cinétique qui n'a pas la même force qui si on prend l'image de haut en bas.
Nous entrons alors dans le schéma de fonctionnement inversé du damier des Esquisses Pédagogiques de Paul Klee où c'est la multiplication des images en damier qui crée la force du nombre soit 1+1 =2 _ 2+2=4_4+4=8_8+8=16_16+16=32_32+32=64_64+64=128_128+128=256_etc_etc_etc...
Dans l'expérience ci-dessus la multiplication créé la faiblesse de la proposition sémantique de l'image et la transforme en principe purement plastique à deux variables : de bas en haut ou de haut en bas. Verticalité et translation horizontale se combinent bien pour des fonctionnements différents des images de la proposition sémantique à la proposition plastique et inversement, hypothèse à l'origine de ma combinaison d'images pour créer une seule affiche pour un festival du cinéma à Cannes; cinéma qui réclame un minimum de trois images pour s'animer.
Dans l'expérience ci-dessus la multiplication créé la faiblesse de la proposition sémantique de l'image et la transforme en principe purement plastique à deux variables : de bas en haut ou de haut en bas. Verticalité et translation horizontale se combinent bien pour des fonctionnements différents des images de la proposition sémantique à la proposition plastique et inversement, hypothèse à l'origine de ma combinaison d'images pour créer une seule affiche pour un festival du cinéma à Cannes; cinéma qui réclame un minimum de trois images pour s'animer.
LA RECHERCHE DES RENVERSEMENTS DES FONCTIONS DE L'IMAGE, TANT EN PROPOSITION SÉMANTIQUE (le sens des mots) QUE PLASTIQUE (le sens des images), EST DONC ICI UNE ANTITHÈSE DU CLICHE, quelque soit sa nature : sociale, plastique, esthétique, morale, historique, culturelle, artistique, moral, éthique...
Je crois qu'il ne s'agit encore pour l'instant que d'un premier gros défrichage et que tout le travail reste encore à faire...pour arriver sur de véritables terres inconnues...
Je crois qu'il ne s'agit encore pour l'instant que d'un premier gros défrichage et que tout le travail reste encore à faire...pour arriver sur de véritables terres inconnues...
Comment rebondir maintenant sur ce travail ?
Autour du réchauffement climatique on peut tout inventer même des trucs loufoques comme la mer sur pilotis par de simples montages en mosaïques de clichés.Qu'en serait l'antithèse ?
l'image inversée. Alors que devient la proposition sémantique ?"LE MARÉCAGE SUR PILOTIS DES OCÉANS "Bien évidemment c'est totalement nul. Mais face aux sciences humaines contemporaines est-ce en fait si nul que ça ?Voyons voir ... puisque la médecine est un art, donc une science humaine.Les jeux sur les langages font les délices de la psychanalyse.Dans un récent colloque sur l'autisme à Nice n'avons-nous pas entendu affirmer avec force conviction par un doct médecin (je ne saurais bien sûr pas dire par un doct-docteur, ça ferait redondant, pourtant le ton était ronflant), que la personne avec autisme qui réclame son "pain" peut réclamer son "pin" dans les multiples lectures qui peuvent être faites de ces mots et alors tout devient différent !
Bien évidemment, même si je fais des fautes d'orthographe je vais tout de même acheter mon pain dans une boulangerie et quand bien même écrirais-je "boue lange rie" je mangerai du pain à midi. Mais comment récrirais-je toute cette phrase "Jeu pour Je", "m'en je raie", '"du" "pin" et on en revient vite au jeux des énigmes médiévales par lesquelles on vous sert du poisson à la place du pain.Effectivement le mécanisme peut-être avec autisme voire psychotique mais par la seule parole du docte-docteur et pas nécessairement par la parole de celui qui prépare le repas ou qui a faim.Ce docte-médecin médecin en fait alors appel à Arthur Rimbaud qui a écrit "JE est un autre". Mais la construction du poète ne s'arrête pas là et il vaut mieux la lire en entier dans le cadre d'un étayage scientifique au lieu de l'abréger pour en faire un trait d'intellectuel savant entre Verlaine et Rimbaud (hésitant entre les deux auteurs comme si cela n'avait aucune importance pour un psychanalyste détenteur des sciences du langage de confondre l'art des deux poètes) face à un public crédule et tout aussi ignorant des vers des poètes. Ce qui fait suite à la proposition rimbaldienne est ceci "JE est un autre.Tant pis pour le bois qui se trouve violon, et nargue aux inconscients, qui ergotent sur ce qu'ils ignorent tout à fait. Vous n'êtes pas enseignant pour moi. Je vous donne ceci : est-ce de la satyre, comme vous diriez ? Est-ce de la poésie ? C'est de la fantaisie toujours. -- Mais, je vous supplie, ne soulignez ni du crayon, ni trop de la pensée" (lettre à Izembard du 13 mai 1871)Si cet érudit de la psy a lu Lacan comme il a lu Rimbaud nous pouvons effectivement nous poser des questions quand il nous invite à sa table !(ceci n'est pas un trait d'agressivité mais il y en a parfois par-dessus la tête d'utiliser notre culture française comme une vulgaire serpillière avec laquelle on peut faire n'importe quoi sous prétexte de science médicale, d'université ou de langue universitaire anglo-saxone imposée dans notre enseignement national. Ce qui est purement scandaleux et qui mériterait des suites vis-à-vis de ceux qui ont voté ces décisions assassines pour notre conscience et notre intégrité nationale. Peut-être les événements contemporains nous feront-ils prendre conscience de la gravité de ces faits au moment où il y a besoin de rassembler la nation contre une autre forme de barbarie)On peut donc aisément s'inscrire en faux tant dans l'art contemporain que dans la pensée contemporaine, serait-elle sous le sceau de la science et de la faculté.Cet art du faux que je reprends si souvent de Borgel à Courtaud, est une base essentielle pour repenser notre imitation de ce que nous croyons approcher en vérités contemporaines.Rien alors d'original : non, mais un constat.Plus je multiplie les propositions plastiques de la même image ou d'un montage d'images sur un même support, comme c'est le cas lorsque je peins un paysage, une scène ou quelque sujet que ce soit divisé en ombres et lumières et en motifs, par exemple, plus je modifie la proposition sémantique de l'image jusqu'à son anéantissement pour une nouvelle proposition plastique qui annihile totalement la proposition sémantique du sujet ou de l'image primitive génératrice d'art (endogène ou exogène) ou qui en créé une autre , pas forcément intelligible mais perceptible jusqu'à une nouvelle conception intelligible en proposition sémantique ajoutée.
A ce niveau là nous ne travaillons pas sur l'abstraction mais sur la bifurcation et la répétition ordinaire, pouvant être toutefois très artistiquement organisée, qui peut être porteuse de nouvelles mutations et paraître extra-ordinaire, rencontrant le Cubisme Synthétique qui ouvrira les voies aux rêves Surréalistes et ses trompe-l'oeil.Mais ce sera un autre état de fait plastique et sémantique. Ce qui a pour première conséquence de faire de la répétition imitative un outil de recherche de propositions,de nouveautés, voire d'éventuelles perceptions en créations, ou masques.Le monde contemporain se scinde en période iconoclaste - néo-dadaïsme et conceptuels - et en période d'iconostase pour des réceptions créatives quasiment, ou de plus en plus univectorielles, d'images principalement créées dans une idéologie de la modernité issue de la folie pour une intégration des pathologies à la normalité sans qu'on prenne le soin d'évacuer la pathologie de la personnalité (peut-être un nouveau mouvement est actuellement en route et bien sûr dans le cadre de mes ateliers thérapeutiques c'est celui-ci que je recherche : soigner pour retrouver l'homme "sain" et non pas entretenir la folie pour l'entraîner dans des valeurs culturelles à mon avis criminelles puisque génératrices de souffrances). L'individu conserve sa pathologie comme une reconnaissance de sa valeur créative et devient lui-même identité artistique pathologique (des arts bruts aux arts singuliers) : la folie de l'un devient le goût et le bon goût de l'autre, jusqu'aux valeurs ornementales du foyer ou de l'aire sociale ou culturelle, jusqu'à de nouvelles élaborations en phrases articulées mais pas forcément porteuses d'authenticité : nous sommes dans le sophisme de bon aloi où la folie devient génératrice de toute une économie à bénéfice des arbitres de cette orchestration à reconnaissance culturelle et de ses valeurs.Le monde de la santé publique s'installe dans une pathologie à valeurs culturelles et économiques alors que l'iconoclasme participe à l'anéantissement culturel de toutes les valeurs liées aux médiations par la recherche en constructions d'images et surenchère des marchés de l'art où on ne vend plus que de la proposition sémantique ajoutée (on vend du discours sur l'art). Sauf la BD et l'image virtuelle (y compris l'imagerie médicale qui entre dans ce panorama culturel contemporain) qui elles ne peuvent pas se contenter de ces clivages car elles doivent fonctionner en tant qu'outil-image porteur de propositions sémantiques et plastiques, et souvent très précises, pour entrer dans le système économique des marchés mondialisés.Donc, en fait trois principaux vecteurs culturels des fonctions de l'image dans notre monde contemporain, de la confusion à la clarté, du nihilisme qui entraîne un appauvrissement culturel considérable à la recherche la plus pointue qui passe dans l'esthétique contemporaine en outils virtuels qui font appel à une véritable science, dont le créateur ne possède jamais la maîtrise de l'élaboration de la confection mais fait avec et met en oeuvre un produit déjà préformaté par d'autres créateurs : c'est une chaîne industrielle de la création avec monopole des trusts.Les ferrailleurs conceptuels ne sont pas non plus les artisans de leurs œuvres qui sont réalisées par des ateliers détenteurs des métiers. Mais ces ateliers de fabrication, contrairement aux fournisseurs d'outils virtuels, n'ont plus aucun droit sur le produit fini une fois que l'artiste a réglé sa note à l'artisan.Le principe de l'atelier est une notion totalement à revoir, à repenser, dans l'état actuel de la création contemporaine. Cette remise en question doit-elle remettre en question l'apprentissage des arts ou faut-il l'abandonner pour cautionner un système culturel qui n'arrive plus à se situer, à trouver son indépendance, et qui, au contraire, cultive chaque jour en plus sa dépendance tant aux états pathologiques qu'industrieux que politiques du monde contemporain . Y a-t-il rupture réelle avec le monde antique jusqu'à la Renaissance et la révolution industrielle, pour un plus grand asservissement aux idéologies culturelles des nations et des industries ?Que reste t-il à l'artiste créateur d'images peintes, dessinées, en dehors de ces champs ci-dessus définis ou simplement approchés ? C'est une question posée aux sciences humaines, et ce n'est pas rien, bien évidemment.Le célèbre tableau de Magritte nous permet de re-articuler le discours de l'image figurative à celui de la peinture et de scinder très nettement l'image et la proposition sémantique :
toutefois nous nous trouvons une nouvelle fois devant un écueil, et de taille, puisque la phrase "Ceci n'est pas une pipe" est elle-même peinture qui détourne le sujet de la peinture que nous percevons sans nous apercevoir que la phrase est au même titre une composition globale de la peinture que nous réduisons à la pipe et qui n'est pas la pipe puisque c'est l'image peinte d'une pipe vue sous un certain angle dans une certaine lumière sur un fond sélectionné et effectivement ce n'est pas une pipe alors qu'en regardant l'image nous venons d'assister à la réduction du concept "pipe" que la proposition sémantique non seulement n'accompagne pas mais renie.Nous sommes là face à une chaîne de contradictions, de bifurcations dont la perception de réalité est tenue en échec par la force des éléments très simples qui composent le tableau en outil très conventionnel de peinture (nature morte) et outil qui ne l'est absolument pas - la lettre développée jusqu'à la constitution de phrases à valeur plastiques entre les premières insertions de lettres et de textes imprimés depuis la révolution mallarméenne, les voyelles colorées de Rimbaud jusqu'aux versions cubistes de Picasso et de Braque, les affiches de Dufy jusqu'à Raoul Hausman qui va entraîner le mouvement Lettriste d'Isidore Isou d'après 1945 - et sur une peinture on ne peut plus figurative en réduction du concept rimbaldien, avant les tableaux de dactylopoèmes d'Henri Chopin, ou les pictogrammes de Pierre Garnier repris par certains plasticiens de l'esthétique Néon comme Piotr Koxalski
Le fonctionnement de l'image entre ce qu'elle représente pouvant être ou ne pouvant pas être traduit en proposition sémantique simple et articulée au premier degré entre dans le paradigme culturel du XX° siècle qui organise des lectures de bifurcations et de répétitions qui elles-mêmes entraînent de nouvelles bifurcations qui nous font totalement échapper à la première perception du langage peint ou écrit dans ou en dehors du sujet. Qu'on joue à l'apprenti sorcier du langage avec la psychanalyse ou avec des images nous arrivons aux mêmes conclusions de la création d'un nouvel état culturel des images et des propositions dès qu'on en modifie les codes usuels de lecture et d'analyse hérités des siècles antérieurs. Nous en revenons à un état religieux du culte des icônes mais avec une iconostase qui ne passe plus part l'art de construire les images. C'est aussi la raison pour laquelle la sémiologie des images antérieures à ces mouvements du XX° siècle ne concerne que ceux, en tant qu'individus cultivés ou non, qui en font des traductions, des interprétations et surtout pas les œuvres elles-mêmes crées dans d'autres contextes culturels de l'histoire de l'art et avec d'autres hommes aux structures mentales et psychiques parfois bien différentes dans des contextes sociaux très différents.
je repars sur l'antiquité.Je veux construire aujourd'hui une image de fiction par une méthode frictionnelle simple issue de mes réflexions lorsque je travaillais sur ce thème avec Pierre Courtaud (lui en écriture et moi en méthode plastique et tous les deux en recherches de ces fondements historiques pour un art du faux depuis les fictions de José Luis Borges, le Nouveau Roman d'Alain Robbe Grillet, les installations en leurres de Présence Panchounette jusqu'à la Bibliothèque du Faussaire et au Descartes de Pierre Courtaud) et d'un coup proposant cette image en lecture à un autre grand ami poète je me trouve confronté à une lecture en bifurcation où les signifiants atteignent une toute autre dimension en termes signifiés : l'image est prise comme du réel et qui plus est en potentielle orientation des genres homme par rapport à la femme dans ce rapport retrouvé de l'antiquité archaïque entre Kouros et Koré; mais que je réfute tout à fait. Toutefois l'oeuvre une fois livrée échappe à son auteur et il faut accepter le jeu de la réception, de la lecture du récipiendaire et comme cet ami est aussi un poète de haut niveau doublé d'un homme d'une grande intelligence, je me décide à ouvrir mon chapitre sur l'antiquité par cette vision d'art contemporain à multiples facettes faisant frictionner les sources et les réceptions en ce début juin 2016.
Cette construction est une rencontre d'aventures d'images dans le processus d'élaboration des images dans le temps et dans l'espace.Il y a quelques années je dessinais un très bel homme nu couché à terre, en me positionnant presque "dessus". En fait je réalisais deux grands dessins de ce très beau modèle mais un seul en me positionnant presque "dessus".
Autour du réchauffement climatique on peut tout inventer même des trucs loufoques comme la mer sur pilotis par de simples montages en mosaïques de clichés.Qu'en serait l'antithèse ?
l'image inversée. Alors que devient la proposition sémantique ?"LE MARÉCAGE SUR PILOTIS DES OCÉANS "Bien évidemment c'est totalement nul. Mais face aux sciences humaines contemporaines est-ce en fait si nul que ça ?Voyons voir ... puisque la médecine est un art, donc une science humaine.Les jeux sur les langages font les délices de la psychanalyse.Dans un récent colloque sur l'autisme à Nice n'avons-nous pas entendu affirmer avec force conviction par un doct médecin (je ne saurais bien sûr pas dire par un doct-docteur, ça ferait redondant, pourtant le ton était ronflant), que la personne avec autisme qui réclame son "pain" peut réclamer son "pin" dans les multiples lectures qui peuvent être faites de ces mots et alors tout devient différent !
Bien évidemment, même si je fais des fautes d'orthographe je vais tout de même acheter mon pain dans une boulangerie et quand bien même écrirais-je "boue lange rie" je mangerai du pain à midi. Mais comment récrirais-je toute cette phrase "Jeu pour Je", "m'en je raie", '"du" "pin" et on en revient vite au jeux des énigmes médiévales par lesquelles on vous sert du poisson à la place du pain.Effectivement le mécanisme peut-être avec autisme voire psychotique mais par la seule parole du docte-docteur et pas nécessairement par la parole de celui qui prépare le repas ou qui a faim.Ce docte-médecin médecin en fait alors appel à Arthur Rimbaud qui a écrit "JE est un autre". Mais la construction du poète ne s'arrête pas là et il vaut mieux la lire en entier dans le cadre d'un étayage scientifique au lieu de l'abréger pour en faire un trait d'intellectuel savant entre Verlaine et Rimbaud (hésitant entre les deux auteurs comme si cela n'avait aucune importance pour un psychanalyste détenteur des sciences du langage de confondre l'art des deux poètes) face à un public crédule et tout aussi ignorant des vers des poètes. Ce qui fait suite à la proposition rimbaldienne est ceci "JE est un autre.Tant pis pour le bois qui se trouve violon, et nargue aux inconscients, qui ergotent sur ce qu'ils ignorent tout à fait. Vous n'êtes pas enseignant pour moi. Je vous donne ceci : est-ce de la satyre, comme vous diriez ? Est-ce de la poésie ? C'est de la fantaisie toujours. -- Mais, je vous supplie, ne soulignez ni du crayon, ni trop de la pensée" (lettre à Izembard du 13 mai 1871)Si cet érudit de la psy a lu Lacan comme il a lu Rimbaud nous pouvons effectivement nous poser des questions quand il nous invite à sa table !(ceci n'est pas un trait d'agressivité mais il y en a parfois par-dessus la tête d'utiliser notre culture française comme une vulgaire serpillière avec laquelle on peut faire n'importe quoi sous prétexte de science médicale, d'université ou de langue universitaire anglo-saxone imposée dans notre enseignement national. Ce qui est purement scandaleux et qui mériterait des suites vis-à-vis de ceux qui ont voté ces décisions assassines pour notre conscience et notre intégrité nationale. Peut-être les événements contemporains nous feront-ils prendre conscience de la gravité de ces faits au moment où il y a besoin de rassembler la nation contre une autre forme de barbarie)On peut donc aisément s'inscrire en faux tant dans l'art contemporain que dans la pensée contemporaine, serait-elle sous le sceau de la science et de la faculté.Cet art du faux que je reprends si souvent de Borgel à Courtaud, est une base essentielle pour repenser notre imitation de ce que nous croyons approcher en vérités contemporaines.Rien alors d'original : non, mais un constat.Plus je multiplie les propositions plastiques de la même image ou d'un montage d'images sur un même support, comme c'est le cas lorsque je peins un paysage, une scène ou quelque sujet que ce soit divisé en ombres et lumières et en motifs, par exemple, plus je modifie la proposition sémantique de l'image jusqu'à son anéantissement pour une nouvelle proposition plastique qui annihile totalement la proposition sémantique du sujet ou de l'image primitive génératrice d'art (endogène ou exogène) ou qui en créé une autre , pas forcément intelligible mais perceptible jusqu'à une nouvelle conception intelligible en proposition sémantique ajoutée.
A ce niveau là nous ne travaillons pas sur l'abstraction mais sur la bifurcation et la répétition ordinaire, pouvant être toutefois très artistiquement organisée, qui peut être porteuse de nouvelles mutations et paraître extra-ordinaire, rencontrant le Cubisme Synthétique qui ouvrira les voies aux rêves Surréalistes et ses trompe-l'oeil.Mais ce sera un autre état de fait plastique et sémantique. Ce qui a pour première conséquence de faire de la répétition imitative un outil de recherche de propositions,de nouveautés, voire d'éventuelles perceptions en créations, ou masques.Le monde contemporain se scinde en période iconoclaste - néo-dadaïsme et conceptuels - et en période d'iconostase pour des réceptions créatives quasiment, ou de plus en plus univectorielles, d'images principalement créées dans une idéologie de la modernité issue de la folie pour une intégration des pathologies à la normalité sans qu'on prenne le soin d'évacuer la pathologie de la personnalité (peut-être un nouveau mouvement est actuellement en route et bien sûr dans le cadre de mes ateliers thérapeutiques c'est celui-ci que je recherche : soigner pour retrouver l'homme "sain" et non pas entretenir la folie pour l'entraîner dans des valeurs culturelles à mon avis criminelles puisque génératrices de souffrances). L'individu conserve sa pathologie comme une reconnaissance de sa valeur créative et devient lui-même identité artistique pathologique (des arts bruts aux arts singuliers) : la folie de l'un devient le goût et le bon goût de l'autre, jusqu'aux valeurs ornementales du foyer ou de l'aire sociale ou culturelle, jusqu'à de nouvelles élaborations en phrases articulées mais pas forcément porteuses d'authenticité : nous sommes dans le sophisme de bon aloi où la folie devient génératrice de toute une économie à bénéfice des arbitres de cette orchestration à reconnaissance culturelle et de ses valeurs.Le monde de la santé publique s'installe dans une pathologie à valeurs culturelles et économiques alors que l'iconoclasme participe à l'anéantissement culturel de toutes les valeurs liées aux médiations par la recherche en constructions d'images et surenchère des marchés de l'art où on ne vend plus que de la proposition sémantique ajoutée (on vend du discours sur l'art). Sauf la BD et l'image virtuelle (y compris l'imagerie médicale qui entre dans ce panorama culturel contemporain) qui elles ne peuvent pas se contenter de ces clivages car elles doivent fonctionner en tant qu'outil-image porteur de propositions sémantiques et plastiques, et souvent très précises, pour entrer dans le système économique des marchés mondialisés.Donc, en fait trois principaux vecteurs culturels des fonctions de l'image dans notre monde contemporain, de la confusion à la clarté, du nihilisme qui entraîne un appauvrissement culturel considérable à la recherche la plus pointue qui passe dans l'esthétique contemporaine en outils virtuels qui font appel à une véritable science, dont le créateur ne possède jamais la maîtrise de l'élaboration de la confection mais fait avec et met en oeuvre un produit déjà préformaté par d'autres créateurs : c'est une chaîne industrielle de la création avec monopole des trusts.Les ferrailleurs conceptuels ne sont pas non plus les artisans de leurs œuvres qui sont réalisées par des ateliers détenteurs des métiers. Mais ces ateliers de fabrication, contrairement aux fournisseurs d'outils virtuels, n'ont plus aucun droit sur le produit fini une fois que l'artiste a réglé sa note à l'artisan.Le principe de l'atelier est une notion totalement à revoir, à repenser, dans l'état actuel de la création contemporaine. Cette remise en question doit-elle remettre en question l'apprentissage des arts ou faut-il l'abandonner pour cautionner un système culturel qui n'arrive plus à se situer, à trouver son indépendance, et qui, au contraire, cultive chaque jour en plus sa dépendance tant aux états pathologiques qu'industrieux que politiques du monde contemporain . Y a-t-il rupture réelle avec le monde antique jusqu'à la Renaissance et la révolution industrielle, pour un plus grand asservissement aux idéologies culturelles des nations et des industries ?Que reste t-il à l'artiste créateur d'images peintes, dessinées, en dehors de ces champs ci-dessus définis ou simplement approchés ? C'est une question posée aux sciences humaines, et ce n'est pas rien, bien évidemment.Le célèbre tableau de Magritte nous permet de re-articuler le discours de l'image figurative à celui de la peinture et de scinder très nettement l'image et la proposition sémantique :
Magritte 1929 |
toutefois nous nous trouvons une nouvelle fois devant un écueil, et de taille, puisque la phrase "Ceci n'est pas une pipe" est elle-même peinture qui détourne le sujet de la peinture que nous percevons sans nous apercevoir que la phrase est au même titre une composition globale de la peinture que nous réduisons à la pipe et qui n'est pas la pipe puisque c'est l'image peinte d'une pipe vue sous un certain angle dans une certaine lumière sur un fond sélectionné et effectivement ce n'est pas une pipe alors qu'en regardant l'image nous venons d'assister à la réduction du concept "pipe" que la proposition sémantique non seulement n'accompagne pas mais renie.Nous sommes là face à une chaîne de contradictions, de bifurcations dont la perception de réalité est tenue en échec par la force des éléments très simples qui composent le tableau en outil très conventionnel de peinture (nature morte) et outil qui ne l'est absolument pas - la lettre développée jusqu'à la constitution de phrases à valeur plastiques entre les premières insertions de lettres et de textes imprimés depuis la révolution mallarméenne, les voyelles colorées de Rimbaud jusqu'aux versions cubistes de Picasso et de Braque, les affiches de Dufy jusqu'à Raoul Hausman qui va entraîner le mouvement Lettriste d'Isidore Isou d'après 1945 - et sur une peinture on ne peut plus figurative en réduction du concept rimbaldien, avant les tableaux de dactylopoèmes d'Henri Chopin, ou les pictogrammes de Pierre Garnier repris par certains plasticiens de l'esthétique Néon comme Piotr Koxalski
Le fonctionnement de l'image entre ce qu'elle représente pouvant être ou ne pouvant pas être traduit en proposition sémantique simple et articulée au premier degré entre dans le paradigme culturel du XX° siècle qui organise des lectures de bifurcations et de répétitions qui elles-mêmes entraînent de nouvelles bifurcations qui nous font totalement échapper à la première perception du langage peint ou écrit dans ou en dehors du sujet. Qu'on joue à l'apprenti sorcier du langage avec la psychanalyse ou avec des images nous arrivons aux mêmes conclusions de la création d'un nouvel état culturel des images et des propositions dès qu'on en modifie les codes usuels de lecture et d'analyse hérités des siècles antérieurs. Nous en revenons à un état religieux du culte des icônes mais avec une iconostase qui ne passe plus part l'art de construire les images. C'est aussi la raison pour laquelle la sémiologie des images antérieures à ces mouvements du XX° siècle ne concerne que ceux, en tant qu'individus cultivés ou non, qui en font des traductions, des interprétations et surtout pas les œuvres elles-mêmes crées dans d'autres contextes culturels de l'histoire de l'art et avec d'autres hommes aux structures mentales et psychiques parfois bien différentes dans des contextes sociaux très différents.
je repars sur l'antiquité.Je veux construire aujourd'hui une image de fiction par une méthode frictionnelle simple issue de mes réflexions lorsque je travaillais sur ce thème avec Pierre Courtaud (lui en écriture et moi en méthode plastique et tous les deux en recherches de ces fondements historiques pour un art du faux depuis les fictions de José Luis Borges, le Nouveau Roman d'Alain Robbe Grillet, les installations en leurres de Présence Panchounette jusqu'à la Bibliothèque du Faussaire et au Descartes de Pierre Courtaud) et d'un coup proposant cette image en lecture à un autre grand ami poète je me trouve confronté à une lecture en bifurcation où les signifiants atteignent une toute autre dimension en termes signifiés : l'image est prise comme du réel et qui plus est en potentielle orientation des genres homme par rapport à la femme dans ce rapport retrouvé de l'antiquité archaïque entre Kouros et Koré; mais que je réfute tout à fait. Toutefois l'oeuvre une fois livrée échappe à son auteur et il faut accepter le jeu de la réception, de la lecture du récipiendaire et comme cet ami est aussi un poète de haut niveau doublé d'un homme d'une grande intelligence, je me décide à ouvrir mon chapitre sur l'antiquité par cette vision d'art contemporain à multiples facettes faisant frictionner les sources et les réceptions en ce début juin 2016.
Cette construction est une rencontre d'aventures d'images dans le processus d'élaboration des images dans le temps et dans l'espace.Il y a quelques années je dessinais un très bel homme nu couché à terre, en me positionnant presque "dessus". En fait je réalisais deux grands dessins de ce très beau modèle mais un seul en me positionnant presque "dessus".
Je recomposais ce dessin à la méthode d'un "Jogging" avec des variations d'espaces qui entraînaient ma saisie au sol dans une verticalité d'espaces qui pouvaient s'articuler en champs profonds par de simples aplats : les rapports entre le papier, le dessin et les peintures industrielles différemment diluées et mélangées, créant un écart complémentaire d'élaboration d'oeuvre qui entrait plus résolument dans le monde de la fiction, avec en plus les jeux du hasard des lumières complémentaires [je distancie ma recherche de celle de l'écrivain pour rester sur mes bases et sources de plasticien. A l'origine lorsque Pierre Courtaud commençait à travailler sur le Quichotte de Borgès dans la dernière décennie du XX° siècle. Je travaillais déjà sur la production de Francis Picabia à partir d'une petite rétrospective de l'oeuvre de cet artiste qui avait été présentée au MAMAC de Nice, entre œuvres plastiques et écritures. J'avais établi un lien avec une autre rétrospective des lithographies de Sonia Delaunay sur les cartes à jouer que j'avais vue au Palais de la Méditerranée à Nice en 1976 lorsque je m'initiais à la gravure contemporaine en fréquentant la boutique de Jacques Matarasso rue Longchamp à Nice et qu'arrivaient les premières estampes du Pop Art que je trouvais moins intéressantes que les gravures de l'école dite de Paris - la photo que je présente plus bas prend évidemment en compte ce choix ancien pour s'en approcher esthétiquement sur un mode photo. Puis un dernier lien avec l'exposition au château de La Napoule où était présentée par Présence Panchounette la maquette d'une des salles du musée d'art Moderne et Contemporain de Limoges qui n'existe pas : je terminais la rédaction de ma thèse doctorale sur la polychromie architecturale et l'art de la façade peinte où les architectures de leurres entraient en grande part de l'appareil scientifique exploré - Sur ce blog]. Et, puisque ce nu au sol devenait tout à coup un nu agrippé à la verticale ou à l'horizontale du nu de la feuille pour des tentatives de pénétrations ou d'arrachements des plans de la feuille de papier apparente seulement dans les limites intérieures du dessin, dans l'espace du corps nu, et au centre de la composition, le blanc du nu se trouvait ainsi confronté au blanc de la page. D'un point de vue sémantique de l'image peinte ce "nu" était donc véritablement "nu" au regard des interventions peintes périphériques, ou dépourvu d'interventions plastiques interne postérieures à l'élaboration du modèle nu pendant sont temps de pose au sol. Mais aussi une super image du nu non identifiable au nu de la page laissée vide d'interventions colorées et peintes au cœur de l'action du héros pénétrant la page. L'idée de la page blanche sans intervention de peinture se dédoublait donc en "nu" et "vide". Le "nu" du "nu" et le "vide" du "vide" d'intervention plastique et colorée : là je redonne son crédit d'idée à mon ami Pierre Courtaud qui avait trouvé cette très belle formule "creuser le vide" lorsqu'il travaillait et devenait aussi un spécialiste du "tao" et de Gertrude Stein autour notamment du cercle de la tautologie [Je renvoie ici à ma page de ce blog où je présente la tautologie par un extrait d'une étude de Pierre Courtaud sur l'écriture de Gertrude Stein : Festival du Livre à Mouans-Sartoux - 7-8-9 octobre 2016 - avec Les Mots d'Azur http://coureur2.blogspot.fr/2016/10/festival-du-livre-de-mouans-sartoux-7-8.html ]. Lorsque je réalisais ce nu je ne travaillais déjà plus en recherche avec Pierre Courtaud mais tout ce travail que j'avais fait avec lui, et avec d'autres géants de l'époque aussi, était toujours un atelier d'outils potentiels assez extraordinaire et quasi incomparable. En termes de signifiés ce nu redressé et mis en rapport avec des jeux plastiques prenait une valeur de héros antique confronté à quelques "travaux héroïques", un Hercule moderne en quelque sorte. J'encadrais ce rapport d'interventions pour en fixer des limites mettant plus en profondeur les espaces auxquels le nu s'attaquait en destruction
Pendant le Printemps des Poètes à Vallauris au mois de mars 2016, le verbe et l'image se conjuguaient de façon informelle mais réelle autour de la place devant le musée Picasso où les Mots d'Azur présentaient une performance, où Menace, un peintre de rue, réalisait une oeuvre sur le temps de la performance poétique et moi qui présentait avec deux autres compositions, deux "Jogging" dont celui ci en fond de scène Voir sur ce blog :
De Vallauris à Cannes - Le Printemps des Poètes 2016 avec les Mots d'Azur
//coureur2.blogspot.fr/2016/03/de-vallauris-cannes-la-cote-dazur-en.html
Je prenais beaucoup de photos et je cherchais les plans verticaux et horizontaux pour m'essayer à des saisies autour d'un public assis qui bloquait la perception directe sur la scène. Je devais jouer sur les obliques pour prendre mes photos. Quasiment jamais je n'arrivais à obtenir des photos " à la verticale" ou "en perpendiculaire" sauf pour les photos périphériques au spectacle, c'est-à-dire à la scène dans le sens plastique : le glissement des sens. Une idée assez vague de l'installation en polyptyque s'imposait peu à peu. Idée que je vais ici réduire en diptyque et inscriptions en surcharges ou graffitis et prédelles.
Je promenais donc mon appareil photo sur tout ce qui pouvait faire bifurquer les sens et comme il y avait un fort soleil rasant de printemps et un sol qui était conçu comme un mur il ne m'en fallut pas plus pour saisir les ombres des pas sur le pavé traité comme un mur, faisant déraper l'idée même des verticales et des horizontales (je ne pensais pas encore à des rapports possibles avec Le Marcheur des Halles de Fabio Rieti que je détournais aussi par la suite, par cette photo prise en novembre 2015 sur la Côte Est Catalane en substituant au mur le blanc du ciel aveuglé de soleil, renforcé par le contraste du "noir" de la plage)
. Ce n'est qu'une fois ma composition terminée que j'en évaluais les rapports potentiels mais surtout les écarts et surtout en quoi je devais d'abord en revenir à mes recherches en parallèle et en concertation avec Pierre Courtaud et peut-être quelques rares autres de même gabarit, ou de gabarit comparable, aussi).
. Ce n'est qu'une fois ma composition terminée que j'en évaluais les rapports potentiels mais surtout les écarts et surtout en quoi je devais d'abord en revenir à mes recherches en parallèle et en concertation avec Pierre Courtaud et peut-être quelques rares autres de même gabarit, ou de gabarit comparable, aussi).
Je précise que je pousse l'anecdote jusqu'à avoir choisi mes pas : en noir la chaussure de mon ami poète Pierre-Jean Blazy qui sera le premier récipiendaire et critique de ma composition, et en brun ma propre chaussure.
En graffitant cette image il ne m'en fallait pas plus pour récupérer un champ vertical par les perpendiculaires de lectures des mots sur une image qui était horizontale (de Picabia à Delaunay, et inversement). Toutefois en arts de la rue les peintures au sol peuvent être lues en champs perpendiculaires comme lorsque j'ai dessiné mon nu en me positionnant pratiquement "dessus". Mais en axiome pour cette composition j'exclue cette probabilité sinon je sors de ma recherche.
Ce jeu frictionnel entre les outils plastiques et les écritures me ramenait obligatoirement à mes Jogging présents sur le site, et surtout à celui de l'homme s'agrippant ou arrachant les espaces plastiques.
La verticalité de l'homme, cette idée antique reçue dans beaucoup d'études conceptuelles, était ici quelque peu mise à mal et je pouvais tout à loisir la transformer en "marche" et "fonctionnement" des images, pour des sens figurés ne faisant pas moins "sens" par l'image graffitée en art de la rue.
Voir en revenir à d'autres plans avec cette image que je choisi de laisser dans on état original de "Jogging", ou qu'avec Photoshop je pourrais détacher de ses réseaux horizontaux pour la recomposer avec mon Marcheur des sables en vision plastique quasi goyesque (sur les idées des Peintures noires de Francisco Goya) avec le nu de la page absorbé par le blanc de la lumière, en dissolution des formes et des signifiants pour des signifiés en absence de sens,
les frimas de la beauté sauvage organisée par les hommes sur lesquels les saisons imposent leurs rythmes, leurs beautés, ce sens antique, médiéval, moderne, contemporain des scènes et paysages conquis sur la nature animée et animiste des sources de la civilisation et du défrichage des terres à nos jours : un arbre antique est un arbre contemporain...une neige antique est une neige contemporaine... sitôt que nous quittons le monde architecturé nous vivons tout le temps la même antiquité.
La verticalité de l'homme, cette idée antique reçue dans beaucoup d'études conceptuelles, était ici quelque peu mise à mal et je pouvais tout à loisir la transformer en "marche" et "fonctionnement" des images, pour des sens figurés ne faisant pas moins "sens" par l'image graffitée en art de la rue.
Voir en revenir à d'autres plans avec cette image que je choisi de laisser dans on état original de "Jogging", ou qu'avec Photoshop je pourrais détacher de ses réseaux horizontaux pour la recomposer avec mon Marcheur des sables en vision plastique quasi goyesque (sur les idées des Peintures noires de Francisco Goya) avec le nu de la page absorbé par le blanc de la lumière, en dissolution des formes et des signifiants pour des signifiés en absence de sens,
tout comme j'avais composé cette image en vide de proposition sémantique
que j'avais librement composée en insertion d'affiche pour un hypothétique Festival de Cannes, devenu factice par une composition jamais utilisée dans le réel de sa destination
Les images ont donc des fonctions polyvalentes très fortes lorsqu'on les ramène au vide, au nu de la page, à l'absence de proposition sémantique, comme une photographie de paysage.
Ainsi ces "nus de la page" fixés dans des limites signifiantes deviennent des outils de constructions en quasi perpétuelle bifurcation des sens et des signifiés? Abordons alors les constructions d'hiver,les frimas de la beauté sauvage organisée par les hommes sur lesquels les saisons imposent leurs rythmes, leurs beautés, ce sens antique, médiéval, moderne, contemporain des scènes et paysages conquis sur la nature animée et animiste des sources de la civilisation et du défrichage des terres à nos jours : un arbre antique est un arbre contemporain...une neige antique est une neige contemporaine... sitôt que nous quittons le monde architecturé nous vivons tout le temps la même antiquité.
Après Danaé, le Jugement de Paris, pour une composition en tiroir de la page, passons maintenant à une autre image forte de l'Antiquité des rapports de l'homme à son environnement :
Diane Chasseresse
Je reprends ici un texte qui date du 10 septembre 2009 , écrit pour mes ateliers thérapeutiques en Art-Thérapie à médiation poétique, par lequel j'abordais les arts de la rue des mouvements des années 80, Hip Hop et Figuration Libre depuis les graffitis antiques, les écritures scandées du cubisme, et autres rencontres d'événements potentiellement récepteurs de la pulsion/compulsion de l'usager d'espaces qui est intentionnellement porteur de l'outil d'escamotage du mur, des arborescences, de tout support potentiellement récepteur d'écritures ou d'images en surcharges dans les toilettes publiques, ou de lieux de libération des instincts primaires, de la ville ou de la campagne, par le thème du vampirisme aux sources antiques, aux albums d'albâtre pléonasme aussi.
Bonnes lectures et bon voyage dans les merveilles de l'art, le plus souvent totalement inédites et toujours parfaitement originales à l'auteur de ce blog.
Sommaire/Editorial
Des poèmes sur la Riviera aux couleurs des Mots d'Azur : suite des rencontres maralpines de poésie
Festival du Livre à Mouans-Sartoux avec les Mots d'Azur
Festival du Livre à Mouans-Sartoux - 7-8-9 octobre 2016 - avec Les Mots d'Azur
Marie Gay - Pierre-Jean Blazy - Auteurs et Editions - Fondateurs des Mots d'Azur - Marie Gay -
http://coureur2.blogspot.fr/2016/03/marie-gay-pierre-jean-blazy-auteurs-et.html
Renata - Pierre Cardin - Lacoste - Moulin de Sade - Lubéron 2015
Renata - Akira Murata - Espace Auguste Renoir à Essoyes
Renata chez Pierre Cardin - Le regard de Lydia Harambourg Historienne et critiques d'art, correspndans de 'Institut des Beaux Arts de l'Académie de France
Claude Peynaud - Clichés et antithèses...
Claude Peynaud - Jogging - Méthode d'élaboration d'un Jogging
Claude Peynaud - Le cercle des oiseaux
Claude Peynaud - Le don de l'aïeule
Claude Peynaud - Une théorie de Construction
Danielle Benitsa Chaminant - Artiste et mémoire de...
Alliot - Vincent Alliot - Visite d'atelier
Rémy Pénard - Art et souvenirs autour de Pierre Courtaud
Henry Chopin et la bibliothèque de Valérie Peynaud
Sally Ducrow l'année 2018 - en suivant le chemin de l'aventure internationale de Sally Ducrow
Pierre Marchetti magazine...
La pochade - Pierre Marchetti et l'art de la pochade.
H.Wood - un peintre Anglais à Paris au milieu du XIX° siècle
Nus 2014-2015
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Et pour ceux et celles qui aiment l'archéologie et l'architecture
1° partie - Archéologie Médiévale - Aspects et singularités du château en France à la fin du Moyen Âge (XV° et XVI° siècles)
2° partie - Archéologie Médiévale - Aspects et singularités du château en France à la fin du Moyen Âge (XV° et XVI° siècles)
Allemans en Périgord - Manoir du lau - Archéologie Médiévale
Maisons-tours et donjons-tours - architectures médiévales françaises du XIII°/XIV° au XVI° - Archéologie médiévale
https://coureur2.blogspot.com/2019/06/maisons-tours-et-donjons-tours.html
Pour ceux qui aiment l'iconologie, et l'iconographie
La Véronique - Image ou non de la représentation
Fête de la musique à Nice - Place Garibaldi à Nice - Exposition d'artistes Polonais
La Mourachonne à Pégomas (exercice de recherche iconographique)
Rencontres maralpines de Poésie - Mots d'Azur 2015-2016
Des poèmes sur la Riviera aux couleurs des Mots d'Azur : suite des rencontres maralpines de poésie 2016-2017
Pierre Courtaud - Magazine - Un écrivain, un éditeur un poète, un chercheur en écritures - Un spécialiste de nombreux auteurs.
Henry Chopin et la bibliothèque de Valérie Peynaud
Cannes -1° nuit de la poésie et de la musique au Suquet - 21 juin 2014
3° nuit de la poésie et de la musique au Suquet- Cannes Moulin Forville le 21 juin 2016
Les routards de la baie d'Halong dans la tourmente https://coureur2.blogspot.fr/2013/10/les-routards-de-la-baie-dhalong-dans-la.html
Vietnam - La légende du Dieu des montagnes et du Dieu de la mer
Le claire de lune et la poésie
En Egypte antique la lune s'appelle IAH. L’œil de la lune tombé dans l'eau est repêché par Shou et Thot.
Avec la mythologie gréco-romaine la question de la lune n'est pas simple. La déesse sub-olympienne Sénélé est changée en astre lunaire alors qu'elle veut se précipite du haut de son palais après avoir appris la noyade de son frère Hélios. Artémis (Diane chez les Romains), première née des jumeaux est témoins des souffrances de sa mère enfantant Apollon. De là la haine qu'Artémis, tout comme sa sœur Minerve, ont de l'accouplement : elles sont appelées Les vierges blanches. Vierge implacable, Artémis, partie à la chasse, est surprise nue au bain par Actéon (son époux selon les textes). Furieuse elle jette de l'eau au visage d'Actéon, le transforme en cerf et le fait dévorer par ses chiens. Artémis, ou Diane, est surtout représentée comme la déesse de la chasse, plus que par la sœur jumelle d'Apollon, celui qui tire le char solaire. La cruauté et la beauté d'Artémis sont légendaires. Depuis la personnification des mythes fondateurs, la lune est liée à l'élément aquatique : en 1882 Guy de Maupassant écrit "berge baignée de lune". La confusion entre les Dieux Majeurs de l'Olympe et les divinités sub-olympiennes est permanente chez les poètes et même chez bon nombre d'auteurs en général. IAH, Diane, Artémis ou Séléné, la Lune éclaire nos nuits.
Le Moyen-Âge Oriental utilise la lune en symbole de pouvoir. Le Moyen-Âge Occidental encore héritier de la culture gauloise et se constituant cependant sur les ruines de l'antiquité gréco-romaine créé un terrain propice à l'éclosion du "merveilleux médiéval" créant son propre Olympe, ses légendes, ses scènes maléfiques et diaboliques qui forment une culture populaire que l'oeuvre de George Sand (1804-1876) a si brillamment fait remonter jusqu'à nous (romans champêtres sur des veines philosophiques roussauistes et "Légendes rustiques" de la Vallée-Noire entre Marche et Berry. Une culture fantastique des nuits de pleine lune ou de demie-lunes d'avant l’œdipe : Œdipe se crève les yeux et Antigone est emmurée...chez les Grecs, plus de lumière, plus de vie...La poésie de Sapho (née vers 360 avant J.C.) sait vivre au claire de lune et les Romantiques puiseront à ses bains de jouissance où la chasteté de Diane est oubliée derrière les passions de poétesse grecque inspirée par Séléné.
Par la mystique des nuits qui remonte au XVI° siècle - dont l'iconographie absorbe la peinture d’atmosphère vénitienne, et le sfumato de Léonard jusqu'aux éclairages de Claude Gelée dit Le Lorrain (1600-1682) et qui s'implante partout en Europe au XVII° siècle - l'illumination des nuits ne se conçoit pas par d'autres lumières que celles intérieures (Saint-Thérèse d'Avila, Jean de la Croix, Gréco), par des lumières irréelles différentes de celles des sources peintes qui peuvent rester aveugles ou obscures (Caravage), par des combinaisons de sources lumineuses (Rembrandt) ou d'éclairages directs de chandelles, de faisceaux, , jusqu'à la divination, jusqu'au cheminement vers l'irréel ou le surnaturel (Gréco, La Tour, Champaigne). La combinaison des éclairages de la nuit en valeurs substitutives de Juliette à la lune apparue dans un ébrasement éclairé sur un balcon aux aurores (scène II acte 1 de Roméo et Juliette - W.Shakespeare 1595) s'inscrit plus dans ce montage sélectif et spirituel des éclairages que dans une vision du XIX° siècle, dont le Romantisme s'inspire encore toutefois sans réserve.
En remontant aux sources du Romantisme nous lisons au sujet d'Edward Young (poète anglais 1683-1765) "Ce n'est peut-être pas lui qui a introduit le claire de lune mais il y a largement contribué" . En 1720 Antoine Watteau dans on tableau Les comédiens peint la lune masquée par les feuillages en arrière plan d'une scène éclairée par un flambeau qui fait scintiller le satin des costumes. La lune entre alors dans une phase anecdotique sublimée par les inventions de Joseph Vernet (1714-1789) héritant du Lorrain - transmettant cet héritage à la formation de l'école de peinture paysagiste anglaise - avec la reconstitution de marines nocturnes (1769-1771) qui reprennent le schéma de Rembrandt avec un feu (foyer secondaire) mais avec la lune cette fois-ci clairement peinte en principal éclairage direct du tableau. Ces réalisations sont impossibles in situ et nécessitent de prodigieuses techniques d'artiste chevronnée et pourtant Van Gogh (1853-1890) en couronnant son chapeau de bougies allumées peindra un siècle tard ses fameuses nuits étoilées sur le sujet. Le Manifeste Futuriste de Filippo-Tommaso Marinetti (1876-1944) s'intitulera "Tuons le claire de lune", remplaçant l'astre par la lampe électrique d'une usine (1909) et le XX° siècle finit par faire entrer l'esthétique néon dans son champ des valeurs esthétiques après l'introduction par Jean Lurçat des couleurs irisées enchevêtrées à partir de projets seulement chiffrés : l'art optique de Vasarely fait le lien et et les artistes de la Figuration Libre ou du Hip-Hop aimeront ces valeurs "Kitch" bombées, graphismes et tags largement préparés par Gaudi, Miro et Léger, aux codes permettant des reproductions à l'infini, croyant les avoir inventées, aux côtés de l'héritage des l'écriture scandée des cubistes appelant ça "brake"...signes et peintures déguisées sur le mur vampirisé au clair de lune !
Ludwig van Beethoven, le musicien sourd (1770-1827), compose sa "Sonate au clair de lune. Sonate N°14 pour piano" pour rendre visible la beauté du clair de lune à une pauvre aeugle. Un peu plus tard, Jean Debureau (1796-1846) sur les bases de la Comédia del Arte, est le protagoniste de la célèbre chanson "Au clair de la lune on ami Pierrot,prête moi ta plume pour écrire un mot".
Si Alfred de Musset (1810-1857) joue comme un enfant avec sa "ballade à la lune", le "Clair de lune" de Victor Hugo publié en 1829 dans Les Orientales, quant-à-lui, n'est pas celui des amants au claire de lune mais une allusion à un supplice oriental infligé par les Turcs aux Grecs révoltés : les condamnés à mort étaient enfermés vivants dans des sacs jetés à la mer. Le clair de lune d'Edouard Manet (1832-1883) n'est pas plus réjouissant que celui des chansons d'Aristide Bruand (1851-1925) : "la lune blanche et fatidique" jette sa lumière froide dans un port enneigé où des (pauvres) s'amassent dans l'air gelé...
Artémis, vierge vampire, veille toujours, blanche de glace aux côtés de son frère jumeau rayonnant de chaleur...
Image peinte
et Paul Verlaine, poète saturnien, d'écrire sont "Clair de lune" universel
Votre âme est un paysage choisi
Que vont charmant masques et bergamasques
Jouant du luth et dansant et quasi
Tristes sous leurs déguisements fantasques.
Tout en chantant sur le mode mineur
L'amour vainqueur et la vie opportune
Ils n'ont pas l'air de croire à leur bonheur
Et leur chanson se mêle au clair de lune,
Au calme claire de lune triste et beau,
Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres
Et sangloter d'extase les jets d'eau,
Les grands jets d'eau sveltes parmi les marbres.
(Paul Verlaine - Fêtes Galantes - 1869)
Que vont charmant masques et bergamasques
Jouant du luth et dansant et quasi
Tristes sous leurs déguisements fantasques.
Tout en chantant sur le mode mineur
L'amour vainqueur et la vie opportune
Ils n'ont pas l'air de croire à leur bonheur
Et leur chanson se mêle au clair de lune,
Au calme claire de lune triste et beau,
Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres
Et sangloter d'extase les jets d'eau,
Les grands jets d'eau sveltes parmi les marbres.
(Paul Verlaine - Fêtes Galantes - 1869)
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avec quelques articles sur les 145 de ce blog, qui présentent des œuvres, des approches d’œuvres et des artistes
For a return to links
with some 145 articles on this blog, which exhibit works of art and the artists approaches
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Sommaire/Editorial
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Les mots d'azur au printemps des muses - suite 2016/2017 des soirées au Château de Mouans-Sartoux
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Des poèmes sur la Riviera aux couleurs des Mots d'Azur : suite des rencontres maralpines de poésie
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Festival du Livre à Mouans-Sartoux avec les Mots d'Azur
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Danielle Benitsa Chaminant - Artiste et mémoire de...
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Alliot - Vincent Alliot - Visite d'atelier
http://coureur2.blogspot.fr/2014/02/alio-visite-datelier-une-gestualite.html
Rémy Pénard - Art et souvenirs autour de Pierre Courtaud
http://coureur2.blogspot.fr/2013/12/remy-penard-art-et-souvenirs-autour-de.html
Henry Chopin et la bibliothèque de Valérie Peynaud
http://coureur2.blogspot.fr/2013/12/henri-chopin-et-la-bibliotheque-de.html
Sally Ducrow - Land Art et sculpteur ...
http://coureur2.blogspot.fr/2013/01/sally-ducrow-land-art-et-sculpteur.html
Sally Ducrow l'année 2017 - Nationale et internationale - Sculptures - Land-Art - Installatons - Performances...
https://coureur2.blogspot.fr/2017/08/sally-ducrow-lannee-2017-nationale-et.htmlSally Ducrow l'année 2018 - en suivant le chemin de l'aventure internationale de Sally Ducrow
https://coureur2.blogspot.com/2018/07/sally-ducrow-lannee-2018-de-1017-2018.html
CREPS - Boulouris-Saint-Raphaël - Land Art - Sally Ducrow invitée d'honneur
https://coureur2.blogspot.fr/2017/10/creps-paca-boulouris-saint-raphael-land.html
Sally Ducrow : poésie plastique contemporaine
https://coureur2.blogspot.com/2019/06/sally-ducrow-poesie-plastique.html
Valbonne - Echiquier et Mots d'Azur - Fest'in Val - Festival international de Valbonne
http://coureur2.blogspot.fr/2015/08/renata-akira-murata-essoyes-ville.html
Pierre Marchetti magazine...
http://coureur2.blogspot.fr/2011/12/magazine-pierre-marchetti-un-peintre-un.html
La pochade - Pierre Marchetti et l'art de la pochade.
http://coureur2.blogspot.fr/2012/09/la-pochade-lart-de-la-pochade-et-pierre.html
L'impressionnisme tardif par les souvenirs de Pierre Teillet - Du plainarisme romantique au
https://coureur2.blogspot.fr/2012/11/limpressionnisme-inedit-par-les.html
L'impressionnisme tardif par les souvenirs de Pierre Teillet - Du plainarisme romantique au
https://coureur2.blogspot.fr/2012/11/limpressionnisme-inedit-par-les.html
Alliance Française - Tiffani Taylor - Savannah Art Walk - ...
http://coureur2.blogspot.fr/2016/01/tiffani-taylor-gallery-une-artiste.html
H.Wood - un peintre Anglais à Paris au milieu du XIX° siècle
http://coureur2.blogspot.fr/2016/05/hwood-un-artiste-peintre-de-lecole.html
Sophie Marty Huguenin, sculpteur et le marché de Noël à Biot - Les crèches de Cannes - Le partage du pain du père Guy Gilbert
http://coureur2.blogspot.fr/2016/12/sophie-marty-huguenin-sculpteur-et-le.html
Evolution de la gravure à Venise et en Europe du XV° au XVI° siècles - Histoire et techniques
http://coureur2.blogspot.fr/2017/02/la-gravure-venise-et-en-europe-du-xv-au.html
Aux aurores de la peinture moderne et contemporaine occidentale - Giorgione - Les Trois Philisophes
http://coureur2.blogspot.fr/2017/03/aux-aurores-de-la-peinture-moderne-et.html
La décoration intérieure ou la démocratie de l'art
https://coureur2.blogspot.fr/2012/11/wall-painting-fast-track-collection-une.html
Magda Igyarto - Vibrations et expériences de la matière : du visible à l'indicible et de l'indécible au dicible - Peintre, poète et sculpteur
https://coureur2.blogspot.fr/2018/01/magda-igyarto-vibrations-et-experiences.html
Pour ceux qui aiment jouer aux experts
Vrai ou faux - Houdon ou Houdon
https://coureur2.blogspot.fr/2014/01/houdon-ou-pas-houdon-jouez-lexpert-en.html
Vrai ou faux - Un tableau inconnu de la Renaissance
https://coureur2.blogspot.fr/2013/01/un-tableau-inconnu-de-la-renaissance.html
Vrai ou faux - Traduction originale du manuscrit de Qumram sur la mer morte ( en cours)
https://coureur2.blogspot.fr/2015/01/vrai-ou-faux-traduction-originale-du.html
Vrai ou faux - Un tableau inconnu de la Renaissance
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Vrai ou faux - Traduction originale du manuscrit de Qumram sur la mer morte ( en cours)
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Pour ceux qui aiment la recherche en académies de nus - modèles vivants
Nus 2015
https://coureur2.blogspot.fr/2015/03/nus-2015-nackt-2015-nude-2015-2015-2015.htmlNus 2014-2015
https://coureur2.blogspot.fr/2014/09/nus-2014-2015-abac-modeles-vivants-nus.html
Nus 2013-2014
https://coureur2.blogspot.fr/2013/09/nus-2012-2013-abac-nus-2012-2013-2012.html
Nus 2012-2013
https://coureur2.blogspot.fr/2012/10/nus-abac-20122013-associations-des.htmlEt pour ceux et celles qui aiment l'archéologie et l'architecture
voici encore un échantillon de mes recherches sur ce blog
And for those who love archeology and architecture
Here again a sample of my research on this blog
L'ancienne église Saint-Nicolas de Monaco
http://coureur2.blogspot.fr/2012/01/monaco-ancienne-eglise-saint-Nicolas-le.html
Techniques et vocabulaires de l'art de la façade peinte
http://coureur2.blogspot.fr/2012/08/un-tour-dans-le-massif-central.html
Les Vecteurs Impériaux de la polychromie occidentale
http://coureur2.blogspot.fr/2012/06/philippines-les-Vecteurs-imperiaux-de.html
Le clocher des Frères Perret à Saint-Vaury
http://coureur2.blogspot.fr/2012/01/perret-freres-le-clocher-des-freres_10.html
Histoire de la Principauté de Monaco
http://coureur2.blogspot.fr/2012/07/histoire-de-la-principaute-de-monaco.html
Le Palais Princier de Monaco
http://coureur2.blogspot.fr/2012/09/palais-princier-de-Monaco-palais-of.html
Versailles - Monaco - Carnolès - Menton: présence de l'art français en Principauté de Monaco
http://coureur2.blogspot.fr/2012/09/versaillesmonaco-larchitecture.html
Primitifs Niçois - Les chapelles peintes des Alpes Maritimes
http://coureur2.blogspot.fr/2012/03/primitis-nicois-les-Chapelles-facades.html
Eglises du sud-ouest de la France A travers l'art de la polychromie architecturale
http://coureur2.blogspot.fr/2013/02/eglises-du-Sud-Ouest-des-alpes-alpes.html
Des cérémonies et des fêtes Autour de Saint-Nicolas de Monaco
http://coureur2.blogspot.fr/2013/09/des-cérémonies-et-des-fêtes-Autour-de.html
Langages de l'art contemporain - répétition, bifurcation, ...
http://coureur2.blogspot.fr/2013/09/repetition-ordinaire-bifurcation-art-du.html
La polychromie architecturale et l'art de la façade peinte (1° partie) - des édifices civils dans les Alpes-Maritimes
http://coureur2.blogspot.fr/2014/07/la-polychromie-architecturale-et-lart.html
Façades peintes - édifices civils du sud-ouest des Alpes - 2° partie - XX° siècle
http://coureur2.blogspot.fr/2015/01/facades-peintes-edifices-civils-du-sud.html
Aspects de l'évolution des seigneuries historiques de la Principauté de Monaco à travers quelques
exemples d'architectures polychromes ponctuelles.
http://coureur2.blogspot.fr/2016/01/aspects-de-levolution-des-seigneuries.html
Châteaux de la Creuse - de la fin du moyen âge - XV et XVI° siècle
http://coureur2.blogspot.fr/2011/09/une-histoire-de-lescalier-en-vis.html
1° partie - Archéologie Médiévale - Aspects et singularités du château en France à la fin du Moyen Âge (XV° et XVI° siècles)
http://coureur2.blogspot.fr/2013/10/archeologie-medievale-aspects-et.html
2° partie - Archéologie Médiévale - Aspects et singularités du château en France à la fin du Moyen Âge (XV° et XVI° siècles)
http://coureur2.blogspot.fr/2014/11/2-partie-archeologie-medievale-aspects.html
3° partie - suite des parties 2 et 3 d'Archéologie Médiévale consacrées aux aspects et singularités du château en France autour des XV° au XVI° siècles
http://coureur2.blogspot.fr/2016/04/3-partie-suite-des-parties-parties-1-et.html
Yviers/Charente - Archéologie médiévale - Une synthèse sur l'évolution architecturale du XV° au XVI° et XVII° s. en France - Mutations des donjons et maisons-tours des petits châteaux de la fin de la Guerre de Cent-Ans vers les donjons résidentiels de la fin du XV° siècle au XVI° siècle et des incidences dans le classicisme français.
https://coureur2.blogspot.fr/2018/04/yvierscharente-archeologie-medievale.html
Allemans en Périgord - Manoir du lau - Archéologie Médiévale
https://coureur2.blogspot.com/2018/09/allemans-en-perigord-manoir-du-lau.html
Maisons-tours et donjons-tours - architectures médiévales françaises du XIII°/XIV° au XVI° - Archéologie médiévale
Curac - Les énigmes de son château - Département de la Charente - Archéologie Médiévale
https://coureur2.blogspot.com/2019/10/curac-les-enigmes-de-son-chateau.html
Fonctions religieuses apotropaïques et traditions funéraires en France -
http://coureur2.blogspot.fr/2015/08/fonctions-religieuses-apotropaiques-et.html
Maisons alpines d'économie rurale (Alpes-Maritimes)
https://coureur2.blogspot.com/2011/11/maisons-alpines-deconomie-rurale.htmlPour ceux qui aiment l'iconologie, et l'iconographie
For those who like iconology, and inconography
Autour du rocaille. Dessin préparatoire d'étude - Le jugement de Pâris
https://coureur2.blogspot.com/2011/07/dessin-preparatoire-pour-une.html
La Véronique - Image ou non de la représentation
http://coureur2.blogspot.fr/2012/12/la-veronique-de-la-legende-lart.html
Langages de l'art contemporain - Répétition ordinaire - Bifurcations - Translation...
https://coureur2.blogspot.fr/2013/09/repetition-ordinaire-bifurcation-art-du.html
Fête de la musique à Nice - Place Garibaldi à Nice - Exposition d'artistes Polonais
https://coureur2.blogspot.fr/2013/07/la-fete-de-la-musique-expositions.html
La Mourachonne à Pégomas (exercice de recherche iconographique)
https://coureur2.blogspot.fr/2012/05/la-mourachone-pegomas-nouvelles.html
Cannes en 4 perspectives albertiennes recomposées - dessin panoramique à la mine de plomb
https://coureur2.blogspot.fr/2018/02/cannes-en-4-perspectives-albertiennes.html
Pour ceux qui aiment la poésie et qui en plus, comme moi, la reconnaisse comme la mère de tous les arts y compris de l'art contemporain
For those who love poetry and more, as I recognize it as the mother of all arts including contemporary art
Rencontres maralpines de Poésie - Mots d'Azur 2015-2016
http://coureur2.blogspot.fr/2015/09/rencontres-maralpines-de-poesie-et.html
Des poèmes sur la Riviera aux couleurs des Mots d'Azur : suite des rencontres maralpines de poésie 2016-2017
http://coureur2.blogspot.fr/2016/09/des-poemes-sur-la-riviera-aux-couleurs.html
Pierre Courtaud - Magazine - Un écrivain, un éditeur un poète, un chercheur en écritures - Un spécialiste de nombreux auteurs.
http://coureur2.blogspot.fr/2012/03/pierre-courtaud-magazine-un-ecrivain-un.html
Henry Chopin et la bibliothèque de Valérie Peynaud
http://coureur2.blogspot.fr/2013/12/henri-chopin-et-la-bibliotheque-de.html
Cannes -1° nuit de la poésie et de la musique au Suquet - 21 juin 2014
http://coureur2.blogspot.fr/2014/06/cannes-1-nuit-de-la-poesiefete-de-la.html
2° nuit de la musique et de la poésie - Cannes 21 juin 2015
http://coureur2.blogspot.fr/2015/05/2-nuit-de-la-poesie-et-de-la-musique-au.html
3° nuit de la poésie et de la musique au Suquet- Cannes Moulin Forville le 21 juin 2016
http://coureur2.blogspot.fr/2016/06/3-nuit-de-la-poesie-et-de-la-musique-du.html
Golf-Juan - Performance poétique - Brigitte Broc - Cyril Cianciolo
http://coureur2.blogspot.fr/2015/03/golf-juan-performance-poetique-brigitte.html
Marie Gay - Pierre-Jean Blazy - Auteurs et Edition(s) - Fondateurs des Mots d'Azur
http://coureur2.blogspot.fr/2016/03/marie-gay-pierre-jean-blazy-auteurs-et.html
De Vallauris à Cannes - Le Printemps des Poètes sur la Côte d'Azur avec Les Mots d'Azur
http://coureur2.blogspot.fr/2016/03/de-vallauris-cannes-la-cote-dazur-en.html
Christophe Forgeot : Poète - Poésie - Poème
http://coureur2.blogspot.fr/2014/09/christophe-forgeot-un-poete.html
Zorica Sentic - Poète-romancière Franco-Serbe
https://coureur2.blogspot.fr/2012/09/zorica-sentic-poete-romancier.html
La Corse des poètes
https://coureur2.blogspot.fr/2015/08/la-corse-des-poetes-porticcio-village.html
Magda Igyarto - Vibrations et expériences de la matière : du visible à l'indicible et de l'indécible au dicible - Peintre, poète et sculpteur
https://coureur2.blogspot.fr/2018/01/magda-igyarto-vibrations-et-experiences.html
Pour ceux qui aiment les légendes
For those who love legends
The Woodcutter and the Revenant - Sedimentary Memory - Essay - Creuse
Http://coureur2.blogspot.fr/2013/07/la-creuse-memoire-sedimentaire.html
La Creuse - Le Bûcheron et le Revenant - Mémoire sédimentaire - Essai - Creuse
http://coureur2.blogspot.fr/2013/07/la-creuse-memoire-sedimentaire.html
Les routards de la baie d'Halong dans la tourmente https://coureur2.blogspot.fr/2013/10/les-routards-de-la-baie-dhalong-dans-la.html
Vietnam - La légende du Dieu des montagnes et du Dieu de la mer
https://coureur2.blogspot.fr/2014/05/vietnam-la-legende-du-dieu-des.html
Pour ceux qui aiment les voitures de collection
Vis-à-vis de Dion-Bouton type E 452 - La voiture emmurée aux enchères à Lyon
https://coureur2.blogspot.fr/2015/09/1900-vis-vis-de-dion-bouton-type-e-452.html
Pour ceux qui aiment les voitures de collection
Vis-à-vis de Dion-Bouton type E 452 - La voiture emmurée aux enchères à Lyon
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Pour ceux qui aiment l'art lyrique et la musique
Johanna Coutaud (prochainement)
Chanteuse lyrique - Soprano
Elzbieta Dedek - Pianiste virtuose internationale
http://coureur2.blogspot.fr/2016/09/pianiste-virtuose-internationale.html
Pour ceux qui aiment le cinéma
68° festival du cinéma - Alexandra Robin - Léopold Bellanger - Cédric Bouet
http://coureur2.blogspot.fr/2015/05/68-festival-cinema-cannes-2015.html
Pour ceux qui aiment la danse
48° Congrès Mondial de la Recherche en Danse - Avignon du 9 au 13 novembre 2016 - Fabienne Courmont présidente - UNESCO-CID partenaires
http://coureur2.blogspot.fr/2016/11/48-congres-mondial-de-recherche-en.html
Festival d'Avignon à Mouans-Sartoux - Danser Baudelaire - Bruno Niver - Marina Sosnina - Répétition générale
https://coureur2.blogspot.fr/2015/02/du-festival-davignon-mouans-sartoux.html
Pour ceux qui aiment s'habiller et sortir
Eliane Horville - soirées - ville - élégance - conseils - coach
https://coureur2.blogspot.fr/2016/01/soirees-ville-elegance-every-wear.html
Sortir - Manifestations -Performances - Expositions...2012/2017
https://coureur2.blogspot.fr/2013/02/evenements-expositions-manifestations.html
Pour des participations citoyennes
Ordre national infirmier - Recommandations sanitaires
http://coureur2.blogspot.fr/2017/06/ordre-national-infirmier-recommandations.html
Pour ceux qui aiment les multiples beautés de la France
Les oliviers fantastiques de Lucette
https://coureur2.blogspot.fr/2012/10/les-oliviers-fantastiques-de-lucette.html
Carnet de voyage - Ombres et Lumières - L'eau et les Sables, architectures de villégiatures
https://coureur2.blogspot.fr/2014/01/ombres-et-lumieres-leau-et-les-sables.html
2 - La France en vrac
https://coureur2.blogspot.fr/2014/10/visiteurs-des-pages-pour-voir-le-site.html
1 - CP La France en vrac 1
https://coureur2.blogspot.fr/2014/01/la-france-en-vrac-france-in-bulk-franca.html
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Pour ceux qui aiment les multiples beautés de la France
Les oliviers fantastiques de Lucette
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2 - La France en vrac
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1 - CP La France en vrac 1
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Bonjour Claude, on s'est rencontré au monastère de Ripoll, puis à l'hôtel. Je ne te l'ai pas dit mais je connaissais ton blog que je lis assez souvent et je t''ai reconnu d'après les photos de toi que tu a publiées. T'es véritablement une tronche dans les arts. Aucune faute de datation ou d'analyse entre le vrai et le faux au monastère. Dommage que je n'ai pas fait toute la visite avec toi. Impressionnant. Pas que sur l'archéologie ou l'architecture mais aussi sur la peinture et tout ce que tu abordes dans le domaine des arts et de la pensée dans les arts. Et cette page sur les clichés et les idées est fabuleuse, j'espère que tu vas la continuer. C'est extraordinaire. Personne ne nous apprend ça dans les écoles d'art et c'est pourtant fondamental. Tu comptes t'installer en Espagne, m'as-tu dit ? Il faut qu'on se revoit, je peux peut-être t'aider.
RépondreSupprimerJe ne crois pas trop au génie en ce moment mais avec toi je doute. Rencontrer un vrai génie, ça me semble irréaliste...
Je t'embrasse. Lou c'est mon pseudo en balade. On se reverra et je te donnerai mon véritable nom.